Si comme le prétendent mes détracteurs je ne cesse de dire des âneries, des
insanités, des mensonges au sujet de la société et que c’est bien à
cause de cela que je suis partout censuré, je leur réponds que si tel était
réellement le cas, jamais je n’aurais été muselé de la sorte. En effet, qui dit
des idioties se discrédite de lui-même. Nul ne s’est jamais senti obligé de
censurer le fou, l’ignare, le délirant, l’ivrogne, le clown : ce que chante
l’âne tombe fatalement à l’eau et on en rit.
Non, c’est bel et bien parce que je dis la VÉRITÉ que j’ai été banni du débat public.
Vérité qui sonne de façon discordante par rapport aux bêlements unilatéraux et quasi obligatoires d’un peuple aux cerveaux violés par le matraquage gauchiste, pris en otage par la pensée médiatique dominante. C’est cette disharmonie que me reprochent mes accusateurs.
On ne censure que la vérité.
Ce n’est pas le faux qui fait trembler mais le vrai. Si ma pensée était vraiment absurde, inepte, insignifiante, on ne m’empêcherait pas de l’exprimer, elle passerait tout simplement inaperçue, nul n’y prêterait attention.
Non, c’est bel et bien parce que je dis la VÉRITÉ que j’ai été banni du débat public.
Vérité qui sonne de façon discordante par rapport aux bêlements unilatéraux et quasi obligatoires d’un peuple aux cerveaux violés par le matraquage gauchiste, pris en otage par la pensée médiatique dominante. C’est cette disharmonie que me reprochent mes accusateurs.
On ne censure que la vérité.
Ce n’est pas le faux qui fait trembler mais le vrai. Si ma pensée était vraiment absurde, inepte, insignifiante, on ne m’empêcherait pas de l’exprimer, elle passerait tout simplement inaperçue, nul n’y prêterait attention.
Mes adversaires de la pensée unique ne combattent que ce qui est dangereux pour eux, pas ce qui est inoffensif.
Toutes ces précautions prises à mon endroit en hauts lieux, ces barrières dressées contre ma parole, ces barbelés autour de ma plume sont autant de preuves que brille sur mon front une couronne et non que je porte un nez rouge.
Aucun contradicteur ne rit de mes prétendues sornettes, au contraire tous s’en indignent.
La vérité est une flamme qui brûle l’ivraie. Une flèche qui perce la mollesse. Une lame qui tranche sans fard. Un fer qui redresse les bois tordus. Une lumière qui élimine l’artifice. Une épée séparant le jour de la nuit. Une tempête dispersant les fumées.
Bref, la vérité est une arme qui ne blesse que les tricheurs.
Soral dans une plus grande mesure que moi incarne cet évangile que les corrompus veulent diaboliser.
Si Soral est si totalement censuré, c’est bien parce que les rayons de cet astre magistral représentent le plus grand péril pour ces théoriciens de l’ombre gauchiste qui aliènent les esprits faibles dans leur secte laïque.
Si Soral est lui aussi si dangereux pour notre société, si indécent, si subversif, si révoltant et si insupportable à voir, à entendre, si difficile à chasser de nos esprits, c’est parce que sa seule alliée, c’est la vérité.
Toute nue.
VOIR LA VIDEO :
http://www.dailymotion.com/video/x2f7fo5_pourquoi-je-suis-censure-raphael-zacharie-de-izarra_webcam
3 commentaires:
Tu es le meilleur Raphael.
Naze et sans intérêt.
L'expression de la vérité n'a jamais intéressé ni les tricheurs ni les menteurs ni les très héroïques anonymes...
Raphaël Zacharie de IZARRA
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