Ha ben ça y est je suis tombé complètement dingo-amoureux d’une teutonne
!
Mais attention, elle n’est pas grosse du tout hein ! Ce n’est pas parce que c’est une Allemande que c’est une barrique. Tout le contraire même.
Enfin si elle a des grosseurs en fait, mais ce sont rien que des bonnes formes.
C’est à dire des sommets. D’amples cimes de chair. De vastes pointes qui tombent à pic.
Bon aller je vous le donne en mille : la fille des Goths a de fastueux lolos.
Une paire de poires comme des perles.
Elle se nomme Frida. Ou Fridouille. Ou Grossandouille, je ne sais plus trop.
Enfin l’essentiel est qu'elle soit belle comme un pot de miel. Elle a des yeux clairs, bleus et blancs dans lesquels se reflètent la Lune, les nuages et les juteuses promesses d’amour.
Ses cheveux longs sont bouclés, on dirait même un peu ceux d’une Vénus italienne. Sauf qu’elle est fortement dotée, côté poumons. J’oubliais : cette enfant de l’Allemagne parle l’Allemand mais ça ne me dérange pas.
Je lui ai fait comprendre, avec des gestes fous et des cris enchantés, que j’étais épris de son esprit.
Et enflammé par les vagues, et l’écume, et les flots de ses plages dorées.
Je ne vous ai pas précisé qu’elle était jeune et blonde, cette grande abeille aryenne aux tétons titanesques ? Mais vous l’aviez deviné, n’est-ce pas ?
Bref, face à ma flamme déclarée son visage s’est irradié d’un bonheur singulier car jamais jusqu’alors on ne lui avait chanté des odes à la gloire de ses bavoirs.
Elle ne rejette point les obsessionnelles arabesques phraséologiques finement étudiées que je lui adresse avec conviction et emphase étant donné qu’elles sont émises dans ma langue natale, le français.
Un parler qu’elle ne comprend guère.
Quelle importance ? Elle sait, lorsque nous partageons ensemble une tartine de pain noir de son pays, l’intensité de mes feux à son endroit.
Cette créature d’outre-Rhin aux tétines gonflées de musique wagnérienne me fait vraiment oublier le souvenir des rois de France !
Quand je suis près d’elle je ne pense absolument pas aux grenouilles, aux fuseaux horaires ou aux bières bretonnes non. En compagnie de cet oiseau aux lourdes plumes je n’ai de pensées et d’yeux que pour le ciel de Bavière, avec ses forêts sombres et ses chemins mystérieux... Ainsi qualifié-je les contrées de cette fée de rêve.
Elle respecte le chant matinal du rossignol, aime la danse des colombes en fête et s’abreuve avec grande sagesse de la lumière de tout astre radieux. Son unique folie consiste, et je lui pardonne cette fantaisie, à étendre ses ailes les jours pies comme le ferait un papillon ivre d’azur.
Elle est fière de ses éclats. Heureuse de ces fruits offerts. Pas du tout honteuse de porter tant de biens de jour comme de nuit. Il est donc normal de vouloir les sortir le dimanche à la messe.
Monsieur le curé approuve.
Ha ! Si j'en avais encore le temps et l'énergie, je vous beuglerais sans me lasser et en des mots débordants et détonants cette étonnante affaire au sujet de cette Germaine dont je suis devenu le serf dévoué, ébloui par ses lignes femelles, ses dômes atypiques, ses clartés germaniques...
Si la vache de Normandie incarne le meilleur de nos fromages, je peux vous certifier que la femme teutonique, du moins celle que je connais, est la reine des émois organiques !
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/QHxd-3bo0Vo
Mais attention, elle n’est pas grosse du tout hein ! Ce n’est pas parce que c’est une Allemande que c’est une barrique. Tout le contraire même.
Enfin si elle a des grosseurs en fait, mais ce sont rien que des bonnes formes.
C’est à dire des sommets. D’amples cimes de chair. De vastes pointes qui tombent à pic.
Bon aller je vous le donne en mille : la fille des Goths a de fastueux lolos.
Une paire de poires comme des perles.
Elle se nomme Frida. Ou Fridouille. Ou Grossandouille, je ne sais plus trop.
Enfin l’essentiel est qu'elle soit belle comme un pot de miel. Elle a des yeux clairs, bleus et blancs dans lesquels se reflètent la Lune, les nuages et les juteuses promesses d’amour.
Ses cheveux longs sont bouclés, on dirait même un peu ceux d’une Vénus italienne. Sauf qu’elle est fortement dotée, côté poumons. J’oubliais : cette enfant de l’Allemagne parle l’Allemand mais ça ne me dérange pas.
Je lui ai fait comprendre, avec des gestes fous et des cris enchantés, que j’étais épris de son esprit.
Et enflammé par les vagues, et l’écume, et les flots de ses plages dorées.
Je ne vous ai pas précisé qu’elle était jeune et blonde, cette grande abeille aryenne aux tétons titanesques ? Mais vous l’aviez deviné, n’est-ce pas ?
Bref, face à ma flamme déclarée son visage s’est irradié d’un bonheur singulier car jamais jusqu’alors on ne lui avait chanté des odes à la gloire de ses bavoirs.
Elle ne rejette point les obsessionnelles arabesques phraséologiques finement étudiées que je lui adresse avec conviction et emphase étant donné qu’elles sont émises dans ma langue natale, le français.
Un parler qu’elle ne comprend guère.
Quelle importance ? Elle sait, lorsque nous partageons ensemble une tartine de pain noir de son pays, l’intensité de mes feux à son endroit.
Cette créature d’outre-Rhin aux tétines gonflées de musique wagnérienne me fait vraiment oublier le souvenir des rois de France !
Quand je suis près d’elle je ne pense absolument pas aux grenouilles, aux fuseaux horaires ou aux bières bretonnes non. En compagnie de cet oiseau aux lourdes plumes je n’ai de pensées et d’yeux que pour le ciel de Bavière, avec ses forêts sombres et ses chemins mystérieux... Ainsi qualifié-je les contrées de cette fée de rêve.
Elle respecte le chant matinal du rossignol, aime la danse des colombes en fête et s’abreuve avec grande sagesse de la lumière de tout astre radieux. Son unique folie consiste, et je lui pardonne cette fantaisie, à étendre ses ailes les jours pies comme le ferait un papillon ivre d’azur.
Elle est fière de ses éclats. Heureuse de ces fruits offerts. Pas du tout honteuse de porter tant de biens de jour comme de nuit. Il est donc normal de vouloir les sortir le dimanche à la messe.
Monsieur le curé approuve.
Ha ! Si j'en avais encore le temps et l'énergie, je vous beuglerais sans me lasser et en des mots débordants et détonants cette étonnante affaire au sujet de cette Germaine dont je suis devenu le serf dévoué, ébloui par ses lignes femelles, ses dômes atypiques, ses clartés germaniques...
Si la vache de Normandie incarne le meilleur de nos fromages, je peux vous certifier que la femme teutonique, du moins celle que je connais, est la reine des émois organiques !
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/QHxd-3bo0Vo