La simple vue du visage vénusiaque de Farrah Fawcett fait systématiquement
remontrer mes chaussettes avachies, figées par la force d’inertie de leur molle
errance au niveau de mes orteils.
La vision béatifique de la face de cette fée morte depuis un lustre fait aussitôt durcir ma plume agitée et m’inspire les mots les plus vinaigrés de ma salade verbale.
Farrah Fawcett est une défunte vestale au regard sélénien paré de la lumière acide et éblouissante émanant du jus de citron, comme un coulis de feu sur un champ de tournesols. Lequel nectar citrique est irrémédiablement opposé au tiède jaune de la fade, ovale et banale banane tachetée que certains esprits peu avisés seraient tentés d’éplucher pour évoquer cette enfant d’Hélios.
Je n’associe point cette Eve yankee au doucereux, sédatif et lactescent fruit oblongue mais à l’éclat piquant du soleil aqueux qui fait briller nos assiettes de laitue.
Le citron, non la banane, tel est l’astre horticole ceignant son front hier palpitant, aujourd’hui sous la tombe !
Les traits stellaires de la vive texane devenue ossements éclaire mon âme d’une flamme pareille à celle donnant le sourire aux citrouilles de nos jardins, le dernier soir d’octobre.
C’est l’autre facette de Farrah que je présente en ces termes. L’aspect différent, vrai, cru, vif, celui des lettres, astral et irradiant, nivéen et brûlant, de la fosse où gisent ses restes pour la terrestre éternité.
VOIR LES DEUX VIDEOS :
https://rutube.ru/video/a9873b1848a89da3dee98729dd55e194/
La vision béatifique de la face de cette fée morte depuis un lustre fait aussitôt durcir ma plume agitée et m’inspire les mots les plus vinaigrés de ma salade verbale.
Farrah Fawcett est une défunte vestale au regard sélénien paré de la lumière acide et éblouissante émanant du jus de citron, comme un coulis de feu sur un champ de tournesols. Lequel nectar citrique est irrémédiablement opposé au tiède jaune de la fade, ovale et banale banane tachetée que certains esprits peu avisés seraient tentés d’éplucher pour évoquer cette enfant d’Hélios.
Je n’associe point cette Eve yankee au doucereux, sédatif et lactescent fruit oblongue mais à l’éclat piquant du soleil aqueux qui fait briller nos assiettes de laitue.
Le citron, non la banane, tel est l’astre horticole ceignant son front hier palpitant, aujourd’hui sous la tombe !
Les traits stellaires de la vive texane devenue ossements éclaire mon âme d’une flamme pareille à celle donnant le sourire aux citrouilles de nos jardins, le dernier soir d’octobre.
C’est l’autre facette de Farrah que je présente en ces termes. L’aspect différent, vrai, cru, vif, celui des lettres, astral et irradiant, nivéen et brûlant, de la fosse où gisent ses restes pour la terrestre éternité.
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