Père GRAVIER, bon drille de passage, vous l’ami des hommes et des vieux chemins, vous le drôle d’oiseau aux ailes vives, vous le vieux hibou tout joyeux que j’ai toujours connu, je vous envoie le chant de ma plume en guise d’hommage.
Je le veux aussi frais qu’une pluie vernale dans votre Ciel d’étoiles mêlées de blés.
Ces épis qui sur cette Terre éclairaient votre vie... Parce que votre âme a emporté avec elle le souvenir de cet or, le seul qui avait du prix à vos yeux, je sais léger votre envol vers ces contrées de moissons éternelles.
Par votre bonne humeur toute simple et votre incroyable entrain, vous faisiez rire et sourire le monde entier monsieur GRAVIER ! Du moins les gens que vous connaissiez, ce qui est déjà beaucoup. Vous étiez un amoureux de la vie, un soleil plein de gaieté, un bon vivant et une excellente compagnie, compère d’un jour ou complice d’un soir de tous ceux que vous croisiez.
Aussi bienveillant que malicieux, vous enseigniez avec coeur votre art horticole chez les uns et les autres ! Je vous revois juché sur votre vélo, père GRAVIER, alerte silhouette passant dans l’horizon, j’ignore vers quel nouveau jardin tant vos sillons étaient disséminés, vos fraternités nombreuses, vos routes multiples...
Je vous revois cheminant le soir de retour de l’un de ces potagers, fatigué mais heureux d’avoir contribué à faire fleurir le sol autant que le coeur des hommes.
Laissez-moi imaginez, vous l’illustre passager de notre mémoire campagnarde, que de là-haut vous récoltez les fruits mérités de votre passage terrestre... Laissez-moi espérer que, toujours rieur, vous chevauchez désormais les airs d’un autre crépuscule en direction de nuages de lumière, sous un firmament de blés étincelants.
VOIR LA VIDEO :
https://rutube.ru/video/9cab3ea78392bafa0f5f7e36331f4861/
http://www.dailymotion.com/video/x3qo0q8
Je le veux aussi frais qu’une pluie vernale dans votre Ciel d’étoiles mêlées de blés.
Ces épis qui sur cette Terre éclairaient votre vie... Parce que votre âme a emporté avec elle le souvenir de cet or, le seul qui avait du prix à vos yeux, je sais léger votre envol vers ces contrées de moissons éternelles.
Par votre bonne humeur toute simple et votre incroyable entrain, vous faisiez rire et sourire le monde entier monsieur GRAVIER ! Du moins les gens que vous connaissiez, ce qui est déjà beaucoup. Vous étiez un amoureux de la vie, un soleil plein de gaieté, un bon vivant et une excellente compagnie, compère d’un jour ou complice d’un soir de tous ceux que vous croisiez.
Aussi bienveillant que malicieux, vous enseigniez avec coeur votre art horticole chez les uns et les autres ! Je vous revois juché sur votre vélo, père GRAVIER, alerte silhouette passant dans l’horizon, j’ignore vers quel nouveau jardin tant vos sillons étaient disséminés, vos fraternités nombreuses, vos routes multiples...
Je vous revois cheminant le soir de retour de l’un de ces potagers, fatigué mais heureux d’avoir contribué à faire fleurir le sol autant que le coeur des hommes.
Laissez-moi imaginez, vous l’illustre passager de notre mémoire campagnarde, que de là-haut vous récoltez les fruits mérités de votre passage terrestre... Laissez-moi espérer que, toujours rieur, vous chevauchez désormais les airs d’un autre crépuscule en direction de nuages de lumière, sous un firmament de blés étincelants.
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