samedi 20 janvier 2018

1244 - Je suis un sous-doué

A l’heure où le moindre quidam en difficulté sociale se targue -pour ne pas dire se vante- d’appartenir à l’espèce très en vogue des “surdoués”, en ce qui me concerne j’annonce la couleur sans ambiguïté : je suis un sous-doué.

Ou pour le dire autrement, un imbécile.

Heureux.

Oui, car à entendre ces “inadaptés de haute qualité”, il est rigoureusement impossible de chanter le bonheur de vivre en se synchronisant sur la danse de ces fameux, chers, inestimables “neurones en or” tournant à plein régime dans les sphères de la pure abstraction hyper tarabiscotée... Source de leur nombrilisme dolent, délicieusement ostentatoire.

De fait, ces attardés du bien-être ne sont ni heureux ni disposés à l’être. Au contraire, ils semblent se complaire dans leur prestigieuse infortune, comme des aigles aux ailes maudites.

Ces hauts potentiels mentaux se voient comme des oiseaux rares à protéger, entretenir, valoriser, médiatiser, comme si la simplicité était un outrage à leur “complexité narcissico-pédante”...

Alors que moi je suis passé maître dans la faculté à sourire à tout, même aux malheurs qui me tombent sur la tête !

Pendant qu’eux se lamentent des fleurs que leur offre le Ciel, pleurent pour un puits ou pour un pont, exposent leurs permanentes insatisfactions sur tous les écrans du monde avec des mines étudiées, s’ennuient -en sortant des arguments compliqués- face aux immenses richesses de l’Univers qui les entourent...

Moi, j’ai le don inné de l’allégresse. Quitte à passer pour le roi des simplets.

D’emblée, je me moque de tous ces “experts en inadaptation au bonheur” sous prétexte de “trop d’intelligence” ! Je ris de leurs larmes, si précieuses à leurs yeux. S’ils étaient vraiment surdoués, ils auraient déjà en eux cette lumière essentielle consistant à accueillir avec gratitude pluie, soleil, brouillards, orages, pommes sucrées comme oranges amères, eaux fraîches ou flammes vives, bref à rendre grâces à tout ce qui vient, à ne pas regretter ce qui n’est pas, à s’ouvrir à tout être, à remercier la vie au lieu de la maudire.

Moi, contrairement à ces “malheureux haut de gamme”, je suis tout bêtement plein de joie de vivre.

Sans m’encombrer d’inutile génie.

Je suis un sous-doué rayonnant. J’apprécie les bonnes choses de tous les jours, me contente de petits riens, ne me plains jamais des banalités du sort, savoure les fruits humbles du quotidien sans jamais me lasser.

Aux antipodes des sempiternelles contrariétés de ceux qu’on appelle “surdoués”, incapables qu’ils sont de demeurer à hauteur d’homme, trop haut perchés sur leurs échasses intellectualisantes...

Ces volatiles alambiqués ont depuis longtemps quitté le sol des vivants.

Je suis un sous-doué terre-à-terre qui aime le vent, la vie, les fleurs et les nuages.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/3Bt26MWTa0g

mardi 16 janvier 2018

1243 - Chrétien

Je suis chrétien.

Pur et dur.

Je bénis le vrai, le beau, le juste, le bon.

Et crache sur le gauchisme !

Je piétine la république du mensonge. Maudis les LGBT. Voue aux chiottes la GAY PRIDE. Chie sur le féminisme. Ai pitié de Simone Veil l’assassineuse, de Pierre Bergé le dépravé et de tous ces violeurs d’innocence et autres malfaisants intouchables qui nous gouvernent à gauche.

Je suis chrétien.

Glorieux et courageux.

Je chéris les ors décents de l’Eglise hétérosexuelle, anti-avorteuse, gardienne de la famille traditionnelle, saine, sainte, forte.

Et brûle l’étendard luciférien de la franc-maçonnerie !

Je recouvre de merde l’autel impie de la laïcité. Pisse sur le drapeau de Marianne la lesbienne-putain-avorteuse de cette France déracinée !

L’athéisme est l’évangile des porcs, des pervers, des dégénérés-décadents, le culte des pédophiles-homosexuels-transexuels-zoophiles-délirants voulant faire légaliser leurs plus dégueulasses déviances, la religion des détraqués qui veulent jouir à tout prix de leurs saloperies sans être vus de Dieu.

Ces esprits putrides ne croient pas en Dieu mais vénèrent la saleté comme si elle était leur soleil.

Ces textes de lois violant celles de la nature, c’est la bible des ANTIFA. Qui sert de torchecul au Cornu. Et après usage par l’hôte des enfers, fait office d’essuie-bouche pour le maître actuel de l’Elysée.

Les ANTIFA qui ne sont que des petits merdeux arrogants, de juvéniles débauchés soutenus par la gauchiasserie au pouvoir, laquelle est composée de pédés décomplexés, de drogués liquéfiés et d’autres membres génétiquement pas français.

Je suis chrétien de droite-royaliste-homophobe.

Je suis pécheur, comme tous, et néanmoins défenseur de la vertu, pour la vraie protection des enfants, la préservation de leur pureté, la saine édification de leur esprit exempt de corruptions gauchiassisantes.

Je suis chrétien, contre les distributeurs automatiques de capotes dans les écoles et pour le retour à l’enseignement scolaire traditionnel exigeant qui vise l’excellence !

Je suis chrétien, vainqueur de tous les menteurs !

Je terrasse d’un seul regard plein de vaillance tout détenteur du faux et anéantis les ténèbres de la gauche-débauche en opposant à ses répugnantes hérésies la chrétienne et rédemptrice lumière.

vendredi 12 janvier 2018

1242 - La vraie place de la femme

La chance de la femme, c’est qu’elle n’a nullement besoin de faire de longues et laborieuses études pour pratiquer son métier : celui d’épouse, de mère, de cuisinière, de ménagère.

Elle a les qualités requises innées pour ces emplois naturels qui lui collent si bien à la peau.

Il n’y a rien de plus flatteur pour un homme que d’avoir une compagne aimante, belle, intelligemment dominée, attachée aux traditions de son sexe. Les devoirs de la conjointe assujettie aux lois maritales font aussi sa gloire car cette créature fragile, délicate, frileuse s’épanouit dans la douceur du foyer, les délices de l’alcôve, les honneurs de la maternité. Non au bureau.

Les indomptées, les laides, les tribades, les rêveuses, les égarées et autres féministes bêtes et méchantes, enfin toutes les célibataires génératrices d’imbécillités, infectes ennemies du mâle, toutes sottement solitaires, devraient être sévèrement fouettées afin de leur faire passer le goût mensonger de leur amère liberté !

Les laiderons devraient même être doublement châtiées : fouettées durement, humiliées lourdement pour leur absence de grâces !

Il n’y a en effet rien de plus ignoble pour une fleur que de déplaire au Soleil.

Il serait donc injuste de punir de la sorte la féminine laideur, penseront les niais ? La pire des injustices pour une enfant d’Eve n’est pas de recevoir ces volées de lanières iniques, arbitraires, tyranniques, mais bien plutôt d’être née sans grâce.

Et puis quoi ! Réclameraient-elles encore de la pitié, ces infortunées ? Les caresses vengeresses du cuir contre l’échine de ces furoncles ont au moins la vertu d’adoucir leur peau rêche ! Ce sont leurs remerciements que je veux entendre !

D’ailleurs ces victimes du sort ne sont plus à quelques gifles près...

Bref, cette férocité exercée sans faiblesse contre les mauvaises pousses permettrait de faire prendre conscience aux autres, les bonnes plantes, de l’immense trésor que constituent leurs féminins atouts. Et nulle parmi les héritières de Vénus ne les gâcherait plus dans le célibat.

Il est odieux pour un phallocrate de voir une pucelle sans éclat, mais plus offensant encore est de voir une beauté sans conquérant !

Il est normal qu’un chardon dans un jardin semé d’orties soit délaissé, méprisé, piétiné par l’esthète. Mais qu’une courge demeure sans astre viril pour l’abreuver de sa lumière, voilà qui est insupportable !

Cette femelle arrogance est une provocation pour le macho ! Mais aussi une souffrance pour la suffragette qui se prétend émancipée, dénaturée qu'elle est par ces hérésies qui l’éloignent de sa vraie condition : soumise. Et de sa véritable place : aux pieds de son seigneur.

C’est pourquoi je prône une société saine, forte, équilibrée où l’on condamnerait les fiertés mal placées et récompenserait les guenuches à coups de badine au lieu d’une molle indifférence et où l’on n’outragerait plus l’orgueil masculin, ne sacrifierait plus le confort machiste en vouant les créatures aux artifices du féminisme.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=aqf5ObTzVO8&feature=youtu.be

dimanche 7 janvier 2018

1241 - Critique du film "LE DICTATEUR" de Charlie Chaplin

Un film mythique -mais passable- que nul n'osera déboulonner de son piédestal mensonger, artificiel, de peur de passer pour un horrible crétin... Ou pour le roi des incultes cinématographiques.

Pourtant cette oeuvre, quoi qu'on tente de nous faire croire, est superficielle, légère, assez vaine.

Les scènes burlesques ont très mal vieilli, contrairement à ce que prétendent les béats admirateurs auto-suggestionnés par l'aura légendaire de ce film certes considéré comme un sommet intouchable, mais intrinsèquement médiocre.

Personnellement je n'ai pas ri une seule fois du début à la fin, au contraire je me suis ennuyé à pleurer en m'infligeant le spectacle de ces interminables chapelets de pitreries aussi grotesques que consternantes !

Clowneries d'un Chaplin se croyant drôle avec les mets réchauffés, gags grossiers usés, archi-usés, périmés de ses débuts.

Drôle, il le fut peut-être à son époque. Pour des gamins de quatre à douze ans et quelques adultes niais découvrant la magie des images animées. Mais plus aujourd'hui.

A moins d'être un sacré hypocrite, un simple imbécile que des puérilités amusent ou bien un esprit aveuglé par les lumières factices des astres éteints depuis que le cinéma a quitté ses couches et pris son envol vers les hautes sphères d'un art plus abouti et autrement plus intelligent.

Sans compter la faiblesse du sujet : il est très facile, voire artistiquement malhonnête, de dénoncer le mal universellement admis, autrement dit d'enfoncer des portes ouvertes... Critiquer le nazisme, c'est aussi original et courageux que de ramer dans le sens du courant...

Autant de preuves que le film a pris un énorme coup de vieux !

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=wv0FUAAeyYA&feature=youtu.be

1240 - Les Pygmées sont antidémocratiques !

Si les races étaient réellement égales comme le prétendent les niais défenseurs de l’idéal républicain, alors les pygmées courraient aussi vite que les meilleurs athlètes Hollandais.

Alors on a décrété que les races n’existaient pas, ainsi les pygmées ne dérangent plus les ridicules certitudes des détendeurs du mensonge égalitariste..

En outre dans l’esprit dérangé de ces pervers défenseurs de l’égalité (qui considèrent que les hommes sont des machines toutes identiques, des pions indifférenciés, des clones insipides sortis d’un moule unique), le fait que d’autres ne croient pas en cette égalité induit nécessairement que cette adhésion à l’inégalité des races débouche sur la HAINE.

En quoi admettre qu’une race est inférieure ou supérieure à une autre dans tel ou tel domaine serait-il source de haine ? De même pour les sexes, les individus, les peuples, les générations ?

Un bébé est-il égal à un vieillard quant à l’expérience de la vie ? Une femme est-elle égale à un homme dans les travaux de terrassement ? Un homme peut-il, comme la femme, porter un enfant dans ses flancs ? Les Chinois savent-ils faire des fromages aussi bons que les français ? Les Aborigènes d’Australie sont-ils capables d’envoyer un homme sur la Lune comme l’ont fait les Américains ? Un New Yorkais avec ses poumons non aguerris aux airs extrêmes serait-il apte à vivre dans les hauteurs du Népal parmi des villageois endurcis aux conditions climatiques extrêmes ?

Pourquoi donc les obsédés du nivellement entre les êtres pensent-ils que le fait de ne pas admettre l’égalité des hommes entre eux conduit au RACISME HAINEUX ?

A-t-on déjà vu dans la réalité des étudiants ayant échoué aux examens subir la haine de ceux qui ont réussi ? Dans la vie de tous les jours, les coureurs cyclistes qui arrivent derniers sont-ils les victimes de la haine du public ? Les handicapés qui ne peuvent pas prétendre aux mêmes avantages, aux mêmes libertés, aux mêmes plaisirs que les valides sont-ils eux-aussi haïs ? Non, évidemment. Au contraire, les perdants, les faibles, les petits, les sous-doués, les éclopés, les débiles, les malchanceux sont protégés, aidés, soutenus, réconfortés, et parfois remis sur les rails.

Preuves que l’inégalité n’engendre pas nécessairement le mépris, l’abus, l’injustice.

Qu’y-a-t-il donc de si blâmable de constater que les races humaines sont inégales ? Et je dis bien CONSTATER, car il n’y a derrière cet état de fait aucune idéologie, il s’agit juste d’un CONSTAT neutre impartial, objectif.

Je constate simplement, honnêtement, froidement que le Pygmée a une capacité athlétique bien inférieure au grand Hollandais ou au robuste Teuton... Je constate que le Gabonais résistera bien moins au grand froid que l’Inuit. Je constate que l’Écossais s’acclimatera moins bien aux rigueurs du Sahara que le Touareg. Je constate que les habitants des hautes montagnes du Népal ont des performances pulmonaires supérieures aux gens qui vivent en plaine, etc.

Bref, les races existent bel et bien. Avec leurs spécificités, leurs singularités, leurs aptitudes ou leurs inaptitudes.

Preuve ultime qu’elles sont une réalité : elles sont inégales.

A l’image des individus humains.

L’égalité républicaine est artificielle et stérile, tandis que l’inégalité dans le vécu est fructueuse : ce sont ces inégalités entre les individus, les peuples, les sexes, les générations, les races, les civilisations qui permettent les échanges, les progrès, les perfectionnements, les adaptations, les apprentissages, les expériences, les comparaisons, les éveils, les réflexions, bref les enrichissements mutuels et en finalité, le cheminement de l’Humanité.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/lfKARcrXA9o

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet