Des Maliens belliqueux, plus précisément des religieux musulmans fanatiques
et dégénérés, menacent la France actuellement.
Le meilleur moyen de ne pas être ennuyé par ces fous furieux totalement
demeurés, englués dans leurs superstitions et certitudes locales, est de ne pas
nous mêler de leurs problèmes.
Pourquoi la France met-elle donc son nez dans le cul de ces pays
puants, indigents, parfois même pas beaux, bref sans nul intérêt, alors qu’elle
pourrait tout aussi bien se tenir peinarde loin de ces miasmes à faire des
choses plus agréables et fructueuses ?
Laissons donc ces idiots de Maliens si fiers de leur archaïsme et de leur
patrie de va-nu-pieds s’enliser dans leur mélasse politico-religieuse d’un autre
âge. C’est leur dada, pas le nôtre.
Abandonnons définitivement les pays sous développés à leur sort de pays
sous-développés en voie de sous-développement, regardons-les se massacrer entre
eux au lieu de vouloir systématiquement intervenir. Il ne sert à rien de vouloir
dresser un chien féroce à devenir un toutou de salon s’il ne comprend pas de lui
même que c’est dans son propre intérêt. C’est le clébard lui-même qui opte
pour la piqûre létale en refusant de donner gentiment la papatte à
son maître.
Ce qui est le cas du Mali : en refusant de rentrer les crocs et de lever la
patte, les Maliens s’administrent d’eux-mêmes leur malheur. C’est leur choix,
respectons-le.
La maturité politique, spirituelle, économique, sociale, etc., de tous ces
pays en recherche de stabilité viendra en son heure sans qu’il ait besoin de
nous exposer.
Elle viendra naturellement, progressivement, à force de coups reçus de leur
propre initiative comme le poulet s’assommant de lui-même,
inlassablement, contre la vitre qu’il ne voit décidément pas. A la fin, réveillé
par la douleur devenant de plus en plus forte, le gallinacé finit par comprendre
qu’il faut changer de chemin pour avancer.
Si les gens de ces pays défavorisés où survivre est déjà pénible souhaitent
en plus retourner à l’état de demi-sauvages, voire de fauves, cultiver la bêtise
et l’ignorance, vivre dans la peur, la souffrance et le malheur, pourquoi les en
empêcher ? Ainsi ces adversaires de la liberté et de la Civilisation
expérimenteront de leur plein gré leur propre enfer.
Les laisser se brûler les doigts est beaucoup plus pédagogique que de
forcer ces ânes à boire à notre coupe de démocratie.
Lutter contre les injustices, les guerres, les horreurs, les atrocités, les
viols, les lapidations, la barbarie religieuse ?
Au contraire, laissons faire.
La meilleure façon de contrer la chiasse morale de
ces contrées malades, c’est de laisser ceux qui les peuplent se chier les uns
sur les autres. Les populations pauvres de l’Afrique adorent se faire la guerre
entre elles. C’est leurs traditions chéries, quasiment dans leurs gènes.
D’ailleurs là-bas plus les hommes sont dans le besoin alimentaire, meurent de
choléra, de SIDA, ou pire, d’une simple grippe, plus ils aiment se quereller
pour des histoires de lois coraniques, de couleur de drapeau ou de choix
vestimentaire. Ca n’a aucun rapport avec leurs vrais problèmes de fond mais ils
aiment ça quand même. Jouer à des jeux aussi dangereux que futiles le ventre
vide, la tête pleine de rêves irréalisables.
Les Nègres en Afrique, ils sont comme ça.
Lorsque l’odeur régnant dans ces pays de misère et de souffrance sera trop
insupportable à leurs habitants, ils changeront de cap. C’est dans l’ordre des
choses. Quand le vent est à la merde, il finit toujours par tourner. C’est par
la succession des échecs que vient la réussite. Tant que ces pays de déserts de
sable et de sécheresses des coeurs n’auront pas atteints le fond de la bêtise
sous leur soleil de mort, il ne leur viendra jamais l’idée de remonter vers les
lumières de l’intelligence, l’eau de la douceur et la caresse du progrès.
Cessons de nous occuper des affaires des attardés qui pataugent encore dans
leur caca, tel est le secret de l’ordre et de l’harmonie universelle !
Pascal ne disait-il pas que tous les maux du monde venaient du fait que les
hommes ne savent pas rester tranquillement dans leur chambre ? Voltaire n’a-t-il
pas fait l’éloge du jardinage ?
Désintéressons-nous du destin de ces sauvages belliqueux et arriérés, c’est en isolant un feu qu’on en empêche sa propagation.
Désintéressons-nous du destin de ces sauvages belliqueux et arriérés, c’est en isolant un feu qu’on en empêche sa propagation.
Je jour où les pays enviés et évolués comme la France arrêteront
d’intervenir et de s’intéresser au sort des trainards de la civilisation, ces
derniers s’extrairont d’eux-mêmes de leur bête enlisement religieux, idéologique
ou économique.
Intervenir c’est provoquer leur résistance. Donc les renforcer dans leurs
hérésies.
Aussi, détournons-nous vertueusement de l’ivraie qu’ils sèment sur leur
propre sol.
Cultivons nos clairs potagers, demeurons dans nos chambres
sereines, jouissons de tout coeur de notre confort, de notre liberté, de notre
paix, de notre richesse, donnons-leur simplement l’exemple de notre bonheur,
voilà des actes politiques réellement révolutionnaires !
PRECISION :
Je suis du parti de ne rien faire ou plutôt, de laisser faire.
PRECISION :
Je suis du parti de ne rien faire ou plutôt, de laisser faire.
Attitude sage, hautement pédagogique, profondément philosophique et même séditieusement politique.
L'avantage du laisser-faire, c'est que cela nous épargne, nous gens évolués, de nous salir les mains dans des conflits sans intérêt.
Nous avons la chance de vivre dans un pays tempéré, civilisé, faisons comme les grecs anciens : philosophons proprement au lieu d'aller nous embourber dans la merde des métèques.
Quand l'éducation ne suffit pas, la pédagogie suprême consiste à laisser les ânes patauger dans leur fumier.
Et puis pourquoi aller contre la volonté des méchants, des immatures, des dégénérés qui souhaitent s'étriper ? Que l'on prenne parti ou non, cela ne changera rien à leurs mouvements belliqueux profondément ancré dans leur cervelet quasi préhistorique : il faut qu'ils se rentrent dedans coûte que coûte, pour ensuite mieux éprouver en eux-mêmes, profondément, le désir de paix.
Tant qu'à se massacrer entre eux, que cela se fasse dans un esprit positif. Ne nous désolons pas du spectacle de leur bêtise, au contraire réjouissons-nous de ne pas leur ressembler, réjouissons-nous d'être les témoins passifs de leur cheminement vers l'évolution.
L'étripage collectif est un stade dans l'évolution de ces peuples arriérés.
Quoi de plus pédagogique que l'enfant qui se brûle la main sur une plaque chaude quand les conseils de prudence ne suffisent pas ? Lorsque ces peuples se seront bien brûlés les doigts, après quelques guerres bien sanguinaires, ils commenceront à désirer nous imiter, nous les gens évolués.
Car nous préférons galamment parler littérature, art et gastronomie en des lieux feutrés plutôt que d'aller nous bagarrer au fond du désert au nom de lois coraniques dépassées.
Ne nous mêlons pas des oignons des peuples barbares. Laissons-les faire l'expérience de leur inhumanité. Leur désir d'humanité naîtra de notre "indifférence", qui en réalité est un acte de grand humanisme.
Quand l'éducation ne suffit pas, la pédagogie suprême consiste à laisser les ânes patauger dans leur fumier.
Et puis pourquoi aller contre la volonté des méchants, des immatures, des dégénérés qui souhaitent s'étriper ? Que l'on prenne parti ou non, cela ne changera rien à leurs mouvements belliqueux profondément ancré dans leur cervelet quasi préhistorique : il faut qu'ils se rentrent dedans coûte que coûte, pour ensuite mieux éprouver en eux-mêmes, profondément, le désir de paix.
Tant qu'à se massacrer entre eux, que cela se fasse dans un esprit positif. Ne nous désolons pas du spectacle de leur bêtise, au contraire réjouissons-nous de ne pas leur ressembler, réjouissons-nous d'être les témoins passifs de leur cheminement vers l'évolution.
L'étripage collectif est un stade dans l'évolution de ces peuples arriérés.
Quoi de plus pédagogique que l'enfant qui se brûle la main sur une plaque chaude quand les conseils de prudence ne suffisent pas ? Lorsque ces peuples se seront bien brûlés les doigts, après quelques guerres bien sanguinaires, ils commenceront à désirer nous imiter, nous les gens évolués.
Car nous préférons galamment parler littérature, art et gastronomie en des lieux feutrés plutôt que d'aller nous bagarrer au fond du désert au nom de lois coraniques dépassées.
Ne nous mêlons pas des oignons des peuples barbares. Laissons-les faire l'expérience de leur inhumanité. Leur désir d'humanité naîtra de notre "indifférence", qui en réalité est un acte de grand humanisme.