Je vous salue Louis, mon bon, mon cher, mon bien-aimé roi de France, le
dernier qui régna, Louis le seizième descendant de cet illustre Soleil qui
depuis Versailles rayonne sur le monde pour l’éternité.
Je vous salue très chrétiennement Louis, vous mon roi, vous que le Ciel
désigna, vous le plus aimé des souverains de France, assassiné par la gueusaille
républicaine !
Je vous aime Louis, vous bénis et vous prie, du haut de votre grandeur
royale, de pardonner à l’engeance républicaine son ignominie.
Louis, l’outrage fait à la couronne fut inouï, l’immonde régicide tomba sur
votre tête très sainte et je pleure ce mensonge contre Dieu, cette tromperie
contre la France, cette hérésie contre les coeurs pieux et nobles pour qui un
royaume sans Dieu n’est plus qu’une terre stérile aux sillons maudits.
Louis je vous demande encore de pardonner très chrétiennement, très
pieusement et très royalement à vos calomniateurs, parjures et meurtriers, de
prier pour eux, de prier également, en juste réparation à cette offense sans nom
que fut 1789, pour un retour glorieux sur le trône de votre lignée instaurant le
rétablissement de la royauté française, chrétienne, bleue, noble, sainte.
Je vous salue Louis, Ô mon roi, très humblement, et dépose à vos pieds la
flamme claire qui depuis plus de deux siècles brûle avec
ardeur en toutes ces âmes intègres que j’incarne ici, modestement -ceux-là
que le drapeau athéiste a damnés-, et que dans une folle volonté chrétienne,
honnête, royaliste, je souhaitais faire remonter à la lumière, au moins le temps
de ce bref témoignage.
VOIR LES SIX VIDEOS :