dimanche 20 décembre 2020

1627 - La banquise, ça fond aussi

Les écolos-hystériques s'étonnent de découvrir que la glace, ça fond !
 
Ils sont incrédules devant le constat de la vie qui est perpétuel mouvement, sempiternel changement, incessante évolution...
 
Pour eux un glacier qui s'effondre, se dissout, s'évapore, c'est une catastrophe planétaire. Bientôt ils vont pleurer de désespoir chaque année à la période du dégel en France...
 
Les environnementalistes de gauche sont en effet persuadés que les éléments sont figés pour toujours sur Terre, que rien ne bouge, que l'eau ne se transforme pas, ne se mélange jamais, reste constamment limpide, demeure éternellement de la neige, de la vapeur ou à l'état liquide.
 
Oui la banquise s'adapte, oui les déserts avancent ou reculent, oui la roche s’use... Même les montagnes bougent ! Mais les adeptes de la friche immuable sont tellement fanatisés par leur religion à la chlorophylle qu'ils en arrivent à se convaincre que l'érosion est une calamité en soi...
 
Pareillement, à leur yeux, un jardin est fatalement un outrage à la nature. Pour la seule raison qu'il est issu de la main de l'homme. Autant dire un crime contre la verdure... Selon leurs critères, tout fruit du génie humain est nécessairement une sorte de corps étranger à l’Univers qui ne devrait pas exister. Ils considèrent la civilisation comme une corruption du monde créé, un blasphème envers leurs dieux des jachères...
 
Pour ces arriérés amoureux des ronces, des cailloux et des baies sauvages, véritables défenseurs de l’existence primitive, tout ce que produisent les primates doués de raison sont des “pollutions”.
 
Surtout leur respiration de bipèdes qui, à travers leur analyse, seraient artificielles et incongrues dans le paysage terrestre... Selon leurs concepts tordus, un animal, une plante, un minéral seraient parfaitement légitimes mais absolument pas un représentant de notre espèce ! Effectivement, un être qui pense a le malheur d’agir sur son environnement... Et ça, pour les adorateurs des broussailles, c’est anti-naturel.

La simple idée de dominer leur espace vital les horrifie : ils préfèrent s'en faire les esclaves.
 
Les écolos-alarmistes sont des insensés sclérosés dans leurs certitudes d'une planète pétrifiée, incapables qu'ils sont de concevoir le chant de la glaise et la danse des étoiles.

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vendredi 18 décembre 2020

1626 - Amoureux

Avant j’étais bêtement sentimental, stupidement romantique, imbécilement rêveur : ma terre était vierge et ma pensée stérile.

Je n’avais d’avidité que pour les brins de pâquerettes.
 
Depuis que j’ai croisé votre regard de femme, je suis devenu un fauve affamé d’étoiles.
 
Et de crachats de vipères.
 
Désormais mon coeur s’est enrichi de pierres pures et dures, lourdes et rugueuses.
 
Je suis un roc et j’ai des crocs.
 
Je me suis doté d’une virilité d’ogre, embelli d’une crinière aux éclats de feu, complété d’une férocité de lion : mes fruits sont bien plus savoureux. Et féconds.
 
Hier j’avais une tête garnie de frisettes. Je ressemblais à un caniche. J’aboyais avec politesse devant de bien sages images de demoiselles en crinoline...
 
Aujourd’hui j’ouvre grand ma gueule puante de carnassier pour dévorer tout crus ces porteurs de fleurs qui vous tournent autour, Madame !
 
Je ne me rase plus, ne me couvre plus de dentelles, ne me parfume plus : ma face devient burinée, hirsute, austère. J’ai délaissé mon épiderme pommadé de citadin fragile pour une peau de guerrier. Je veux plaire non plus à la bonne société des endimanchés mais à la femelle que vous êtes.
 
L’amour Madame, ce n’est pas la soie mais le crin. Non l’émoi mais la crainte. C’est la rage et la soif qui va avec. L’orage qui foudroie et non l’or qui poudroie.
 
L’amour vrai c’est quand je vous effraie, non quand les autres vous flattent.
 
Le véritable délice, l’authentique vertige, le divin frisson Madame, ce ne sont pas les artifices qui caressent mais les vérités qui brûlent.

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vendredi 11 décembre 2020

1625 - Qui sont les vrais racistes ?

Gauchistes, vous qui pour des raisons criminellement idéologiques trompétez que les races humaines n’existent pas, je crache ces mots de feu contre votre face liquéfiée de mensonges et d’inepties !
 
Votre évangile pré-mâché lénifiant de laïcards lobotomisés n'a aucune crédibilité parce qu'il est purement doctrinal, parfaitement déraciné du réel.
 
La franche bêtise et le danger certain, c'est ce discours narcotique du système antiraciste abreuvant de mièvreries mensongères les moutons manipulés que vous êtes.
 
Votre "science" de matérialistes idiots qui prétend que les races sont irréelles (voire “illégales” tant volent haut vos délires) n'est que guimauve insipide pour ovins bêlants. La science seule est la religion des bouffeurs de foin, le culte des esprits vides, la vérité absolue des têtes pleines de ténèbres. Les arriérés avérés, c'est vous. Vous les adeptes de l'atome pur et dur, l'atome bête et pas méchant du tout car le mysticisme, c'est la virilité de l'âme.
 
“Les races n’existent pas”, jurez-vous par tous les dieux de l’absurdité ? Vous faites injure à la Création en diffusant cette folle niaiserie dans les cerveaux faibles qui vont la doctement, imbécilement régurgiter auprès d’autres sujets fragiles.
 
Les merveilles de notre incarnation multicolore et multiforme éclatent de tangibilité devant vous et vous piétinez ce tableau glorieux de vos infâmes certitudes de despotes antiracistes !
 
Avec votre vue hyper réductrice de l'Humanité, vous niez l'évidence : en réalité il y a une infinité de sangs, une multitude d'individus et de peuples différents. Toutes les nuances du Cosmos sont inscrites dans les êtres, les ethnies, les visages, et vous, avec votre credo républicain stupide et infantile, vous aimeriez niveler les bipèdes, appauvrir artificiellement les beautés humaines en les considérant comme un seul bloc uniforme, unicolore, invariable.
 
Vous êtes les ennemis de la fraternité dans l’altérité, les adversaires de la vérité, le côté obscur de la raison. Et vous vous croyez lumineux avec votre propagande de sentences grotesques, vous les laïcards, vous les pions dociles du système.
 
Les vrais racistes, c'est vous !

Vous qui niez les spécificités raciales, vous qui affirmez sottement et avec tant d’irresponsabilité que tous les mortels sont des copies standardisées interchangeables !
 
Vous haïssez les créatures de Dieu avec leurs nuances, leurs richesses et leurs reliefs, leurs lumières et leurs âpretés que vous voudriez à tout prix aplanir, normaliser, neutraliser, tronquer.

Confondre toutes les populations en une masse informe, unifier les cultures pour les abâtardir, mélanger les essences entre elles pour en faire une lavasse, indifférencier les fleurs de la Terre que sont les HOMMES ! 

Tout cela, afin de faire entrer vos conceptions aseptisées, étriquées, misérables dans votre moule égalitaire-totalitaire.
 
Votre pensée sur le monde n’est que fumée, tandis que le monde lui-même est miracle, chef-d’oeuvre et enchantement.
 
Un prodige de formes et de couleurs qu’au nom de votre aliénation antiraciste vous souhaiteriez rendre fades et monochromes.

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1624 - Le prix de l'amour

L’amour réel c’est l’expression de la vigueur, la virilité en action, le triomphe de la vérité : la gloire incarnée et l’euphorie céleste.
 
C’est la force et non la faiblesse, l’énergie et non la mollesse, le vrai et non le faux.
 
Sans le droit à la haine, pas de liberté possible. Pour que valent les sourires, il faut aussi autoriser les crachats. Alors laissez-moi haïr qui je veux, quand il le faut.
 
Aimer sans avoir le choix de haïr, cela n’a aucun intérêt, pas de mérite, nulle portée.
 
La flamme véritable de celui qui aime ne tolère rien qui soit dans l’erreur, l’illusion, l’égarement.
 
L’exigence, c’est l’acier de la fraternité ! Tandis que la complaisance n’est que lâcheté, paresse, tiédeur... On ne construit rien de pur, d’intense et de durable avec des fétus de paille, des étincelles de pacotille.
 
Faire la guerre, c’est mettre le feu aux autres. Alors pourquoi par temps de paix vous aimez-vous dans l’apathie et l’atonie en appelant votre impuissance “concorde”, “douceur”, “ouverture d’esprit”, “non-violence”, “progressisme” ?
 
Vous pourriez brûler, vous préférez vous émousser. Et tout ça parce que vous avez peur des caresses foudroyantes de cet orage, de cette fièvre, de cette neige...
 
L’âme éprise de lumière ne se nourrit pas de fumées mais d’évidence, de solide, de dur. Elle préfère les pierres qui blessent aux artifices inconsistants.
 
Qui s’enflamme de colère contre un être imparfait ne trouve l’apaisement qu’au prix de son expiation ! On ne châtie avec coeur que ceux qui nous sont chers.
 
L’indifférence, que vous prenez pour du “respect d’autrui“, de la civilisation, de la correction et pire encore, pour de la courtoisie, n’éprouve jamais la nécessité de vous redresser.
 
Celui qui brille pour son frère humain, exige de lui, en échange, son plus bel éclat. Et non sa flétrissure.
 
Aimer son prochain, sa femme, ses enfants, son semblable, le monde, l’Homme, ce n’est pas niveler ses vues démocratiquement mais les élever divinement. Ce n’est pas plaire aux lois du siècle mais obéir aux étoiles. Ce n’est pas édulcorer ses pensées, aseptiser ses sentiments, amoindrir son humanité mais regarder en face et l’ordure et le Soleil.
 
Et moi je vous aime, croyez-le bien, dans toute l’illégitimité de ce monde.

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jeudi 10 décembre 2020

1623 - L'antiraciste

Il estime n’appartenir à aucune race, bien qu’il soit caucasien.
 
A ses yeux sa peau est parfaitement incolore et celle des autres a la seule couleur autorisée : neutre.
 
C’est à dire verte.
 
Verte comme l’air du temps, verte comme l’herbe d’antan, verte comme les salades idéologiques de ce siècle : l’antiraciste est écolo.
 
Il veut à tout prix préserver la nature et décolorer l’humanité, ne pas décolérer sur la verdure en danger et ouvertement glorifier les hommes de couleur...
 
Tout en faisant comme si les Noirs étaient transparents quand même.
 
Décidément, l’antiraciste est un bipède bien complexe...
 
La blancheur l’effraie, le fait vomir, le culpabilise.
 
Son gros souci à lui, c’est l’eau.
 
Le savon. La toilette. Le lavage de peau...
 
Les symboles sont trop forts, ça le perturbe.
 
Il se torture l’esprit sur des questions essentielles : en tant qu’antiségrégationniste, peut-il raisonnablement ôter la crasse de son épiderme sans offenser une certaine catégorie de la population allergique aux allusions racistes, même involontaires ? Faire usage de savon, n’est-ce pas également rappeler les atrocités commises par les nazis ? Vouloir se blanchir la couenne dans un but hygiénique, n’est-ce pas une insulte indirecte envers les minorités-majoritaires riches d’une pigmentation naturelle incompatible avec la pâleur de sa face d’oppresseur-né ?
 
L’antiraciste préfère puer plutôt que de prendre le risque d’outrager son frère Africain.
 
D’ailleurs il pue vraiment. L’antiraciste, pas l’Africain...
 
Bon c’est vrai qu’il est propre et bronzé l’été sur la plage... Mais l’hiver il schlingue.
 
Foncé et rincé en juillet, malodorant mais décemment bruni en décembre. Ainsi toute l’année, il n’est jamais vraiment blanc. Rien de tels que le soleil estival et la négligence hivernale pour cacher sa blanchitude en toutes saisons !
 
Tout cela est bien tordu me direz-vous..  En effet, c’est très à gauche, très délirant, très schizophrénique...
 
Ainsi en va-t-il de la vie de l’antiraciste : il a d’énormes problèmes avec les colorants naturels. Surtout celui de la farine. C’est un daltonien névrotique qui ne supporte pas l’éclat de son propre reflet dans le miroir.
 
Mais qui vénère comme un fou les mineurs de fond aux faces noircies de charbon. Et, accessoirement, les natifs d’Afrique noire...
 
Bref, les simples idées de clarté, de pureté sont pour lui des concepts immondes. Et même “nauséabonds” comme il aime à le répéter, toujours nauséabonds...
 
Comme s’il avait oublié que lui, on l’a vu, au propre par contre et non au figuré, ne sentait pas bon du tout.

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mercredi 9 décembre 2020

1622 - Le Juif

Modelé par le système de gauche dans lequel il était né, il ne concevait rien au-delà des stricts cadres mentaux autorisés.
On lui avait inculqué qu’un Juif ne pouvait qu’être une victime. Ou un exemple. Et même un héros.
Parce que Juif.
Bref, à ses yeux l’israélite se présentait fatalement comme un être dénué de défaut, incapable de crime. Autrement dit l’incarnation de la vertu.
Pour la simple raison qu’il était de sang hébraïque.
Depuis toujours, la chose se concevait ainsi dans sa tête bien formatée. Se poser des questions à ce propos aurait relevé de la pure folie : ces vérités sacrées, immuables, incontestables demeuraient figées en lui comme un évangile dans le granit.
Aussi, le jour où il se fit voler son portefeuille il ne crut évidemment pas que l’auteur du délit, appréhendé, se nommait réellement Levy...
Il ferma donc les yeux, ne dit mot, ne pensa rien de plus, incapable d’affronter cette réalité en contradiction avec ses convictions viscéralement ancrées dans son cervelet de gauchiste.
Plus tard il prit connaissance de l’existence d’un lobby sémite qui pourchassait rageusement et faisait condamner sévèrement toute pensée non conforme à sa doxa imposée à la société entière.
Peut-être fut-il sur le point de réagir à cette infamie...

Mais non, là encore il ne broncha pas.
Effectivement, on venait de lui révéler qu’il appartenait lui-même à ce peuple intouchable.

Alors il ne resta plus personne pour dénoncer cette iniquité.

mardi 8 décembre 2020

1621 - Le raciste

On le remarque dans la rue comme un furoncle au milieu d’un visage, tant il suinte la laideur de l’esprit.
 
Debout dans l’abribus, sa carte d’abonnement à la main, il toise les badauds en attendant le passage de l’autobus.
 
Face aux passants dont la pigmentation de l'épiderme est différente de la sienne, il a le poing serré, le regard plein de jalousie, le coeur noirci par la haine.
 
Il en veut à tous ces semblables qui l’entourent n’ayant pas les mêmes ancêtres que lui, convoitant leurs biens, enviant leur chance, maudissant leur naissance, leur reprochant leur bonheur de vivre en France.
 
Il aimerait les chasser, les opprimer, les détruire.
 
Il ne supporte pas de voir ces gens vivre heureux dans ce pays qu’il estime être le sien, prêt à le prouver au monde entier en brandissant mesquinement ses papiers en bonne et due forme...
 
Lui est français à part entière, c’est écrit noir sur blanc sur sa carte d’identité, il réclame donc tous ses droits, refuse tous les compromis, accepte toutes les faveurs.
 
On l’aura compris, cet homme mauvais et médiocre est foncièrement raciste.
 
Raciste et profiteur, raciste et injuste, raciste et dangereux pour la société française.
 
Méprisable, vil et fielleux, il est toutefois perçu avec une particulière bienveillance, traité avec grande compassion par ses concitoyens qui le considèrent comme un être humain hautement respectable... Eux qui pourtant n’ont pas sa couleur de peau, qui ne prennent en compte ni sa mine patibulaire ni ses allures antipathiques. De simples apparences à dépasser, à leurs yeux.
 
Même l’attitude ouvertement ségrégationniste de cet individu est passée sous silence, étrangement rendue invisible...

C’est un Noir.

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samedi 5 décembre 2020

1620 - L'ange

On le croit blanc, tout de feu et de ciel, avec des ailes vastes et lestes... Quelle conception étriquée on se fait de son être véritable !

En réalité comme en rêve, il vole bien plus haut que ça !
 
Il est de vent, de vin, de vie.
 
Léger comme l’océan, ivre de divinité, gonflé d’infini.
 
Il a la couleur de l’air, la limpidité de l’eau, la fluidité de l’esprit.
 
On le compare avec mesquinerie à un papillon, avec mièvrerie à un oiseau, avec petitesse à une étincelle.
 
C’est un loup aux crocs brûlants d’amour, un tigre aux caresses d’agneau, un ogre de délicatesse.
 
L’ange est une bête affamée d’âmes, une mer assoiffée d’éther, le murmure éternel des vagues, la porte de l’Univers au bord des rivages.
 
On le dit chaste et vertueux... Quelle étroitesse de vue on prête à ce géant galactique !
 
Il n’est qu’ébullition de puretés étincelantes : un nuage de neige et d’étoiles mêlées, un orage de vérités incandescentes.

On l'imagine rigide et digne telle une toge de marbre pétrifiée de céleste élégance... Alors qu'il est à l'image de la Création pleine de courbes et de vertiges, d'herbes folles et de firmaments, de fêtes et d'arabesques !
 
Il crache des paroles de feu, émet des postillons d’azur, répand des flocons de lumière.

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jeudi 26 novembre 2020

1619 - Le gauchisme, c'est l'obscurantisme

Ce siècle est tombé dans le chaos de la pensée gauchiste, c’est-à-dire de l’obscurantisme le plus épais, de la crétinerie la plus outrancière.

La plus révoltante aussi, tant les conséquences de leurs divagations idéologiques sont désastreuses pour l’élévation de l’Homme car les tempéraments faibles, les êtres influençables, les âmes très tôt formatées sont sans défense face à ces singes déguisés en savants avant-gardistes.
 
Jamais une époque n’aura été aussi sombre pour l’intelligence. Nous vivons le naufrage de l’esprit. L’extinction des lumières.
 
Ces arriérés qui se croient progressistes sont en effet persuadés que l’homme peut se changer en femme, qu’une femelle peut se transformer en mâle, qu’un enfant né avec les attributs masculins pourra choisir de demeurer garçon ou bien devenir une petite fille !
 
Profonde est leur imbécillité.
 
Les plus élémentaires vérités biologiques sont remises en cause, tournées en dérision et même pourchassées avec acharnement par ces fous furieux !
 
Désormais, oser affirmer qu’un homme est un homme et une femme une femme, à leurs yeux cela tombe sous le coup de “l'incitation à la haine en raison du sexe”... Leur chasse aux sorcières consiste à combattre les lois universelles, intemporelles, inaliénables de la génétique et à diaboliser leurs défenseurs.
 
Inédit dans l’Histoire humaine de la bêtise !
 
Les adeptes de la secte du mensonge, de la folie, du faux, de l’erreur érigés en doxa souffrent d’un aveuglement ahurissant ! Un enfant de quatre ans pourrait sans peine pulvériser leurs croyances abracadabrantes.
 
Ils sont mentalement si diminués qu’ils prônent la parentalité homosexuelle à tout prix... Le sommet de la civilisation, pour eux, c’est que deux bougres ou deux tribades élèvent leur “progéniture”. Leur rejeton, autrement dit une entité puérile sortie non d’un ventre maternel mais un monstre ni mâle ni femelle issu de leurs concepts tordus...
 
L’égarement de ces barbares est total.
 
De même, leur attardement psychique est tel que sans rire le moins du monde, ils désignent un congoïde typique pour incarner un habitant traditionnel de la Bretagne ou élisent une Zaïroise de pure souche aux traits négroïdes marqués pour représenter Miss Suède...
 
Leur délire se situe, comme on le voit, à un très haut niveau.
 
Le pire, c’est qu’ils prétendent être “modernes” alors qu’ils chutent vertigineusement dans les abîmes de la rétrogradation pour se noyer dans les fumées de l’absurdité !
 
Même chez les tribus primitives, de mémoire d’éveillé, on n’a constaté de telles ténèbres.

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samedi 21 novembre 2020

1618 - Rien à vendre

Je ne veux rien vous vendre.

Seulement vous offrir mes pensées les plus vraies, vous montrer l’éclat du ciel et la beauté des étoiles, vous faire aimer les nuages filant dans les airs et les brumes mystérieuses flottant dans l’horizon, vous rappeler l’immensité du Soleil et la gratuité de la vie.

Je n’ai rien à vous proposer en échange de votre argent.

Je ne veux que la clarté de vos fronts, le prix de vos mots et la richesse de vos silences, le contenu de vos coeurs et l’or de vos sourires.

Ne m’achetez rien car pour vous je n’ai que du vent.

Celui de l’esprit et de la liberté : c’est la tempête de la plaine et le souffle de la folie, des flots de rêves et des flux d’ivresses pour tous les oiseaux du monde.

Gardez vos numéraires, pièces et billets, je n’en veux point.

Contre tout ce que je vous donne, je ne veux que vos regards tournés vers l’infini et vos mains ouvertes sur le bonheur.

Le seul paiement que je puis accepter de votre part, c’est votre lumière.

Je n’ai rien à monnayer et tout à partager.

Ne vous étonnez pas de ces trésors qui tombent sur vos têtes, que vous n’attendiez pas, dont vous ignoriez même l’existence sur cette Terre, si loin de vos comptes en banques et de vos salaires, de vos possessions matérielles et de vos belles assises sociales...

Si je vous les destine de manière si désintéressée, si généreuse, si spontanée, c’est parce que je vous aime d’un amour vrai, vous mes frères humains.

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mardi 10 novembre 2020

1617 - Chanson d'amour

Parce que je suis un tonnerre d’âpre virilité, je vous destine mes flèches de fer, de feu, de fou.
 
Sans fleur, sans mélodie... Mais sans tiédeur non plus.
 
N’espérez de moi nuls mots tendres. Ni caresse ni baiser mais silence de pierre et geste magistral.
 
Mon coeur de loup ne connaît que l’étreinte de l’affamé. Une faim de vous, une soif de ciel.
 
Une envie d’infini, une fièvre de lumière.
 
Vous n’aurez de moi que des mots de rage, des rêves d’orage, des braises d’or et des rats morts.
 
Un bouquet d’étoiles mêlées de crachats. Devant vous, femme, je bave de la flamme.
 
Je ne fais pas dans la dentelle mais dans la tempête.
 
N’est-ce pas cela que vous appelez “l’amour”, Madame ?

Ce doit être cela oui car, loin de pouvoir vous dire en face que je vous aime, je vous adresse cette lettre écrite avec ma poudre, ma poutre et ma foudre.

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samedi 7 novembre 2020

1616 - France d'hier

Qu’il faisait bon vivre en France !
 
Je parle de ce pays perdu, de cette terre devenue rêve, de ce ciel évanoui, de cet empire révolu où régnaient la liberté, la beauté, l’intelligence...
 
Je la revois cette France passée que j’ai connue, enfant...
 
C’était avant tout un azur, un olympe, un élysée... Un jardin peuplé de gens heureux. Semé de promesses palpables et fleuri de miracles sous le soleil de la prospérité.

Avec la sève des beaux esprits issue de ses sillons.
 
Dans ce royaume des clochers, l’on pouvait chanter des paillardises en toute innocence, sourire dans la rue, parler de tout et de rien sans offenser ni la loi ni les voisins. Et d’un simple bonjour transmettre aux autres la lumière de son coeur au lieu de porter un masque hideux sur le visage.
 
Les mots interdits n’existaient pas. Les idées volaient sans entraves. Les pensées brillaient comme des étoiles.
 
Nul ne pouvait voiler le firmament sacré du droit d’expression. Les français d’alors ne muselaient point leurs paroles face à des ombres malveillantes...
 
Le chant des coqs de Gaule, léger, joyeux, spirituel, résonnait dans un air sain : la contradiction se réglait autour d’un petit blanc, non dans des tribunaux rouges.
 
Pas de lobbys accusateurs, pas de minorités influentes, pas de pervers patentés, pas de menteurs assermentés pour châtier les Francs et bafouer leur honneur !
 
Les villages ressemblaient à des paradis. Vivants, vrais, frais.

Le boulanger ensoleillait les matins des villageois avec son pain chaud. La journée, le bruit des petites industries se mêlait aux rires des écoliers. Le soir, on allait chercher le lait à la ferme, munis de laitières en zinc... Sous les platanes de la place, centre de l’Univers, se croisaient les hommes, s’enflammaient les âmes, cancanaient les femmes.
 
Et les villes avec leur noyau intact et leurs quartiers encore authentiques s’apparentaient à des villages.

La France en réalité était tout simplement la culture du bon sens, le siège du bonheur, le foyer des français.

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dimanche 1 novembre 2020

1615 - Les caricaturistes de Mahomet

CE TEXTE N'EST PAS UNE ALLÉGEANCE Á L'ISLAM MAIS PLUTÔT UNE CONDAMNATION DE NOTRE RÉPUBLIQUE IRRESPECTUEUSE DES CROYANCES DE CHACUN

Pour notre république si fière de ses couleurs laïques et si prompte à défendre ses valeurs prétendument humanistes et universalistes, le sommet de la vertu civique consiste à... INJURIER LES MUSULMANS.

Mais pas que les mahométans. Tous les adeptes des autres croyances également... 

Gratuitement. Par pure provocation. Pour le plaisir de jouer avec le coeur des hommes comme on joue avec des allumettes.
 
Bref, aux yeux de cette démocratie qui prétend incarner le modèle politique le moins imparfait et éclairer le monde de ses pseudo lumières du progrès, la priorité n’est pas de considérer les religions avec égard mais avec mépris.
 
Et de le faire bien savoir. Et d’insister. Et d’appeler "LIBERTÉ" le souhait délibéré de faire mal à autrui, de porter préjudice aux fidèles, de transgresser ce qui est sacré pour les autres.
 
Avec cette ignoble désinvolture érigée en éthique suprême.
 
Autrement dit ses sentiments les plus choisis envers les cultes ne sont pas la courtoisie mais le sarcasme, la raillerie, l’offense.
 
Cette république, qui se croit meilleure que tous les autres systèmes, place donc l’outrage au-dessus du respect !
 
Et ainsi au nom de sa dignité, de son drapeau, de sa morale, la république française estime avoir le droit et même le devoir (puisque rien ni personne ne l’oblige à le faire) de blesser deux milliards d’humains...
 
Belle mentalité !
 
Il me semble que la première des corrections d’un Etat est, au contraire, le respect des convictions intimes de chaque individu, de chaque peuple, de chaque culture.
 
Personnellement je mesure la grandeur d’une société non pas à sa volonté acharnée de heurter la sensibilité des dévots mais, tout à l’opposé de cette vilenie, à sa bienveillance à leur égard.
 
On n’exige pas des incroyants de lustrer le Coran, on leur demande juste de ne pas sciemment le couvrir de boue.
 
Pour leur défense, ces êtres malfaisants qui caricaturent le Prophète mettent en avant le “droit républicain de blasphémer”.
 
Leur désir de meurtrir les âmes des islamistes est révélateur de la nature profonde de ces provocateurs et incitateurs à la haine : sombre, malveillante, indécente.
 
J’estime pour ma part qu’il y a plus urgent que le “droit au blasphème”, c’est le droit de laisser en paix les hommes pieux. Le droit ne ne pas nuire aux autres. Le droit de faire preuve de noblesse, de politesse, de compréhension, d’amabilité à l’adresse de nos frères humains.
 
Certes la critique du dogme musulman n’est pas interdite.
 
Il nous est permis, nous français, que l‘on soit chrétiens ou athées, laïques ou non, de contredire les disciples des principes coraniques. Je défends cette attitude légitime faisant partie du débat public, selon les choix spirituels de chacun.
 
Oui il est autorisé de s’opposer aux islamistes. Sans pour autant se sentir obligé de les humilier dans ce qu’ils ont de plus cher.
 
Ca s’appelle avoir l’esprit chevaleresque.
 
La liberté d’expression ne doit pas se doubler de la nécessité d’insulter, de déshonorer, de profaner.
 
Notons que ces mêmes ardents défenseurs du “droit au blasphème” sont les premiers à crier à l’intolérance et au “fascisme” dès lors que l’on se rend “coupable”  de la moindre petite “indélicatesse” envers les abus, aberrations, viols de consciences, dégueulasseries contre-nature et multiples indignités commis par les LGBT !
 
Pour les caricaturistes de Mahomet, le bien et le mal existent.
 
Le bien, c’est de glorifier leurs vices. Le mal, c’est d’honorer la piété des autres.
 
Sous prétexte que leurs cibles sont des musulmans, et sous cette seule excuse, ils jugent que ces gens doivent recevoir leurs flèches en plein visage, comme s’ils les méritaient, comme ça, pour rien... Comme si leurs souffrances à eux ne comptaient pas !
 
Et ces dessinateurs, parce qu’ils s’adonnent au sacrilège avec l’assentiment de la république, se prennent pour de beaux esprits, se croient à la pointe de la pensée, s’imaginent être parvenus à l’apogée de la Civilisation...
 
Ils disent n’être qu’humour et amour, en réalité ce sont des bombes de méchanceté. Acclamés par nos dirigeants.
 
Fauteurs de troubles à l’ordre mondial.

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mercredi 21 octobre 2020

1614 - Vol simple

Je ne suis guère de ceux qui pensent mais de ceux qui volent. 

La tête vide mais les ailes grandes ouvertes.

Je n’ai même pas le poids d’un haricot et mes reflets dans l’eau ne valent pas un sou.
 
Les plus prestigieux philosophes me bassinent avec leurs oeuvres immortelles qui ne m’inspirent qu’ennui et léthargie. Les plus illustres penseurs qui pondent des idées noires à longueur de siècles ne valent pas un souffle de mon haleine fraiche ni un sourire de mon âme toute bleue.
 
Je flotte telle une plume blanche dans la clarté du ciel.
 
Je suis une miette de vie, une poussière d’humain, une fumée dans le vent. Certes pas grand chose aux yeux des augustes accoucheurs de savoir... Mais au moins je plane, je monte, ne me prenant nullement au sérieux car totalement dénué de plomb. Seuls les pesants raisonneurs sont graves et moroses.
 
Tandis que je suis clair et léger.
 
Ainsi qu'un papillon dans l’azur.
 
Loin des frelons noirs, je veux parler de ces esprits tourmentés, pénibles, trop indigestes pour mon appétit du bonheur !
 
Riche de ma joie de vivre toute simple, je ne m’occupe pas des pensées sévères du monde, des livres doctes et austères aux pages si lourdes... Je respire l’air de l’allégresse sans m’embarrasser de ces poussiéreux trésors faits  pour les morts.
 
Je suis un idiot ravi, un nigaud heureux, un angelot enchanté d’exister.
 
Nietzche, Goethe, Pascal, Descartes, Kant, Marx, Heidegger, Spinoza, etc... Quelle infecte marmite d’andouilles ! Quelle affreuse soupe de fous érudits ! Si sûrs de leurs sublimes vérités et cependant si peu enclins aux amusements de l’incarnation !
 
Si hauts dans leurs rêves, si bas dans leurs chaussettes !

Vus depuis mes yeux d’ignare ingénu, ces pédants cerveaux brillent surtout des pieds. Voilà de bien pompeuses ampoules éclectiques ! Des gens si profonds, si impressionnants, si occupés à prendre de la place au-delà de leur ombre qu’ils en oublient de cueillir l’instant présent et de humer la rose du jour.
 
Ou peut-être pas après tout... Auraient-ils honte, tous ces grands hommes, de se montrer les égaux des galopins ? Préfèrent-ils se cacher pour parler aux fleurs ou sont-ils réellement de pures statues pensantes, de strictes pierres parlantes, d’âpres cailloux sur pattes ?
 
Ils se prétendent tous émetteurs de lumière avec leurs savantes réflexions et pourtant leur bobine est sinistre, leurs allures sont raides et de leurs cheminées cérébrales ne sortent que des volutes sombres qui opacifient le monde. Et quand parfois ils l’éclairent quand même de leurs fumeroles de grands sages à barbe et à pipes, rendent-ils plus heureux les êtres ?
 
C’est que, leurs connaissances et inspirations intellectuelles, aussi capitales et élevées soient-elles, n’ont ni les grâces ni les ivresses de mes ascensions d’éveillé.

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jeudi 15 octobre 2020

1613 - La couleur de l'amour

Un gauchiste pro-métissage me pose la question suivante :

"IZARRA, vous qui êtes contre les couples interraciaux, dites-moi donc quelles sont les couleurs de l'amour" ?

MA RÉPONSE : 

Les couleurs de l'amour c'est un BLANC avec une BLANCHE, un NOIR avec une NOIRE, un JAUNE avec une JAUNE, etc.

Ce que vous affirmez sottement, ce sont des clichés qui ne fonctionnent pas dans la réalité à grande  échelle.

La preuve : traditionnellement les couples mixtes sont rarissimes. De même il est rarissime qu'une femme laide soit en couple avec un homme très beau et inversement. Les BEAUX avec les BELLES, les LAIDS avec les LAIDES, les NAINS avec les NAINES, les TRISOMIQUES avec les TRISOMIQUES, c'est comme ça que ça fonctionne majoritairement dans la réalité et non selon vos délires idéologiques contre-nature.

L'amour a des couleurs et des préférences, que cela vous plaise ou non.

Pourquoi y a-t-il des peuples et des races différents sur Terre depuis la nuit des temps ? Parce que depuis la nuit des temps les couples se forment extra-majoritairement au sein des peuples, des races, des cultures dont ils sont issus.

L'amour a précisément la couleur de ses références raciales et culturelles. Avez-vous déjà vu un PAPOU se mettre en couple avec une DANOISE, par exemple ?

Les couples mixtes sont des aberrations et devraient demeurer extra-minoritaires.

L'AMOUR dans l'absolu ça ne veut rien dire.

Le pédophile aussi vous parlera d'amour pour justifier sa déviance, donc ce n'est pas un argument valable.

L'amour a des couleurs, des préférences, des normes, des critères... Il a des frontières morales, mentales, esthétiques, culturelles, ethniques, etc.

Bref, l'amour a des conditions et des limites.

Et c'est justement cela qui fait la grande valeur de l'amour : il est hyper sélectif.

On n'aime pas n'importe qui, n'importe quoi, pour n'importe quelle raison.

L'amour par essence est discriminatoire, électif, préférentiel, injuste.

Il n'est pas inconditionnel ici sur Terre, la preuve : les couples majoritairement se forment entre hommes et femmes de même race, de même culture, de même pays.

Et c'est cela qui fait les peuples, les races, les cultures, les pays.

Et au final, un monde diversifié, riche, coloré.

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mercredi 14 octobre 2020

1612 - Monsieur Ducon

Monsieur DUCON est un brave type sans histoire sur qui on peut compter.

Ce n’est certes pas un gros légume mais c’est une belle pomme. Le genre d’homme exemplaire dont rêvent les gouvernants.
 
Monsieur DUCON est honnête : jamais il ne violerait la loi. Il est rouge quand le siècle est rouge, blanc si l’Histoire est blanche, bleu dés qu’il le faut pour être bien comme il faut dans les clous !
 
Sa morale est sans faille : strictement calquée sur la loi du temps.
 
Monsieur DUCON est un fervent engagé : il défend âprement la cause des homosexuels lorsque le régime est à gauche, milite pour l’accueil inconditionnel des migrants si telle est la pensée dominante, se rallie la main sur le coeur aux foules qui manifestent pour la défense des Droits de l’Homme, du climat, de la forêt amazonienne, de l’ozone, du pouvoir d’achat, des salaires, des pistes cyclables, ou pour toutes autres raisons...
 
Pourvu que ces nuées de protestataires soient autorisées à manifester par le pouvoir en place. Ou qu’elles soient soutenues dans leurs revendications par les médias majoritaires qui font l’opinion. Enfin bref Monsieur DUCON n’est pas un soumis : il relève la tête et ose affronter les forces obscures dès lors que 51 pour cent de la population (qui a donc raison) est en désaccord avec les 49 autres pour cent (qui a fatalement tort)...
 
Bien entendu Monsieur DUCON porte scrupuleusement le masque anti-COVID-19... Il ne faudrait surtout pas croire que Monsieur DUCON est un abruti... Non, Monsieur DUCON, en bon citoyen obéissant qu’il est, s’informe quotidiennement sur les événements du monde auprès de BFMTV.
 
Ha ! C’est qu’il réactif Monsieur DUCON ! A lui on ne la fait pas ! Il n’ôtera son rectangle de tissu que lorsque sa télévision lui en donnera l'autorisation, pas avant.
 
Il s’abreuve en scoops, idées en vogue et autres infos essentielles à des sources sûres, permanentes, influentes.
 
Par conséquent il sait quoi savoir, que penser, comment agir. De cette manière il va toujours dans le bon sens du courant et ce, afin d’être certain de ne jamais dévier de la route désignée et prendre le risque de passer pour un ‘”facho”, un “réactionnaire” ou un “complotiste” !
 
Monsieur DUCON est sérieux, consciencieux, responsable : à chaque fois que BFMTV lance une alerte neige, une alerte tempête, une alerte chaleur ou une alerte froid, il se calfeutre chez lui et attend la fin de l’alarme pour sortir.

Pas fou, très avisé, Monsieur DUCON a contracté toutes les assurances possibles afin d’être bien protégé tout au long de sa vie. Il a même une assurance-vie au cas où il mourrait...
 
Notre homme est décidément le roi dans son domaine. En effet, loin de laisser indifférent, Monsieur DUCON suscite l’admiration de ses pairs, les DUPONT.

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mardi 13 octobre 2020

1611 - Terre plate

Maurice MACHIN est un homme rangé, moyen, honnête. Ni trop à droite, ni trop à gauche dans les idées, modéré en tout, à vrai dire il n’a pas vraiment d’opinions politiques.

Non, son dada à lui n’est pas idéologique mais utilitariste. C’est le combat brut et vrai pour la survie. Une lutte pragmatique assez apolitique en fait...
 
Enfin pour être plus exact, ce qu’il nomme “survie” consisterait plutôt, aux yeux de certains critiques acerbes, en toujours plus de confort matériel.
 
Sauf que ces détracteurs jugeraient bien hâtivement les aspirations sociales terre à terre de Monsieur MACHIN : s’il poursuit ce but réaliste, concret, efficace, c’est qu’il eut une enfance indigente.
 
De ce fait, toute sa vie d’adulte n’est plus qu’une revanche enragée et insatiable pour accéder aux biens indispensables à l’existence terrestre. Ne manquer de rien, ne pas craindre le lendemain, rechercher inlassablement le plus, le mieux, le meilleur quand il jouit du bon, du bien, du beau, tels sont ses idéaux d’homme du XXième siècle.
 
A sa manière il contribue à perfectionner la société en s’engageant dans des associations de défense du consommateur afin de noblement faire valoir les droits des uns et des autres en proie aux petits tracas du quotidien. Ainsi il traque sans faillir les garagistes aux notes trop salées, fait traduire devant les tribunaux les gros industriels dont les produits électroménagers cachent des petits disfonctionnements, défend âprement les victimes de la hausse des prix, soutient sans compter les infortunés vacanciers retenus injustement dans les aéroports  pour causes de remous sociaux, etc.
 
Cet infatigable redresseur de tôles froissées milite pour toutes les causes à sa portée, susceptibles d’améliorer le sort de ses compatriotes. Il faut dire que Maurice MACHIN a une compréhension parfaitement pratique de la vie : avec lui on est certain qu’il n’y aura pas de baratin et que l’acheteur de canapé ou de camping-car ne sera jamais lésé, que le loueur d’appartement ne paiera pas plus à son propriétaire que ce qu’il lui doit, que l’usager de la poste se fera dûment rembourser en cas de non distribution de son colis...
 
Peu importent les moqueries que les railleurs, du haut de leur supériorité socio-culturelles et intellectuelles ne manqueront pas d’adresser à notre héros des casseroles percées et des carottes mal cuites, l’essentiel n’est-il pas, pour chaque homme, de ressentir cette satisfaction si valorisante d’oeuvrer dans le bon sens  et avec coeur ?
 
Il n’y a pas de petits gestes, il n’y a que de grands effets : c’est là la philosophie de Monsieur MACHIN.
 
Il a vécu en faisant beaucoup de vagues mais il est mort sans faire de bruit.
 
Nul ne retiendra son nom, pour le monde Monsieur MACHIN deviendra Monsieur Rien du tout.
 
Injuste, penserez-vous ?
 
Parfaitement normal au contraire car Monsieur MACHIN n’aura vécu que pour l’horizontalité, non pour la verticalité.
 
Dans les hauteurs de l’esprit, on ne retient que les noms d’oiseaux, pas les noms d’enclumes.

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Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet