Elle avait la tête d'un épis de maïs solitaire et supérieur né sous un océan d'azur majeur.
Je pourrais de manière inlassable associer, comparer, mesurer Farrah Fawcett à des nuages, à de la farine, à des galets, à de la confiture, à des montagnes ou à des carottes, invariablement de ma plume intarissable et à l'état pur je ferais pleuvoir de la lumière, neiger des étoiles, se matérialiser des rêves... Je récolterais encore du suc de Soleil, des éclats de joie et pour finir ferais pousser du Ciel de la Terre.
Bref, parler de cette tige de chair et de marbre, d'os et d'or, c'est chanter dans le brouillard autant que sur la Lune.
C'est également comprendre qu'avec le temps la charogne se change en fumée légère et que l'éther est la source de toute matière.
Moi, j'alimente mon âme de son image éblouissante, de ses lignes rares, de ses traits clairs...
Je me nourris de ce miracle esthétique, de cet évangile du Beau qu'elle incarna à travers le caprice insondable du Cosmos et la grâce infinie de Dieu.
VOIR LA VIDEO :
https://www.youtube.com/watch?v=w_ODJYkJMxw&feature=youtu.be
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