Si les races étaient réellement égales comme le prétendent les niais défenseurs de l’idéal républicain, alors les pygmées courraient aussi vite que les meilleurs athlètes Hollandais.
Alors on a décrété que les races n’existaient pas, ainsi les pygmées ne dérangent plus les ridicules certitudes des détendeurs du mensonge égalitariste..
En outre dans l’esprit dérangé de ces pervers défenseurs de l’égalité (qui considèrent que les hommes sont des machines toutes identiques, des pions indifférenciés, des clones insipides sortis d’un moule unique), le fait que d’autres ne croient pas en cette égalité induit nécessairement que cette adhésion à l’inégalité des races débouche sur la HAINE.
En quoi admettre qu’une race est inférieure ou supérieure à une autre dans tel ou tel domaine serait-il source de haine ? De même pour les sexes, les individus, les peuples, les générations ?
Un bébé est-il égal à un vieillard quant à l’expérience de la vie ? Une femme est-elle égale à un homme dans les travaux de terrassement ? Un homme peut-il, comme la femme, porter un enfant dans ses flancs ? Les Chinois savent-ils faire des fromages aussi bons que les français ? Les Aborigènes d’Australie sont-ils capables d’envoyer un homme sur la Lune comme l’ont fait les Américains ? Un New Yorkais avec ses poumons non aguerris aux airs extrêmes serait-il apte à vivre dans les hauteurs du Népal parmi des villageois endurcis aux conditions climatiques extrêmes ?
Pourquoi donc les obsédés du nivellement entre les êtres pensent-ils que le fait de ne pas admettre l’égalité des hommes entre eux conduit au RACISME HAINEUX ?
A-t-on déjà vu dans la réalité des étudiants ayant échoué aux examens subir la haine de ceux qui ont réussi ? Dans la vie de tous les jours, les coureurs cyclistes qui arrivent derniers sont-ils les victimes de la haine du public ? Les handicapés qui ne peuvent pas prétendre aux mêmes avantages, aux mêmes libertés, aux mêmes plaisirs que les valides sont-ils eux-aussi haïs ? Non, évidemment.
Au contraire, les perdants, les faibles, les petits, les sous-doués, les éclopés, les débiles, les malchanceux sont protégés, aidés, soutenus, réconfortés, et parfois remis sur les rails.
Preuves que l’inégalité n’engendre pas nécessairement le mépris, l’abus, l’injustice.
Qu’y-a-t-il donc de si blâmable de constater que les races humaines sont inégales ? Et je dis bien CONSTATER, car il n’y a derrière cet état de fait aucune idéologie, il s’agit juste d’un CONSTAT neutre impartial, objectif.
Je constate simplement, honnêtement, froidement que le Pygmée a une capacité athlétique bien inférieure au grand Hollandais ou au robuste Teuton... Je constate que le Gabonais résistera bien moins au grand froid que l’Inuit. Je constate que l’Écossais s’acclimatera moins bien aux rigueurs du Sahara que le Touareg. Je constate que les habitants des hautes montagnes du Népal ont des performances pulmonaires supérieures aux gens qui vivent en plaine, etc.
Bref, les races existent bel et bien. Avec leurs spécificités, leurs singularités, leurs aptitudes ou leurs inaptitudes.
Preuve ultime qu’elles sont une réalité : elles sont inégales.
Preuve ultime qu’elles sont une réalité : elles sont inégales.
A l’image des individus humains.
L’égalité républicaine est artificielle et stérile, tandis que l’inégalité dans le vécu est fructueuse : ce sont ces inégalités entre les individus, les peuples, les sexes, les générations, les races, les civilisations qui permettent les échanges, les progrès, les perfectionnements, les adaptations, les apprentissages, les expériences, les comparaisons, les éveils, les réflexions, bref les enrichissements mutuels et en finalité, le cheminement de l’Humanité.
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/lfKARcrXA9o
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/lfKARcrXA9o