lundi 22 avril 2019

1343 - Loi travail, l'avis d'un esprit éclairé

S'opposer à cette loi est encore une mauvaise idée des éternels geignards de cette France d'assistés toujours mécontents de leur sort !

Voilà le résultat de la sacralisation du matérialisme... Le travail est décidément la religion des esclaves.

Je constate qu'il n'y a que les petites causes qui mobilisent la populace...

Hors le monde de l'emploi, le Dupont semble perdu ! Pour lui la vie n'a plus de sens s'il sort de ce circuit aliénant.

Et tout ça pour quoi au final ? Pour vivre comme un consommateur sans hauteur. Les citoyens français ne seront donc jamais satisfaits de leurs innombrables privilèges ?

Ces gens repus de tout et qui ne cessent de revendiquer ceci ou cela sont étouffés par l'accumulation de leurs richesses et avantages, ils en veulent toujours plus et ne sont jamais contents !

Ils sont pourris par leur graisse, leur paresse, leurs abus incessants !

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/2a545536528cf9cc478900934f9d83cb/

https://rutube.ru/video/91bd4a5f442b2e7412534789159284e7/

http://www.dailymotion.com/video/x4hb1hb_le-travail-est-la-gloire-des-minus-des-esclaves-des-anes-raphael-zacharie-de-izarra_school

http://www.dailymotion.com/video/x4h3mpc


LE TRAVAIL EST LA GLOIRE DES MINUS, DES ESCLAVES, DES
ÂNES !

Tout comme la torture et ceux qui la recommande, le travail et les travailleurs doivent être méprisés.

Dans une civilisation digne et évoluée, le travail doit être interdit.

Décidément la plupart des gens se croyant libres n'ont aucune idée des vraies valeurs humaines.

En tant que père, j'ai éduqué mes enfants pour qu'ils ne travaillent jamais.

En tant qu'époux, je ne veux pas que ma femme travaille.

Je ne veux pas que ceux que j'aime travaillent.

Le travail doit être réservé aux machines et aux criminels.

Une des quêtes de l'homme est de ne jamais travailler.

Le travail est un pis aller, mais certainement pas un idéal.

Xavier-Louis de IZARRA (frère de Raphaël Zacharie de IZARRA)

5 commentaires:

Anonyme a dit…
Ce texte est d'une ineffable médiocrité. Un brin de culture sociale ne vous ferai pas de mal, homme de prétentions. Vous êtes la cristallisation des basses choses de ce monde, fustigé de toute parts à raison, vous ne vous empêchez pas pour autant de déverser vos déchets oraux et littéraires dans l'océan des opinions sans fondement de l'internet rien n'est plus abject que vos stupides hauteurs d'imposteur. Vous êtes la lie du siècle vous, votre pensée malade et les gens de votre espèce.



L'Érudit
L'Érudit,

Je ne suis pas de ce monde; La mort rattrapera tous les Dupont et leur aspirations porcines.

Je suis un éveillé et comme tous les éveillés, je suis détesté des âmes vulgaires.

Votre réaction est celle du monde et de ses esclaves du travail. Je suis, il est vrai, indifférent aux inepties matérialistes de mes contemporains dupontesques qui pleurent pour des pertes de salaires, c'est-à-dire des pertes de canapés, de vacances, de babioles qui pour eux représentent l'ESSENTIEL. Leurs larmes de consommateurs frustrés sont méprisables.

En plus vous n'avez pas le courage de vos opinion car vous répondez sous anonymat. Preuve que vous manquez de cette noblesse, vertu essentielle dont je ne cesse de parler dans mes textes et que pour vous la vie se résume à gagner du confort.. Jusqu'à preuve du contraire. Tant que vous serez anonymes, vous serez en position de faiblesse.

Raphaël Zacharie de IZARRA
Anonyme a dit…
Vous êtes un misérable cloporte, jouet de l'époque qui jouit de vous à mesure qu'elle joue avec vous. Une pâte à modeler conforme à la forme qu'on lui donne pensant naïvement qu'elle est la main qui la façonne. Aux êtres abjects de disparaître dans l'éther infini de l'oubli pour laisser les vrais héros dans la mémoire des hommes et de leur hauteur.


Plus que jamais, l'Érudit
L'Erudit,


Et vous, vous êtes un anonyme (anonyme et courageux n'est-ce pas ?) rigolo qui s'ignore. Anonyme, donc sans aucune crédibilité. 



Sauf dans l'humour involontaire.



Et, je le devine également sans aucune difficulté, jaloux à en crever de mes éclats izarriens étant donné votre anonyme (et donc courageuse, n'est-ce pas ?) et virulente réaction.

Cette virulence trahit nécessairement des sentiments ambigus. D'autant plus ambigus que, je le répète, vous êtes un anonyme. On y revient toujours.

Sous anonymat, beaucoup d'ennemis osent me contredire, ennemis évidemment courageux... Bref, tout anonyme détracteur est fatalement un jaloux.

Moi l'immense IZARRA, on ne m'oubliera pas. Les courageux anonymes, si.

Bonsoir monsieur le clown.

Raphaël Zacharie de IZARRA
Anonyme a dit…
Izarra... Fleur des fleurs tu m'as percé à jour ! Supérieur à beaucoup d'entre nous tu nous guide vers le bon, le beau le vrai ! Jaloux ? Bien sûr ! Un astre surplombe les marécages de nos existences, comment moi, être boueux, vil et sans intérêt pourrais je résister à la tentation que le grand Raphaël représente ? Izarra je vous aime !


Malgré tout, l'Érudit

1342 - J'ai essayé pour vous le Parc Papéa !

Royaume des classes moyennes, paradis des DUPONTS, terre promise des fonctionnaires et ouvriers d'usine en mal de sensations bien calibrées et dûment tarifées, PAPÉA fera le bonheur des morveux blasés et de leurs géniteurs déculturés.

En ce haut lieu d'agressions esthétiques en tous genres les parents semblent être encore plus abrutis que leur progéniture ! Assez intéressant à observer, mais de loin afin d’éviter les cris stridents des gosses et les papotages pleins de vacuité des adultes faisant la queue devant les attractions.

Si vous avez la bonne (ou mauvaise) idée vous d’aller perdre temps et argent à vous frotter à la roture dans son élément naturel afin de partager (ou d’étudier) ses plaisirs vulgaires et ses aspirations grossières, là-bas vous assisterez à l'étalage décomplexé du mauvais goût sous ses multiples aspects : vestimentaires, culinaires, musicaux, linguistiques, ludiques... Et ceci à l'échelle d'une véritable petite ville car il y a toujours foule chez les adeptes de la médiocrité socio-culturelle érigée en valeur suprême.

PAPÉA est à conseiller uniquement aux esprits séniles accompagnant leurs petits enfants et aux jeunes cervelles crétinisées par des précepteurs indignes leur ayant enseigné la culture de l’insignifiance.

Entre les friandises industrielles à acheter aux quatre coins du parc et les jeux ineptes ponctuant une promenade en famille sans prétention ni exigence, ce petit monde que je viens d’évoquer en termes certes déplaisants mais sincères y trouvera son compte dans cet univers de lourdeurs et de laideurs qui est exactement à son image.

1341 - Rieu chez les rillettes !

Le Mans est en émoi : André Rieu va faire valser la cité des rillettes.

C’est un grand jour pour la classe moyenne en surchauffe.

Les retraités des quartiers populaires, grands mélomanes et fins connaisseurs de la vulgarisation des "tubes du classique" se sentant privilégiés de pouvoir admirer sur scène le Beethoven des temps modernes, ont repassé leurs habits du dimanche et lustré leurs souliers de bal.

Les employés de l’usine Renault éblouis par ces promesses de violons tourbillonnants et de guirlandes étincelantes se félicitent à l’idée de faire ce premier voyage de leur vie au pays des blondes marquises et des carrosses dorés : ils vont se croire dans la peau de leurs patrons le temps de cette soirée de rêve, s’imaginant en effet avec envie que les grands de ce monde qui les emploient sont friands de ce genre de “distraction de qualité”...

Les jeunes mariés vont venir sceller le lien du “plus beau jour de leur vie” d’un baiser-selfie mémorable sous les plus fameux airs romantiques de la musique classique revus à la sauce rose-bonbon, cette liqueur des amateurs d’opéra-variété, de Chopin-choupinou, de Mozart-bisou et de Vivaldi-vive-la-vie !

Bref les adeptes de bastringue endiablé sont aux anges !

Gageons que lors de ce concert exceptionnel les coeurs sensibles vont frémir sous la dentelle soldée de chez Pronuptia, tandis que les scooteurs vont chauffer chez les livreurs de chez Inter-Flora ! Sans oublier -il faut bien rester pragmatique dans ce flot d’émotions extraordinaires et de fantaisies haut de gamme- les employés de DOMINO-PIZZA qui vont avoir du pain sur la planche, si l’on peut dire, pour la fin du spectacle.

Parce que le Mans se doit d’être digne d’un événement aussi féérique, un feu d’artifice offert par la mairie de gauche clôturera cette fabuleuse attraction qui fera la joie de tous ces experts en musicologie (ouvriers éveillés, seniors instruits et jeunes en quête de repères culturels) venus rendre hommage à leur maître Rieu !

Produits dérivés et autres colifichets de haut prix à l’effigie du grand interprète en vente au stand officiel -qui pour l’occasion sera spécialement dressé dans la galerie marchande de AUCHAN- dés la veille du show. Venez nombreux !

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/db88fcb55477b3afe621163f62c8fcaf/

https://rutube.ru/video/4d2841531f5a93f8bf356eee04a4e26b/

http://www.dailymotion.com/video/x5gzfxf

http://www.dailymotion.com/video/x5gy9g1

1340 - Mort du maire du Mans

Il avait l’allure olympienne, le geste ample, le front impérial des hommes de voies royales aux vues supérieures.

Et la légende qui va avec.

Jean-Claude BOULARD était un oiseau magistral, un coq à panache, un César dûment estimé : en plus de la mairie mancelle dans sa poche il avait deux ailes d’envergure et une plume de choix.

Blond, imposant, superbe, l’aigle coiffé de lumière prenait des airs de droite mais volait à gauche... Choses à dire ou à ne pas dire qui lui conféraient cependant d’irrésistibles séductions...

Avec sa tête d’orateur antique, sa voix de tribun, sa naturelle autorité, l’élu devenait parfois authentique tragédien.

Grand personnage de la vie publique, sous son écorce de maire l’homme du Mans laissait apparaître son angle épique, sa figure théâtrale, son abord chaleureux. 

Jean-Claude BOULARD, cette face de porteur de lauriers dont la ville et ses citoyens se souviendront, de son vivant brillait déjà comme un marbre.

Pour le reste, je veux parler de sa politique de gauche, l’Histoire retiendra ou ne retiendra pas son nom... Mais cela n’est plus notre affaire.

Je retiendrai pour ma part, et c’est déjà assez pour n’être pas vain à mes yeux, sa silhouette de statue romaine dans les rues du Mans.

Adieu monsieur le maire, je ne vous détestais pas.


3 commentaires:

Liliana Dumitru a dit…
Beau texte.

Il y a dans ta toge d'etre flamboyant, des plis secrets, que malheureusement, on voit si rarement, mais qui cachent des nuances jaune-or si chaleureuses et pleine d'humaine emotion.
Liliana Dumitru a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Anonyme a dit…
Ecrivez, bordel de merde ! Youtube au diable, d'accord....mais ECRIVEZ, nom d'une pute !

Pour l'amour du Diou, bordel de bordel de merde !

1339 - Déclic final

En cliquant sur cette chaîne (une parmi tant et tant d’autres du même acabit) https://www.youtube.com/channel/UCPk0DZbTVSaYHd4WhahcmdQ/videos j’ai eu le déclic.

J’ai compris qu’il n’y a plus rien à espérer de notre civilisation rongée en son coeur.

- Quand des parents sont fiers de la “réussite” de leurs enfants sur YOUTUBE parce qu’ils promeuvent la honte, l’indécence, la déviance en prenant cela pour des preuves de vertus, d’ouverture d’esprit et de tolérance

- Quand ces enfants parlent avec un tel succès de sujets aussi graveleux devenus à leurs yeux des banalités à prendre à la rigolade

- Quand YOUTUBE met en avant ces genres de vidéos et censure les rares “arriérés” courageux qui comme moi osent émettre la moindre petite critique envers ces faits

- Quand la police aux ordres, la justice complice et pas du tout impartiale, les hommes politiques totalement pervers soutiennent cette mentalité de putrescence morale, culturelle, sociale, civilisationnelle du peuple de France, de sa jeunesse, de ses institutions, de son idéologie

- Bref quand la corruption a atteint un tel niveau dans la rue, dans les têtes, dans les plus hautes sphères du pouvoir, alors je me dis que tout est fini.

Vraiment fini.


Il est inutile de tenter de nager à contre-courant, ce n’est que pure perte de temps et d’énergie.

Ce qu’il faut faire : la fermer, baisser les bras, penser à autre chose. Ne plus s'occuper de politique, se consacrer à l’art, à la pêche à la ligne, à la promenade, etc...


Toucher les allocations en ce qui me concerne, sans le moindre scrupule, et vivre ma vie dans l’indifférence de cette merde généralisée. Me donner au beau, au vrai, au bien en ignorant le reste.

C’est le conseil que je donne à ceux qui seraient tentés par la vaine expérience de la résistance.

Ne résistez pas car cela ne servira à rien, pensez juste à faire autre chose de plus agréable, de plus épanouissant pour vous.

1338 - Constat lucide

La France est foutue, finie, en plein effondrement.

Les combats sont perdus d'avance, il n'y a plus rien à sauver, juste à assister au naufrage (et autant le faire avec cynisme et jubilation). 

Et même précipiter sa perte en en rajoutant une grosse louche : promouvoir la zoophilie, l'enseignement sodomite dès la maternelle, la haine de l'hétérosexualité, l'amour immodéré pour la racaillisation des banlieues au nom du multiculturalisme, l'avortement de confort, l'homosexualisation accélérée des enfants, l'invasion de nos villes et campagnes par des hordes d'étrangers quasi ignorants de notre Histoire, la mise hors-la-loi des défenseurs des valeurs traditionnelles de la famille, etc.

Il n'y a plus rien à faire, plus rien à sauver, plus rien à espérer, sauf la création d'un "orifice sexuel artificiel pour tous" dans le cadre de "l'égalité des citoyens quant au droit de jouir avec n'importe qui et n'importe quoi".

Hommes et femmes égaux dans la liberté d'être ce qu'ils veulent être indépendamment du déterminisme anatomique, traditionnel et socio-culturel ! Vive le mélange des cultures, vive la libération des carcans de tous bords et vive l'orifice artificiel de la jouissance déconditionnée !

Je propose également de repeindre notre drapeau national avec les couleurs de l'Islam, de l'homosexualité et du mariage zoophile.

On est progressiste jusqu'au bout ou on ne l'est pas !

1337 - Dictature républicaine

Aujourd’hui en France nul ne peut promouvoir la vertu, la décence, l’honnêteté sans tomber sous le coup de la loi.

En effet, selon les critères en vigueur, défendre l’hétérosexualité, le mariage traditionnel exclusif entre un homme et une femme, l’éducation hétérosexuelle des enfants, c’est fatalement opérer une “discrimination” envers les autres.

“Les autres”, c’est à dire tous ceux qui ont gravement violé l’ordre naturel depuis l’avènement de l’idéologie homosexuelle dictatoriale et qui se considèrent comme parfaitement normaux, sains d’esprit, équilibrés...

Si vous embrassez la cause conventionnelle, si vous soutenez les vérités traditionnelles, si vous enseignez aux bambins que le garçon doit s’habiller en garçon et que la fille doit s’habiller en fille, alors vous devenez un criminel aux yeux de la république.

Vous serez qualifiés d’homophobes.

A noter que ce terme “HOMOPHOBE” est considéré comme l’infamie suprême en ces temps délirants...

Bref, la société française n’est plus qu’une usine despotique destinée à homosexualiser ses enfants, à remodeler la mentalité de sa jeunesse pour en faire un fruit pourri jusqu’au trognon.

Le résultat de cette profanation collective des consciences, de celle détermination finale à inverser les valeurs les plus essentielles, voire les plus sacrées, planifiée en haut lieu par nos dirigeants satanisés, c’est la légalisation, la valorisation, la diffusion de toutes les perversions.

Osez critiquer ces faits et vous serez irrémédiablement ostracisés, censurés, condamnés !

Telle est la situation de la France en 2018.

Bon courage à tous !


2 commentaires:

Henri Maussane a dit…
Raphaël Zacharie de Izarra, vous m'êtes cher, mais pas au point de demander votre main ; vais-je toutefois risquer de la recevoir sur la gueule? ...
Ainsi, votre article du samedi 30 juin 2018 considère l'homosexualité actuelle comme une perversion ; ne croyez-vous pas qu'elle soit plutôt la perversion d'une perversion?
Autrement dit, tandis que la nature porte les hommes à la pédophilie, par amour des éphèbes adolescents, il est devenu de bon ton, maintenant, d'épouser de vieilles pédales --leur avatar rance.
Pour trancher cette question ne disposez-vous point du rasoir d'une bonne définition de "perversion"?
En attendant votre réponse, je vous prie d'agréer, Monsieur, l'assurance de ma sincère admiration pour votre chatoyante prose.
Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…
Henri Maussane,

La perversion c'est ce qui chatouille désagréablement mes doigts de pied.

Raphaël Zacharie de IZARRA

1336 - Fin du règne satanique

Bientôt la révolution, ça se sent partout à tous les niveaux. Tout s'effondre, tout s'effrite, tout part en lambeaux.

La base est même déjà attaquée, elle chancelle, la fin des fins est toute proche.

Les responsables de la ruine de notre civilisation en paieront le prix.

Malheur à eux !

Ceux qui comme nous sont restés fidèles aux valeurs authentiques d'un humanisme sain d'esprit, loyaux envers leur héritage civilisationnel, ceux-là seront réhabilités et honorés. Eux seront les nouveaux maîtres d'un monde rétabli.

Aujourd'hui les chantres de la décadence, pleins de haine à l'égard des derniers gardiens de la vertu, du bien, du beau, du juste, du vrai n'en finissent pas de porter des coups à la France éternelle, accélérant par là-même leur propre chute.

Terrible sera leur récolte !

Gloire aux âmes sages, aux incorruptibles, aux êtres demeurés décents, aux coeurs ayant su rester purs, intègres, propres au milieu de la putrescence généralisée.

C'est dans la tourmente qu'ils ont pu faire leurs preuves.

Bientôt la révolution. Je le sens, vous le sentez, nous le sentons tous.

Nos adversaires sentent la fin arriver eux-aussi : ils se débattent dans leurs délires, hystéries et conduites contre-nature comme une fuite en avant désespérée...

Tous ils paieront leurs crimes, qui sont prodigieux, sans commune mesure dans l'Histoire des civilisations !

Nous serons certes sévères mais toutefois équitables, humains, chrétiens et finalement miséricordieux envers ces déchus, nous les Justes, nous les Bons, nous les porteurs de la flamme.

La fin est proche, tremblez, priez, espérez...

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samedi 20 avril 2019

1335 - Yemenue

Première aube de la Création.

Un grand vertige s’empare de chaque créature et le mystère imprègne toute chose.

Venus des profondeurs de l’Univers, c’est à dire de partout à la fois, le Principe agit, la Force règne, la Lumière irradie.

La chair s’ouvre, l’astre l’éclaire, l’amour l’unit à l’autre afin de peupler le monde, de fleur en fleur.

Alors la Terre bénit ses propres fruits...

Et le ciel s’agrandit.

L’infini est à la portée de tous parce que tous vivent.

Les nues se reflètent dans les sexes, le sacré des hauteurs descend jusque dans les plus humbles parties du bas, les immensités sont à l'image des particules et chaque vague dans l'océan, chaque battement d'aile dans l'air, chaque goutte de rosée ici et ailleurs a un prix, une place, un droit dans le Cosmos.

Irremplaçables, uniques, royaux.

Yemenue.

Le Soleil féconde les fleuves et les ventres pondent dans la mer. 

Et les ovules font la Lune dans la nuit.

Tout chante, tout palpite, tout aime.

Et tout brille.

Yemenue. 

Et tout brille.

Yemenue. Yemenue.

Et tout continue, tout recommence, tout est possible.

La soupe est originelle, la fête est divine.


Yemenue. Yemenue. Yemenue...

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https://youtu.be/vAlTiaEELjU

https://youtu.be/7o-9ihIu48k

lundi 15 avril 2019

1334 - Notre-Dame des fumées

Rien n’est éternel sur Terre, pas même les pyramides. 

Encore moins les cathédrales.

D’ailleurs les vraies cathédrales sont de papier : les livres.

Les livres, c’est à dire la pensée, l’esprit, les idées.

La matérialité des choses les plus sacrées n'est que leur vulgaire support visible.

Ceux qui s’émeuvent le plus de l’incendie de Notre-Dame de Paris sont soit les athées soit les âmes superficielles.

Ils envisagent les “hauteurs intérieures” comme de simples richesses culturelles, patrimoniales, historiques, confondant les nuages avec le Ciel, le parchemin avec son contenu, le clocher avec l’Eglise.

Ils oublient que tout passe, tout s’envole en fumée, tout part en cendre. Les pierres comme les hommes car les humains aussi ne sont que de passage sur cette planète.

Si le feu peut anéantir nos maisons, pourquoi ne pourrait-il pas pareillement détruire nos grands édifices ?

Il est stupide de croire que nos vaniteuses érections de bois, de granit ou d’airain sont indestructibles, incorruptibles par le temps, intouchables par l’érosion, inattaquable par la flamme...

En voyant la flèche de Notre-Dame tomber, ils découvrent la Lune, prenant conscience que rien ici-bas ne dure.

Pour moi ceux qui pleurent la chute des siècles sont des enfants, des êtres puérils, légers, superficiels, futiles qu’impressionnent la marche normale du monde.

Notre-Dame de Paris s’écroule, les éveillés demeurent de marbre.

Tandis que les imbéciles braient, les coques vides pleurent, les ânes se lamentent.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/Y9HtGCs29aY

mercredi 10 avril 2019

1333 - Hommes, mettez la main aux culs des fumelles !

La mise de la main aux fesses des fumelles est une tradition française, ça fait partie de la gaudriole de notre pays éternel.

Les femelles sont devenues des hyènes de nos jours. Une bonne torgnole les calmerait, ces connasses !

Ha ! Les pauvres petites morues traumatisées par les compliments gaulois, elles vont aller se faire une psycho-thérapie ou bien aller pleurnicher dans les journaux gauchistes pour une anodine pogne au popotin...

"Victimes de la paluche au cul", la pire chose qui puisse leur arriver dans leur existence de mollassonnes à ces privilégiées élevées dans l'hyper-confort. Ces pétasses vindicatives se croient en enfer ici sur Terre pour l'unique raison qu'elle est peuplée de taureaux...

Autant qu'il y a de dindes de leur espèce à se farcir, ne devraient-elles pas s'en réjouir ?

La dextre au postérieur des suffragettes, ça outrage les émancipées mais bourrer le crâne de leurs enfants avec des perversités de sodomites, ces putasses trouvent ça normal !

Moi je suis dénué d'hypocrisie, contrairement à ces faux altruistes qui la ramènent juste parce que c'est la mode.

Je me méfie des bons samaritains autoproclamés...

L'authentique philanthrope est celui qui se préoccupe de son proche voisin au lieu de défiler dans la rue pour des causes lointaines.

Je suis machiste, pas féministe.

Respecter les femmes c'est les considérer comme des femmes qu'elle sont, non comme des hommes qu'elles ne seront jamais.

Selon certains revendiquer d'être une tarlouze détraquée, c'est avoir une fierté congrue. Mais agir en couillu, c'est tout simplement une gloire mal placée !

Les gaillards aujourd'hui se pensent évolués. En vérité ils ont rétrogradés au rang des caniches épilés, lâchement castrés par les cruches dégénérées. Très peu pour moi ces croquettes pour chiots châtrés...

Je suis demeuré un vrai mâle, macho, phallocrate, dominateur et j'emmerde toutes ces pouffiasses vengeresses qui parce qu'elles ne supportent pas l'inconfort et l'humiliation de leurs règles veulent nous faire chier, nous les lions, nous les porteurs de couilles.

La place de la merluche est aux casseroles et au plumard !

VOIR LA VIDEO :



samedi 30 mars 2019

1332 - Les vagues de l'esthète

Je voyais, juste sous la Lune, une présence, une forme, une clarté.

Et, au-dessus des nuages, un astre, un horizon, une voie.

Je suivais un oiseau dans la nue, percevais une flamme dans l’espace, sentais un miracle sur Terre.

Je me savais entouré d’ailes, de légèreté, d’éclat.

Avec, en toile de fond de mon être, un visage pareil à un songe.

Des traits faits d’air et de lumière. D”azur et d’éther. D’étoile et d’or.

Une face comme un océan éternel aux vagues à l’infini dont l’écume argentée vient chanter sur une plage de vie, de vent, de sable et de beautés à perte de vue...

Je visualisais, exactement sous le disque lunaire, une réalité, une silhouette, une blancheur.

Et, au-dessus des cumulus, une lueur, un paysage, un ciel.

Je contemplais la gloire de la Création à travers le passage, haut dans mon âme, de cette Vénus nommée Farrah Fawcett.

samedi 23 mars 2019

1331 - Les Gilets Jaunes

Par-delà le caractère éminemment social du mouvement des Gilets Jaunes, sa dimension humaine, sa force nationaliste, son ampleur historique, fondamentalement je ne suis guère sensible à la couleur de ce faux ciel.

Peu importe que le combat des Gilets Jaunes soit légitime, nécessaire, juste...

Qu’on le trouve utile, essentiel, héroïque, honorable, là n’est pas la question.

Je livre ici ma réflexion sincère, honnête, sans fard ni édulcoration aucune. Et aussi, je le pense, lucide.

Je ne cherche ni à plaire ni à déplaire, seulement à dire une réalité, une pensée, une vérité en moi.

Je trouve infiniment vulgaires ces masses réclamant plus de confort moins d’effort, plus de pain moins d’impôts...

Vindicatives ou pacifiques, hurleuses ou posées, primaires ou plus éduquées, quelles que soient leurs formes ou leurs qualités, ces foules de laborieux en quête d’avancée sociale incarnent à mes yeux toute la vulgarité, la grossièreté, le prosaïsme désenchantant d’un monde envisagé de manière purement horizontal.

Paradis minable des classes moyennes, éden insipide des petits esprits, terre promise des âmes sans envergure, ce monde réclamé, espéré, idéalisé par ces hordes de citoyens combattant le “système” demeure pour moi décevant, ennuyeux, lourd, pathétiquement plat, lamentable et mesquin.

Matérialiste.

Indigne de l’Homme tel que je le conçois. Certes ce n’est pas parce qu’on cherche à défendre une cause vitale, qu’on veut avoir l’assurance de pouvoir caler l’estomac de ses enfants quand ils ont faim que l’on est fatalement méprisable... C’est même parfaitement respectable.

Mais ces batailles terrestres de mes frères humains, aussi capitales soient-elles, ne m’intéressent pas. Ce qui est mon droit.

Elles m’inspirent grisaille, poussière, morosité.

Raconter ses rêves de la nuit, aussi éclatants soient-ils, est la chose la plus soporifique qui soit pour celui qui écoute, c’est bien connu... Alors que dire quand il s’agit des rêves ternes de ces amateurs de pot-au-feu du dimanche ?

Bref ces demi-affamés et autres mal-vêtus adoptant le jaune fluo pour grotesque étendard représentent à mon sens la pire des compagnies humaines...

Moi ce que j’aime, c’est côtoyer des gens heureux, satisfaits, libérés de tous soucis !

Voit-on des chirurgiens, des pilotes de ligne ou des architectes en vue parmi ces contestataires parés de fluorescence ? Leur absence n’est évidemment pas un hasard. C’est même criant de certitude !

Les gens heureux n’ont nul besoin de réclamer ceci ou cela en nous cassant les oreilles, encore moins d'abaisser les aspirations universelles au niveau de la boue, et c’est bien pour cette raison que je préfère aller vers leur lumière.

Enviés, jalousés, adulés ou détestés,moi je dis que les privilégiés sont plus proches des étoiles que les pissenlits jaunes rasant les caniveaux.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/etkUtne22eY

jeudi 21 mars 2019

1330 - Le clown

Il a la tête de l’emploi, le clown : patibulaire sous le fard et la grimace.

Un pauvre type en réalité car tous les clowns sont des balayeurs faisant office de bouche-trous entre deux numéros plus nobles...

Minable, pathétique, consternant avec ses pitreries éculées, il se croit drôle.

Il se prend pour un artiste, c’est un moins que rien, un raté, un parasite.

Quand ce n’est pas un ex-taulard.

Les pauvres gosses qu’il berne avec ses singeries, il les cognerait volontiers en d’autres circonstances...

Voire pire.

En réalité il déteste les bambins. 

C’est un être mauvais, médiocre et même abject.

Mais là sous le chapiteau, il doit mentir, faire illusion, jouer son rôle d’acrobate du rire dénué de talent.

Malhonnête, profiteur, opportuniste, il se vautre dans l’indignité, dérisoirement protégé par son grimage et son nez rouge.

Comme une vermine au milieu de la piste, entouré d’innocents qu’il aimerait molester.

La joie des enfants réchauffe son coeur, éclaire son âme, assure-t-il en se démaquillant.

En vérité c’est l’argent des parents qu’il convoite.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/aZ42_jkhX6E

mardi 19 mars 2019

1329 - Seul

En pleine ville, entouré d’humains par milliers, il est seul.

Lui le vieux garçon, lui l’indésirable, lui l’oublié.

Isolé au coeur de la foule. Intrus parmi l’Humanité. Importun chez les hommes.

Mais surtout, invisible pour les femmes.

Venu au monde par erreur pense-t-il, il ne se sent nulle part chez lui.

Il erre ici-bas comme un pauvre fétu égaré, allant depuis sa naissance ici et là sans but.

Sans espoir particulier, insensibilisé à tout.

Sans grande peine, certes. Mais sans amour non plus.

Sans amour, pas même une once.

Sans âme... Juste un objet. Mais pas un objet utile, léger ou simplement beau, non... Plutôt une chose encombrante.

Lourde. Stérile. Laide.

Une chose qui n’a rien à faire sur Terre. Qui n’apporte rien aux autres. Un caillou contre lequel on se cogne. Une erreur. Un furoncle.

Depuis longtemps il ne pense plus aux femmes, à lui-même, à la vie. Pas même à la mort.

Il ne fait que passer, qu’être présent, planté devant son néant l’air de n’être rien du tout... Sans plus s’excuser d’être là.

Je l’ai croisé sur le trottoir, tantôt.

Ce n’était pas le lampadaire, non.

C’était Marcel, le fameux, l’éternel, l’universel Marcel, ce passant qui ne fait de l’ombre à personne.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/_O3Q8ygLBDs

mercredi 13 mars 2019

1328 - Je suis apolitique

Ce qui entre par ma fenêtre, ce qui sort de l’ordinaire, ce qui se passe hors d’ici, ce qui arrive loin de chez moi, voilà ce qui m’intéresse. Entre les deux bouts des trous, aux extrémités de l’ailleurs, par-delà les simples vues.

La politique n’est point mon affaire.

Je jette des marguerites dans l’infini, cornichonise les tuyaux bouchés, disloque les asticots, tire-bouchonne les coquilles d’escargot, distends les réseaux de rigolos, récupère les anoraks, accapare les rares rats et prépare mes escapades... 

Mais ne fais pas de politique.

Insensible aux programmes présidentiels, allergique aux frontons des mairies, rebelle aux bulletins de vote, je pars à la pêche aux étoiles armé de ma lyre et abreuvé de mes rêves de cosmonaute. De planète en planète, je vais et je viens afin que mes pieds soient encore mieux séparés des pommes de la Terre.

Je suis sérieusement apolitique.

Doutant des hommes publics, je cherche les bénéfices du rire, les marges qui débordent, les berges des mares, les canards qui démarrent. Au bord de moi, je bois pour être ivre. Et vole de bois en bois.

Mais jamais ne me pique de politique !

Pour mes dimanches pleins de promesses et autres jours de la semaine vides de biens des choses, j’ai mon astronef en vue, ma canne en poche et mes cimes en tête. De quoi voir trente-six chandelles en l’air et quelques urnes au sol...

Résolument, je ne suis pas un oiseau politique.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/GumIPq2f1vE

Liste des textes

2461 - Des ombres me parlent
2460 - Une porte s’ouvre
2459 - Les passages du temps
2458 - Le train des jours
2457 - Le directeur
2456 - Au pied du mur
2455 - La loi du plus “fer”
2454 - Ma maison
2453 - Poussière
2452 - Les larmes de la nuit
2451 - Mutisme
2450 - Mon fantôme
2449 - Hallucinations
2448 - Je compte les jours
2447 - Vie de flamme
2446 - De vagues souvenirs
2445 - Les étoiles s’éloignent de moi
2444 - Eclats de joie
2443 - Je parle aux murs
2442 - La marche des matons
2441 - Sainte à l’air
2440 - À l’ombre de ma vie
2439 - Ma geôle sans sucre d’orge
2438 - Des ombres
2437 - Les feuilles
2436 - Quelle issue à mon chemin ?
2435 - Des ailes dans la nuit
2434 - Éclat d’ange
2433 - Le temps me tue
2432 - Les flammes du silence
2431 - Plus de Lune
2430 - Un jour de plus
2429 - Mes rêves
2428 - Une journée ordinaire
2427 - Reine d’un monde
2426 - La pluie
2425 - Je perds pied
2424 - Un oiseau à ma fenêtre
2423 - L’évadé
2422 - Les barreaux
2421 - Eclats et monotonie de la prison
2420 - Les clés
2419 - Espérance
2418 - A travers la fenêtre
2417 - Les années passent
2416 - Une lettre mystérieuse
2415 - Le psychologue
2414 - La douche
2413 - Je tourne en rond
2412 - L’anniversaire
2411 - Quelques visites
2410 - Insomnies
2409 - La promenade
2408 - Mes repas
2407 - Mon lit
2406 - Les printemps
2405 - Solitude de fer
2404 - L’ennui
2403 - Tête de taulard
2402 - La fouille
2401 - Passe-temp
2400 - Les gens libres
2399 - Prière
2398 - Les heures
2397 - La mouche
2396 - La porte
2395 - Le plafond
2394 - Nulle compagnie
2393 - Bientôt fou ?
2392 - Départ
2391 - Mes geôliers
2390 - L’enfermement
2389 - Quatre murs
2388 - Des mots en guise d’ailes
2387 - Mon trou
2386 - Connexion céleste
2385 - Une flamme de l’azur
2384 - Seigneur cinglant
2383 - L’âme en l’air
2382 - Flamme verte
2381 - Au feu les plumes sombres !
2380 - Sombre forêt
2379 - Emportés par le vent
2378 - Un homme des nues
2377 - Courage de Bayrou
2376 - Un chemin sans fin
2375 - Mon univers infini
2374 - Je ne suis pas de la ville !
2373 - Seul parmi les arbres
2372 - Au bout des chemins
2371 - Mon trésor
2370 - Les cumulus
2369 - Qui donc m’observe ?
2368 - Le loup
2367 - Cauchemar
2366 - Un peu de foin
2365 - Bain de crépuscule
2364 - Voyage sous un arbre
2363 - Ma solitude de roi
2362 - Le silence
2361 - Aubes de plomb
2360 - Mes anges les corbeaux
2359 - Vertueuse verdure
2358 - Le parachute
2357 - Au bord de l’eau
2356 - J’y suis et j’y reste !
2355 - Ma soupe
2354 - Les fées n’existent pas !
2353 - Le bon air de mon exil
2352 - Un jour ordinaire
2351 - Vie de rêve
2350 - Ma solitude
2349 - Je découvre une tombe
2348 - Le randonneur
2347 - La nuit
2346 - Le braconnier
2345 - A l’ombre des arbres
2344 - Une belle journée
2343 - L’intruse
2342 - La chasse à courre
2341 - Les vers luisants
2340 - L’hôte qui pique
2339 - Dans la pénombre
2338 - Le ballon
2337 - Ma lanterne
2336 - La barque
2335 - Le chemin creux
2334 - Les deux chasseurs
2333 - Flamme noire
2332 - Deux corbeaux dans un arbre
2331 - Insomnie
2330 - Cris des corbeaux
2329 - Papillons de nuit
2328 - Froid et pluies
2327 - Les ronces
2326 - Chemins de boue
2325 - Tristesse de la forêt
2324 - Provisions de bois
2323 - Dans les buissons
2322 - Pluie matinale
2321 - Les grands arbres
2320 - Terribles crépuscules
2319 - Les rats
2318 - Un ami frappe à ma porte
2317 - Entouré de rusticité
2316 - Le sanglier
2315 - Mon sac
2314 - Le renard
2313 - Ma marmite
2312 - Des bruits dans la nuit
2311 - Les lapins
2310 - Un signe sous le ciel
2309 - La Lune vue de mon toit
2308 - Une gauchiste explosive
2307 - Sortie nocturne
2306 - Le vent sur la forêt
2305 - Un air de feu
2304 - Rêve dans les branches
2303 - L’écolo
2302 - Les papillons
2301 - La corneille
2300 - Les patates
2299 - L’escorte des souches
2298 - Un orage au dessert
2297 - Nulle femme dans ma forêt
2296 - Indispensables pommes de pin
2295 - Promenade
2294 - La pluie sur mon toit
2293 - A la chandelle
2292 - Un soir de brume
2291 - Vie de feu
2290 - La rosée matinale
2289 - Dans l’herbe
2288 - Par la fenêtre
2287 - Ma cheminée
2286 - Mes chemins d’ermite
2285 - Au réveil
2284 - Les cailloux sur mes chemins
2283 - Mes sentiments de bûche
2282 - Nuit de pleine lune en forêt
2281 - Ivresse de femme
2280 - Loin de ma grotte
2279 - Tempête dans mon trou
2278 - Baignades d'ermite
2277 - Un hibou dans la nuit
2276 - Mes ennemis les frileux
2275 - Ermite aux pieds sur terre
2274 - Mon jardin d’ermite
2273 - La récolte des fagots
2272 - Un étrange visiteur
2271 - Ma demeure d’ermite
2270 - Un homme clair
2269 - Un foyer au fond de la forêt
2268 - Les raisons du peintre
2267 - La célibataire
2266 - Les femmes
2265 - Une femme
2264 - France sous les étoiles
2263 - Un homme hors du monde
2262 - Homme de feu
2261 - Rencontre du troisième type
2260 - Voyage
2259 - Déprime
2258 - Fiers de leur race
2257 - La fille lointaine
2256 - Le Noir méchant
2255 - L’attente
2254 - J’ai entendu une musique de l’an 3000
2253 - Le modèle
2252 - Blonde ordinaire
2251 - Mâle archaïque mais authentique
2250 - La femme et la flamme
2249 - Voyages au bout de la terre
2248 - Ma chambre
2247 - Le vieil homme entre ses murs
2246 - L'ovin
2245 - Vous les mous, les mouches, les mouchards
2244 - Mon humanisme fracassant
2243 - Ma cabane sur la Lune
2242 - Les marques rouges du ciel
2241 - Je reviens !
2240 - Une fille de toque
2239 - La légèreté de la Lune
2238 - Janvier
2237 - Elena Yerevan
2236 - Oiseaux de rêve ?
2235 - J’irai vivre à la campagne
2234 - Fiers de leurs péchés
2233 - Deux faces
2232 - Le soleil de la jeunesse
2231 - Dans les bois
2230 - Nuit de vents
2229 - Mon fauteuil de lune
2228 - Le sourire d’une marguerite
2227 - Je ne suis pas antiraciste
2226 - Qui est-elle ?
2225 - L’arc-en-ciel
2224 - Je suis parti dormir sur la Lune
2223 - La sotte intelligence
2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet