vendredi 29 juin 2018

1270 - L'infini à ma porte

Pour cette écume de chair et d’étoile mêlées, je ressens des flammes oniriques et des flots lunaires, des flux astraux et même parfois des feux gastriques car, virtuellement, je vomis d’ivresse esthétique le contenu de mes viscères lorsque je songe au faciès de Farrah Fawcett.

Féérique, elle le fut.

Avant de vieillir, ternir, flétrir, périr.

Mais l’héritage laissé par cette beauté sans péché - éphémère, inoubliable - est incommensurable car gravé à jamais dans mon âme d’esthète obsessionnel comme une épitaphe névrotique sur une tombe fabuleuse.

Morte, elle chie de la pure lumière dans l’espace intersidéral et abreuve nos télescopes de merveilles infinies. Et cela, en vertu de ce qu’elle fut de son vivant : l’incarnation exacte de l’inattendu, au-delà de toute référence académique.

Parce que ses traits n’entraient dans aucun cadre aux angles droits, cette femme s’est universellement intégrée dans les gènes de toutes les arabesques de la Création.

D'un bout à l'autre du Cosmos.

Depuis les tempêtes sulfureuses de la planète Vénus en passant par les plus lointaines galaxies peuplées de mondes étranges et brillants jusqu’aux rivages froids, monotones et familiers de la plage de Cayeux-sur-Mer.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=r9bcCm_QkSI&feature=youtu.be

jeudi 28 juin 2018

1269 - Je ne suis pas un romantique

Je ne suis pas du tout “fleur bleue”.

Plutôt âme de glace et coeur métallique.

Avec une poigne d’acier dans un gant d’épines.

Moi les bouquets de roses, les chansons d’amour liquoreuses et les pleurnicheries d’oiselles évanescentes, je les pulvérise, les écrabouille, les ratatine d’un coup de talon patatesque accompagné de mon rugissement terrible de lion dominateur !

La femelle émotive en proie à ses vapeurs de châtelaine affectée prête à s’évanouir dans la dentelle pour une peccadille, je lui destine directement ma grosse paire de châtaignes torgnolesques entre les fesses !

Un bon coup de trompette au cul, rien de tel pour remettre à leur place les bécasses en crinoline ! Ces papoteuses en robes bouffantes qui nous les gonflent avec leur idéalisme de baudruches pleines de sensibleries, je les réduis sans état d’âme à des réceptacles de mon hippopotamesque massue !

Bref, à cette caqueteuse volaille emplumée d’inepties et nourrie de rêveries insipides, je réserve une déculottée magistrale.

Je ne suis pas un romantique.

Plutôt un bras d’honneur et les crocs qui vont avec.

A l’égard des faiblards, des geignards, des perdants, je n’éprouve nulle pitié, aucune compassion, pas l’ombre d’une tendresse.

Les tendeurs de sébiles, traîne-misère et autres crève-la-faim, je leur offre des pains oui, mais dans la gueule ! Je les aide à se relever à grands coups de beignes dans la tronche ! Et croyez-moi, avec ma méthode ils courent vite ces lapins de potence, surtout ceux avec des béquilles !

Je ne suis pas un roseau sensible.

Plutôt une ronce qui réveille.

Moi quand je chante, ce n’est pas pour faire pleuvoir des pétales de coquelicots dans des salons feutrés peuplés de frileuses en jupons !

Les mots qui sortent de ma bouche en verve sont des silex qui tranchent net avec les jours décolorés des endimanchés. Et font saigner les nuits charbonneuses des vrais noceurs... Ma joie à moi produit non pas d’indolores bonbons à la violette mais de délectables perles au vitriol que savent savourer les ogres de ma race. 

Je ne suis pas une nouille molle. Pas une poule mouillée. Pas une moule pouilleuse. Pas un baveur de sentiments flasques. Pas un caniche à frisettes. Pas un buveur de petit lait.

J’avale à pleines gorgées le vin brut de la dure réalité et dévore tout cru les baveux escargots alimentés de salades et autres gluantes limaces croisant ma voile solaire ! 

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/sOdYseEsBWw

mercredi 27 juin 2018

1268 - Nuit d'éveil

Je me souviens de cette fin de journée de 1992, juste avant le crépuscule. 

Le ciel était profond, chargé de nuages, la plaine vaste, très vaste, l’horizon énigmatique.

Je me trouvais dans l’Est de la France, mais peut-être finalement plus loin encore... Assis sur le côté passager d’une voiture roulant vers une destination lointaine et sans importance, les images de ce monde traversé à 90 kilomètres-heure défilaient sous mes yeux mi-clos.

Après un léger assoupissement dû au ronronnement du véhicule filant en ligne droite, je commençai à sortir de ma torpeur.

La route semblait irréelle. Le paysage paraissait de plus en plus immense. Tout prenait peu à peu des allures inexpliquées et éclatantes.

Je ne me sentais plus installé à l’intérieur d’une automobile fonçant sous le couchant, mais emporté ailleurs. Je levai la tête.

En regardant les nues à travers la vitre, c’est l’Univers entier que je voyais !

La lumière du Soleil trouant par endroits la couche nuageuse devenait comme un livre ouvert, vertigineux, et dans cette encyclopédie éblouissante, quasi divine, je lisais des choses admirables, grandioses, absolues !

Ce jour-là j’ai voyagé au-delà du visible, pénétré jusqu’au coeur du Cosmos, plané à hauteur du nid de Dieu.

Le plus étrange, c’est que je comprenais ce qui m’arrivait.

Je venais d’entrer dans une autre réalité, la Réalité probablement.

Le chauffeur conduisait en silence, ignorant tout de ce mystère. Je ne lui ai rien dit de mon aventure intime, son monde à lui se bornant, je le devinais bien, à de frustes aspirations, de bestiales affaires.

Tard dans la nuit il me débarqua aux alentours de Paris, en pleine campagne. Et bientôt je perdis mon chemin.

Marchant dans le noir, désorienté, encore à des centaines de kilomètres de mon foyer, je ne m’inquiétais guère pourtant.

En moi, tout brillait.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=dwJZxFmcJrE

mardi 26 juin 2018

1267 - Effets d'une fée

Elle dédupontise aujourd’hui encore les gros lourdauds, avive les vins de la vie quotidienne, affine les pains des jours sombres, rend l’air soit solaire soit floral...

Hanté par cette morte qui patauge avec légèreté dans ma tête, je marche dans la boue en croyant planer dans l’azur.

Et mes nues sont nivéennes, mes vues aériennes, mes nuits ailées.

Farrah Fawcett avait une mâchoire pour séduire les crânes pleurnichards au fond de leur tombe, des yeux pour bleuir le ciel de la planète Mars, des lèvres pour faire fleurir des points d’interrogation dans le Cosmos.

Ses pommettes étaient des tomates farcies d’irrationnel. Ses sourires des papillons sculptés dans la chair. Son front de femelle née de l’éther, un horizon de brumes fécondes mêlées d’herbes folles.

Son image figée sur Terre est un autel éternel dédié à la plus squelettique des roses de l’Univers. Son visage envolé, un oiseau porteur de nouvelles sidérales. Cette défunte a laissé ici-bas sa durable empreinte : un paysage de pure beauté, de lignes absolues, de traits parfaits.

La peau d’une déesse sur un marbre à sang chaud.

samedi 23 juin 2018

1266 - Oiseau d'éhter

A ces dindes lourdes au vol ras et au lustre épais que l’on croise ordinairement entre rues et caisses de supermarchés de nos provinces, ma préférence va vers la légèreté et la finesse céleste de Farrah Fawcett.

Cette sublime bécasse américaine aux traits surnaturels et aux ailes de fauvette excite mon écriture et fait monter sa sève que je déverse en des jets vifs et palpitants. Ma verve se durcit à l’évocation de cette femelle d’os et de lumière. Et mon verbe se liquéfie lorsque je chante sa sidérale beauté.

Pour cet astral volatile j’ai des mots aussi aériens que telluriques.

Inspiré par l’éclat carnassier de sa face de silex et l’or onirique de sa carcasse angélique, ma plume plane entre ses flancs d’éther.

Ma lyre grinçante se rossignolise en croisant le bec de cette fine fée.

Mes pensées s’enclumisent à l’évocation de cette plumesque écume.

Et mes voyages vers les sous-préfectures deviennent des épopées intergalactiques dès qu’elle m’apparaît avec ses grands airs d’azur...

Farrah Fawcett était un nuage avec un visage. Une image avec un plumage.

Une Vénus venue de la Terre qui berçait le Cosmos et faisait rêver les étoiles.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=7F7BYOkNbuk&feature=youtu.be

http://farrah-fawcett.blogspot.com/2018/06/37-oiseau-dether.html

lundi 18 juin 2018

1265 - Mon coming out

Il est temps pour moi de dévoiler la vérité à mon entourage, au pays, à ce siècle et au monde entier.

C’est un coming out retentissant que je fais ici.

Il m’en coûtera ce qu’il m’en coûtera mais je me jette à l’eau. Je balance tout à la face de l’Univers qui me jugera ou ne me jugera pas mais tant pis. Ou tant mieux ! Le voile sera levé, la messe sera dite.

Voilà : je suis normal.

Normal, je veux dire hétérosexuel, chrétien, phallocrate.

Autre chose qu’il sera difficile de faire entendre mais c’est un coming out explosif, je le rappelle : je suis pour le mariage traditionnel intègre, pour l’éducation saine de nos enfants, pour le respect absolu des codes élémentaires structurant notre société.

C’est à dire que je suis pour l’exigence au lieu de la mollesse, en tous domaines.

Je suis normal sur ces points-là, terriblement normal, ce qui fera de moi une cible de choix après ces aveux éhontés, j’en ai bien conscience...

On ne trouvera sur ma personne aucun piercing, nul tatouage, pas l’ombre d’une marque d’allégeance aux modes impies !

Cet impardonnable rejet de tant de “richesses” fera de moi l’ennemi absolu du système actuel, je ne l’ignore pas.

Je suis normal, autrement dit intérieurement pauvre, pas ouvert d’esprit, triste, arriéré, psycho-rigide aux yeux de ceux, de plus en plus majoritaires, qui adoptent les tendances “modernes” de leur époque...

J’oubliais le pire... Je suis normal également dans mon choix idéologique : je suis royaliste.

Bon je sais c’est un coming out pas comme les autres, particulièrement fracassant mais quand même, là je sens que je viens de dépasser les bornes de la décence...

J’atteins ici les sommets de la perversité. On va carrément me lyncher...

En effet, royaliste ça inclut le fait d’accepter d’être dirigé par des “têtes couronnées qui vont à la messe” et qui n’en ont rien à foutre de la laïcité !

La laïcité, cette Sainte Vierge républicaine protectrice des pédés, des enculés, des sans-âmes et autres “rebelles” de tous bords.

Et pourtant j’assume toujours.

Je suis normal.

Hétérosexuel, chrétien, phallocrate, royaliste.

Voilà, mon coming out est terminé.

Merci à tous les progressistes de m’avoir péniblement écouté.

A présent je suis prêt à passer devant le tribunal de cette dictature de France que je viens d’outrager par mes propos scandaleux.

mardi 12 juin 2018

1264 - La littérature, c'est de la confiture !

En ce siècle de radotages béats, de certitudes fondées sur des légendes de toc, de panthéonisation de mythes bavasseux, époque de gobeurs passifs confortablement assis sur des tonnes de manuels didactiques et de productions universitaires sclérosés dans le faux, la pompe poussiéreuse, l’éblouissement abscons et la docte sottise, il faut que l’évidence soit proclamée aujourd’hui avec d’autant plus de tonnerre !

Ce système, sacralisé par de savants crédules, a assez produit de sornettes littéraires, assez pigeonné les naïfs, assez flatté les creux érudits, assez alimenté les assoiffés de vide ! Nos bibliothèques, dégoulinantes de bave inféconde, ont été patiemment escargotisées par les accoucheurs de néant, les promoteurs de fumées, les apôtres de l’artifice !

Moi j’ai le courage d’affronter la doxa lettrée et de rétablir le vrai. Je m’expose au feu institutionnel sans crainte du ridicule.

Les ridicules, ce sont ceux qui bêlent en broutant sans broncher l’herbe estudiantine indigeste aux saveurs frelatées qu’ils prennent pour un mets de roi...

Nul n’ose cracher dans cette soupière pleine de poires insipides et de navets stériles devenue leur olympe potager.

Aux yeux de ces pédantes andouilles chaussées à la mode du moment, les dieux de la plume siègent dans les chaussettes de l’archiduchesse ou bien sur le fronton de la mairie de la ville de Vire et pas ailleurs !

Bref, leurs sommets alambiqués ne dépassent pas la zone officiellement affichée.

Incapables de boire l’eau claire de la simplicité qui éclate de vérité, ils préfèrent s’abreuver aux sources les plus inintelligibles.

Voire les plus bêtes.

Ils adulent benoitement l’obscur, l’hermétique, le complexe, le rien, le vent, le vain, toutes ces fadaises parées de sublimes prétentions...

Et méprisent la lumière, ce diamant des âmes sans mensonge.

Pour ces experts en bla-bla, propagateurs de l’ennui intellectuel et de l’insignifiance artistique, le livre digne de ce nom se doit d'être une enclume.

Pour moi les Claudel, Péguy, Mallarmé, Bataille, Bernanos, égocentriques tourmentés, lourds, épais, sinistres, soporifiques, austères et même mortels, ne valent pas un entremets à la vanille.

Ce sont là des écrivains des abysses de l’être et non de ses merveilles.

Seuls les gogos en mal de vertiges gastriques se laissent prendre aux séductions névrotiques de leurs rutabagas.

L’écrasante majorité de la littérature française n’est qu’une monstrueuse coulée de confiture écoeurante tartinant nos institutions figées.

Moi, je ne jure que par l’onde limpide teintée d’azur léger des auteurs de hauteurs.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=sYoJIe3BJNo

dimanche 10 juin 2018

1263 - Flamme de lyre

De sa tête de femme à face de muse cascadait une écume de rêves étincelants, comme une bière des dieux descendue des nues.

Farrah Fawcett ressemblait décidément, en son temps de gloire, à une statue de mythe et de lumière, à une légende de sable et de soleil, à une étoile de notre Terre...

De près, ses doigts osseux étaient ceux d'une sorcière, ses yeux ceux d'une créature batracienne, son corps plat celui d'une anonyme image.

Mais vue depuis l'oeil de l'esthète, l'ensemble valait l'or du ciel, c'est-à-dire l'azur de l'homme.

Cet animal d'éther sorti du siècle comme d'un chapeau, c'était la Lune en somme : une énigme qui hante les nuits, obsède les esprits, vogue dans les songes.

Femelle incarnée dans un visage de déesse ? Divinité entrée dans une peau humaine ? Astre irradiant ses rayons d'éternité à travers une carcasse de mortelle ?

Oiseau éphémère, fleur immatérielle, carnassière ailée, nymphe de chair et  d'artifices ou bien fille d'Hélios, cette Séléné squelettique plane dans le firmament de mes plus vaporeuses conceptions poétiques.

Une sorte de phosphore tout autour de ma plume.

samedi 9 juin 2018

1262 - Grenouille céleste

Elle avait des bras d'autruche, un corps d'insecte, des jambes d'échassier, d'épaisses chevilles de percheron, la face  spéciale et glaciale d'un soleil allumé plein de neige spatiale.

Vous trouvez que cette phrase ne veut rien dire ? 

Je vous répondrai que la beauté, le monde, votre propre présence dans l'Univers sont choses autrement plus mystérieuses que mes mots pour parler de Farrah Fawcett.

On exprime l'inexprimable comme on peut.

Moi j'évoque cette morte qui fut radieuse sur Terre avec des tournesols dans ma plume, du vin doré dans ma tête et du jus de citron dans mes veines. Tout cela est bien abscons, j'en conviens...

Pour enfoncer le clou, j'ajoute que je réserve le jaune d'oeuf traînant dans mes pensées à l'élaboration de ce tableau stellaire.

Avec cette Vénus texane j'ai fortement tendance, et c'est remarquable, à peindre des étoiles avec des ovules.

Autrement dit, je pars du coco pour arriver au Cosmos.

Ca, c'est l'effet "Farrah Fawcett".

Cette fleur surnaturelle, avant de devenir pourriture ordinaire, eut l'insoupçonnable opportunité de faire éclore en moi de glorieux postillons de vérités esthétiques extra-planétaires, totalement sidérales et même  résolument intergalactiques, bref de purs sentiments cosmico-papillonesques.

vendredi 8 juin 2018

1261 - Face invisible du Soleil

Je pourrais parler de cette Vénus magistrale en termes d'azur, d'onde et de feu.

Choses vues et revues depuis la nuit des temps, figées dans l'airain ordinaire des merveilles ordinaires...

Non, pour évoquer Farrah Fawcett avec plus de lumière et davantage de vérité, je tremperai plus volontiers ma plume dans le pétrole de son Texas natal afin d'écrire son histoire sur la feuille terne des jours de pluie de ma vie brillante.

Telle est la vraie clarté émanant de ce gouffre plein de poésie et d'énigmes.

C'est aussi dans les cailloux de la mer et dans les yeux des corbeaux de mon enfance que je grave son visage sans égal.

C'est également dans les vallées sombres et perdues des taïgas lunaires que je croise parfois son regard bleu comme des horizons de brume.

C'est encore au bout des chemins inconnus que je me remémore ses traits aussi célèbres que les flammes du firmament.

J'ai fait une montagne de cette face de rêve, moi la face de rat, elle la figure d'ailée divine...

Je suis le seul au monde à chanter sur tous les tons et de bas en haut ce bipède femelle au front d'immortelle.

Avec ses appas absents, ses artifices oubliés, ses lignes rocailleuses mais sa tête de galaxie, la tige blonde comme des céréales idéales sous le soleil de Picardie a fait de moi le chantre de sa cause à facettes infinies.

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet