Des étoiles, du beurre, des fleurs, un peu de caramel, tels sont les mots qui me viennent à l'esprit lorsque j'évoque l'image de Farrah Fawcett
Avec, bien entendu, des océans de Cosmos, de cosmiques azurs et de vastes étendues sidérales.
Tout cela est certes bien banal.
Aussi, ajouté-je que cette femme ne se limite pas, dans l'infini de ma tête, à ces pompeuses fadaises, Dieu merci, mais se prolonge encore dans les particules étincelantes de ma cheminée sarthoise, dans les atomes éternels de l'eau des rivières aurifères, dans l'éblouissement mémorable et inextinguible de la flamme solaire estivale de l'année 1976...
Cette face de galaxie, je la trempe dans l'écume fraîche des vagues de Cayeux-sur-Mer et je baptise cette défunte texane créature "Vénus des cailloux".
Je peux encore agrémenter ce saugrenu mais esthétique tableau "plumistique" par des détails justes et vrais quant à l'élaboration du portrait de cette belle planète blonde des cheveux et bleue des yeux qu'elle fut : le coquillage immortel de la Terre immémoriale irradiait de ses traits radieux et des flots de beauté sélectionnée jaillissait d'elle pour aller se mêler aux éléments essentiels du monde.
Ether, paille, herbe, vent, or, sel et même menthe entraient dans l'angélique composition de celle que je décris ici en termes aqueux, nivéens, astraux, atomiques mais aussi anti-floraux.
Bref, l'allégorie sera complète une fois ce texte terminé : c'est là, au bout de ces mots lisibles, que commencera le mystérieux et indicible chemin de la poésie.
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/cOWV7WY5ZhU
Avec, bien entendu, des océans de Cosmos, de cosmiques azurs et de vastes étendues sidérales.
Tout cela est certes bien banal.
Aussi, ajouté-je que cette femme ne se limite pas, dans l'infini de ma tête, à ces pompeuses fadaises, Dieu merci, mais se prolonge encore dans les particules étincelantes de ma cheminée sarthoise, dans les atomes éternels de l'eau des rivières aurifères, dans l'éblouissement mémorable et inextinguible de la flamme solaire estivale de l'année 1976...
Cette face de galaxie, je la trempe dans l'écume fraîche des vagues de Cayeux-sur-Mer et je baptise cette défunte texane créature "Vénus des cailloux".
Je peux encore agrémenter ce saugrenu mais esthétique tableau "plumistique" par des détails justes et vrais quant à l'élaboration du portrait de cette belle planète blonde des cheveux et bleue des yeux qu'elle fut : le coquillage immortel de la Terre immémoriale irradiait de ses traits radieux et des flots de beauté sélectionnée jaillissait d'elle pour aller se mêler aux éléments essentiels du monde.
Ether, paille, herbe, vent, or, sel et même menthe entraient dans l'angélique composition de celle que je décris ici en termes aqueux, nivéens, astraux, atomiques mais aussi anti-floraux.
Bref, l'allégorie sera complète une fois ce texte terminé : c'est là, au bout de ces mots lisibles, que commencera le mystérieux et indicible chemin de la poésie.
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/cOWV7WY5ZhU