mercredi 25 janvier 2012

947 - La dernière chance de la bêtise

A mesure que les rides s’accumulaient sur son front ridiculement fardé, celle qui durant sa jeunesse fut non pas laide mais simplement insignifiante devenait de plus en plus haineuse.

Passer de l’état de femme commune à celui de petite vieille ordinaire lui était plus insupportable que de connaître le destin d’une jolie fleur se desséchant ou d’un chardon conservant toute sa vie ses épines et sa grimace. Au moins certaines vieillardes se consolent de leur disgrâce en se souvenant d’avoir été belles jadis et les plus infortunées qui ont hérité leur laideur du berceau n’ont point d’amertume en se mirant dans le tombeau.

Les premières ont gagné l’estime du monde et s’en flattent, les secondes n’ayant jamais quitté leur trône de ronces ne sacrifient rien et sont sans regret. Les unes ont joui de l’éclat de leur jeunesse tandis que les autres n’ont souffert d’aucune désillusion avec l’âge.

Mais elle, ni belle ni laide, subissait le sort médiocre d’une plante terne. Avec l’impression de perdre beaucoup plus que toutes les autres en sombrant dans la décrépitude : inspirer l’indifférence aux hommes est la pire chose pour une femme. Un laideron aura toujours ce cruel mais réel avantage de n’être pas invisible, contrairement aux pâles fougères de son espèce. Avec délices on hume les roses. Avec égards on craint les orties. Mais on piétine sans y prendre garde tout ce qui, comme elle, reste transparent.

Méprisant les opportunités amoureuses auxquelles elle avait droit de par sa modeste extraction et sa sobre condition féminine, elle visait des unions prestigieuses, perdant temps, énergie et argent à essayer de séduire princes, hobereaux, nobles de toutes sortes. Tous  raillaient évidemment cette espèce de charcutière en dentelles furieusement éprise d'elle-même en quête d'un reflet illusoire autant que d'un seigneur aimant, si bien qu'elle était demeurée vieille fille.

Avec les années sa face se dégradait donc, son coeur également.

Par tous les moyens elle avait tenté de se hisser au rang d'une Vénus qu’elle n’était pas : cosmétique onéreuse, chirurgie plastique, accessoires de mode, cours de yoga...

En vain.

Le résultat n’en était même que plus lamentable : à soixante ans elle arborait un visage grotesque, une silhouette mensongère, une peau irréelle.

De vrais diamants lui pendaient aux oreilles, une toilette de luxe et des soins esthétiques coûteux devaient censément mettre en valeur sa personne, des textiles de choix couvraient ses épaules...

Malheureusement le reste, c’est à dire l’essentiel, se résumait à du toc. Les artifices avaient beau valoir le prix de l’or et de la soie, le présentoir ne valait rien.

Les parures seules étincelaient, non celle qui les portait.

Les pierres, les bijoux, la marque de ses vêtement, la matière de ses sacs à mains, la perruque, le vernis, tout était authentique. Sauf le volatile déplumé qui caquetait de sotte satisfaction à la vue de ces inutiles ornements : faute de beauté naturelle, elle en affichait stupidement les signes extérieurs.

La vanité ne lui suffisait pas, il lui fallait encore faire preuve de méchanceté pour se dédommager de la peine supplémentaire que lui occasionnait son entrée dans la vieillesse.

Elle considérait la déchéance ultime de sa féminité comme une injure de la nature faite à son hymen, à ses traits, à ses formes sans saveur et ne songeait plus qu’a se venger non pas sur les créatures mais plus spécifiquement sur les herbes incolores qui lui ressemblaient ! A la différence que ses victimes aux âmes saines n’avaient jamais cultivé l’aigreur, d’où la réussite de leur vie de femme.

Ce qui la faisait enrager davantage.

Mais quel mal pouvait-elle faire à des femmes épanouies ? Chacune de ses tentatives de disqualifier ses soeurs heureuses échouait, l’évidence des faits ne plaidant guère en sa faveur...  Ses méfaits et médisances la rendaient encore plus laide jour après jour.

Elle qui au départ n’était point déplaisante, juste banale, mais refusait de se satisfaire de l’humble trésor reçu à sa naissance avait tout gâché, tout raté en voulant gagner un royaume hors de sa portée.

C’est précisément là qu’advint le miracle : un vieil aristocrate cynique sut repérer la détestable chamelle se dissimulant derrière tant de leurres et la prit pour épouse afin d’agrémenter ses derniers jours en compagnie de ce monstre de fatuité certes pitoyable... mais délicieusement comique.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/WD2QbDLW6DM

samedi 21 janvier 2012

946 - Sous la fange

Pieds nus dans les ordures, le front sale, les mains puantes, le corps décharné, il cherche des trésors dérisoires dans l’amas de détritus.

Intouchable issu des bas-fonds de Calcutta, nourri depuis toujours de misère et de peines mais détaché de toute vanité, il ne prend plus la peine de se redresser et passe son existence à quérir misérable pitance pour mieux s’éloigner des artifices de la vie. Destin austère qu’il a choisi de son plein gré...

Ou plutôt qu’il a décidé de ne pas fuir.

Conscient de n’être qu’une brise sur cette Terre, simple poussière dans le Cosmos, passager parmi tant d’autres dans le temps qui passe, il contemple le monde avec profondeur et légèreté, sans regret ni passion.

De temps à autre il lève les yeux vers l’horizon, plein d’espérance. Ce n’est pas un bien-être vulgaire qu’il attend, non une promesse de confort, d’or ou de feux factices. Il ne veut pas être riche d’apparences, de gloires temporelles et de jouissances profanes.

Seul l’infini l’intéresse.

Il souffre mais il n’est pas triste. Tous les hommes souffrent, il le sait. Il est même joyeux. Paisible, par-delà sa vie de rat, parce qu’éloigné des pièges d’un bonheur terrestre voué au néant.

Il fouille dans les déchets pour s’alimenter au jour le jour et poursuivre sans illusion son âpre route jusqu’à la mort.

Et pourtant la vue du ciel, des êtres rampants, des plantes, des cailloux et des autres humains le rend léger, bienveillant, souriant.

945 - La pauvreté n'existe pas en France

La définition de la pauvreté en France actuellement c’est le fait, par exemple, de ne pas avoir d’accès à INTERNET chez soi.

Ou de ne pas posséder de téléphone portable.

Et de bien d’autres choses équivalentes en termes de besoins "vitaux" :

- ne pas réveillonner
- ne pas manger de viande, ou n’en manger qu’une fois par semaine
- se priver des cadeaux de Noël
- rester dans sa région durant les vacances
- se déplacer en mobylette (pire : à vélo) plutôt qu’en voiture

Et lorsqu’on est propriétaire d’une automobile, on est tout de même désigné comme une victime de l’injustice du système si celle-ci est vieille, sale, démodée, rayée, cabossée...

On considère également que se “vêtir dignement” c’est être habillé à la mode. Ne pas l’être est perçu comme une marginalisation insidieuse.

Quant à la misère, toujours selon cette définition officielle que j’estime abusive, cela signifie ne pas avoir d’eau du robinet, de chauffage ou l’électricité. A mon sens pouvoir se passer de l’onde domestique, de la chaleur accessoire et du courant électrique ce n’est pas de la misère mais au contraire une richesse, un privilège que seuls les esprits supérieurs savent goûter avec poésie : esthètes de haut vol, mystiques, grands artistes, vieux sages.

Sans cesse gavés de toutes sortes de futilités, les éternels geignards que je raille si férocement ne pourront jamais être sensibles aux raffinements et délices rafraichissants du dépouillement matériel...

En ce qui me concerne, je vis parfaitement bien sans chauffage, sans portable, sans cadeaux de Noël, sans vacances, sans réveillons. Et sans mets carnés puisque je suis végétarien. Mais avec un vélo car j’utilise quotidiennement mes mollets, surtout quand il gèle !

Pour moi la réelle indigence c’est le fait de ne pas manger à sa faim tous les jours, de ne pas pouvoir se laver, endurer péniblement le froid. Etant donné mes maigres revenus et mes moeurs frugales, je suis censé appartenir à l’espèce des malheureux. Or je mange à ma faim, suis propre et ne souffre nullement du froid puisque je l’affronte avec joie et santé.

Tout le reste est secondaire : aliénation, artifice, amusement.

Et souvent perte de temps et d’énergie en plus de la perte d’argent.

Beaucoup de gens dans ma situation, voire plus avantagés encore, se croient dans le besoin, se persuadent qu’ils sont à plaindre...

Soyons sérieux. Qu’est-ce que le vrai dénuement matériel ? Souffrir de la faim, du climat, de mauvaises conditions d’hygiène à en tomber malade, ne pas pouvoir se soigner, voilà ce qui atteint l’honnête homme. Heureusement cette véritable détresse n’existe pas en France.

Ou plutôt si, elle est présente aujourd’hui en France dans nos rues, on peut la voir, la sentir, la toucher et même être contaminé pour peu que l’on soit faible, imbécile, infirme de l’âme.

Mais c’est une infortune inverse -morale et non alimentaire- dont sont victimes citadins et ruraux aux appartements surchauffés qui, appauvris en anticorps, tombent malade dès qu’ils sortent sous la pluie. Sans omettre les plus malchanceux, mal en point par excès de graisses et de sucres quotidiennement ingérés... C’est cela l‘adversité en France : la surabondance de richesses et de confort.

Ce que l’on appelle “exclusion” est en réalité un certain état de confort et non d’insuffisance. Bien-être certes basique mais palpable.

Cette pauvreté ne consiste pas en un manque de choses essentielles mais en un manque de superflu. Conception très perverse de la condition sociale... Nombre d’assouvis tombent dans le piège et geignent sur leur sort qui en réalité est enviable (ou pour être plus exact, triste et indécent), même sans le comparer aux miséreux des pays défavorisés.

La plupart des rassasiés de la classe moyenne et ouvrière se disent victimes de la crise tout en étant repus de babioles, gadgets, divertissements et inutilités, tant alimentaires que culturels.

Je crois que la valeur de l’être humain contemporain réside de plus en plus dans sa liberté effrontée de mépriser avec éclat, insolence et hauteur tout ce que la société de surabondance lui offre en termes de vulgarité.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/cd46895a880b91f91b59b7bdff3e4345/


mardi 17 janvier 2012

944 - Confort de chien plutôt que bonheur de veau

Ma demeure, une grosse cabane informelle perdue au coeur de la forêt -avec une cheminée pour tout chauffage- n'a pas de robinet, nulle électricité et encore moins de décoration.
 
Je ne consomme aucune viande, bois de l’eau claire, ne vais jamais au cinéma, ignore la télévision, suis totalement déconnecté des agitations du monde. Non par contrainte, exclusion ou pauvreté matérielle, mais par choix.
 
Je vis comme un moine.
 
Ou pour être plus exact, pareil à un authentique bourgeois sous le règne du grand roi Louis XIV. Même les pharaons ne vivaient guère mieux que moi, d’ailleurs certains mourraient jeunes.
 
Je suis sobre, disais-je.
 
Grâce à ce régime économique ma santé est excellente : je suis robuste, toujours en pleine forme, sain, rieur.
 
J’ai très peu d’argent. Enfin juste assez pour me nourrir et parer à mes besoins vitaux. Indifférent à la mode, isolé dans les bois je n’ai pas le souci de plaire à mes voisins, à un patron, à des clients, bref à une société superficielle. Les rares bipèdes que je fréquente sont tous gens supérieurement intelligents qui se moquent de la qualité ou de la couleur des vêtements que je porte. Je suis propre sur moi mais libre de me vêtir sans aucune pression sociale. J’ai le minimum pour vivre, j’estime donc être riche. D’autant que je suis très satisfait de mon sort de ce point de vue.
 
En décembre pendant que mes frères humains gavés en permanence de confort, de futilités et de surconsommation en tous genres se lamentent du froid, tremblent pour leurs canalisations ou crient au scandale parce que les axes routiers menant aux ”sports d’hiver” ne sont pas déneigés assez vite, de mon côté je me réjouis de la beauté du givre qui fait craquer mon abri et blanchit la sylve.
 
Et tandis que certains citoyens désenchantés de ce beau pays de France (que le gel rend encore plus ingrats envers la providence, sous divers prétextes dérisoires) portent plainte contre le maire de leur commune pour “négligence” parce qu’ils ont glissé avec douleur sur le verglas de la voie publique, je glisse moi aussi au fond d’un fossé dans une gerbe de flocons virevoltants. Et cela m’amuse.
 
Eux ont prévu cet “inconvénient” dans leur contrat d’assurance tous risques... Moi je n’ai rien prévu, je n'ai pas le moindre papier de garantie contre je ne sais quel danger. Et je ne me fais point mal. Mais il est vrai que lorsque viennent les gelées je ne pars pas en “vacances d’hiver” faire du ski à cinq-cent kilomètres de mes arbres enneigée... Par conséquent je réduis considérablement les chances de me faire... décerveler.
 
Aux températures plus clémentes, en avril ou mai, mes semblables calfeutrés dans leurs maisons chauffées entourées de moquette craignent encore les pollens. Ils remplacent leurs anticorps perdus en ingurgitant de la “parapharmacie.” Moi je respire les odeurs de la saison, me fait piquer par des abeilles, me lave à la manne qu'est pluie, insensible aux effets “nuisibles” des éléments que redoutent tant les citadins, et cela fortifie ma constitution au lieu de l’affaiblir.
 
Avec mon existence frugale, mes moeurs viriles, mon mode de vie rustique, mes moyens de subsistance modestes je passe pour un miséreux dans ma maison de rondins.
 
Dans cet environnement de mollesse, de frilosité, de geignards, de convoitises superflues, les hommes vraiment heureux sont ceux qui possèdent le moins de choses matérielles et vivent dans l’âpre bien-être naturel.
 
Les autres s’ennuient au point d‘aller courir après la neige, loin de chez eux. Alors qu'elle se trouve pourtant à leurs pieds. Et, à la période estivale, ils se dépêchent de rejoindre le sud afin d'y poursuivre désespérément les rayons du soleil... Le plus drôle, le plus absurde, c’est qu’ils se plaignent de la poudreuse en janvier et de la chaleur en juillet lorsqu'elles tombent sur leurs toits et en même temps ils vont les chercher à grands frais et avec avidité à des centaines de lieues de chez eux...
 
Depuis mon humble asile de branches sans tuyau ni câble électrique, ni téléphone, ni radiateur, ni tapis, ni écran, j’ai l’hiver en hiver, le printemps au printemps, l’été en été, l’automne en automne.

Mais surtout j’ai, en surplus gratuitement toute l’année : le plus simple de tous les bonheurs.

vendredi 6 janvier 2012

943 - Dimanche de sous-préfecture

Léthargie dominicale à Sillé-le-Guillaume !
 
Depuis le cimetière jusqu’aux tables des salles à manger avec leurs nappes couvertes de miettes en passant par la place centrale jouxtant le presbytère, tout suinte l’honnêteté ennuyeuse dans cette cité du fin fond de la province figée dans un siècle révolu.
 
Le repas de midi s’étire en fonds de verres de cidre tiédi suivis de siestes informelles... Paralysée par la torpeur estivale et intellectuelle, la ville peuplée de cerveaux pareils à des limaces bave d’imbécile auto satisfaction. Toute l’année le bourg ronfle en silence. En toutes saisons la ouate de la paresse cérébrale tombe mollement sur les toits pour y givrer les esprits.
 
A 35 kilomètres de là le Mans est un autre pays, Paname une planète inconnue, la Lune une voisine familière.
 
Quant à l’Amérique, c’est un impensable horizon. L’inconcevable univers, abstrait, plus terrifiant que la capitale de la France... Un trou noir.
 
La “réalité vraie” en ce lieu pétri de certitudes locales ne dépasse pas les bornes de la... localité !
 
A Sillé-le-Guillaume on voyage en faisant du sur-place. Les plus téméraires enfourchent leur vélo. On se méfie du TGV passant sur la commune. Le Paris-Rennes est un tonnerre d’acier qui zèbre dix fois par jour l’espace sonore du centre-ville sans jamais parvenir à entamer la masse molle intérieure de ses habitants : ici les mollusques sont paradoxalement insensibles aux fers les plus durs de la modernité.
 
La redoutable inertie de Sillé-le-Guillaume a systématiquement triomphé des fureurs citadines. La gélatine silléenne est l’ennemie séculaire, invincible du métal parisien. La pensée flasque de cette contrée d’un autre temps a toujours vaillamment résisté aux attaques acides des mondains. Vaine fierté de sous-préfecture...
 
Enfin, les hiboux de la forêt domaniale coiffant l’agglomération sont les seuls étrangers traditionnels de Sillé-le-Guillaume. Les autres, ce sont de véritables bêtes curieuses parlant hollandais, allemand et anglais que l’on tolère pour la bonne raison qu’ils font du camping payant sur les bords du lac.
 
A Sillé-le-Guillaume on végète dans un âge ingrat mais on a un sacré sens crotté des affaires !
 
VOIR LA VIDEO :
 

Liste des textes

2262 - Homme de feu
2261 - Rencontre du troisième type
2260 - Voyage
2259 - Déprime
2258 - Fiers de leur race
2257 - La fille lointaine
2256 - Le Noir méchant
2255 - L’attente
2254 - J’ai entendu une musique de l’an 3000
2253 - Le modèle
2252 - Blonde ordinaire
2251 - Mâle archaïque mais authentique
2250 - La femme et la flamme
2249 - Voyages au bout de la terre
2248 - Ma chambre
2247 - Le vieil homme entre ses murs
2246 - Le mouton
2245 - Vous les mous, les mouches, les mouchards
2244 - Mon humanisme fracassant
2243 - Ma cabane sur la Lune
2242 - Les marques rouges du ciel
2241 - Je reviens !
2240 - Une fille de toque
2239 - La légèreté de la Lune
2238 - Janvier
2237 - Elena Yerevan
2236 - Oiseaux de rêve ?
2235 - J’irai vivre à la campagne
2234 - Fiers de leurs péchés
2233 - Deux faces
2232 - Le soleil de la jeunesse
2231 - Dans les bois
2230 - Nuit de vents
2229 - Mon fauteuil de lune
2228 - Le sourire d’une marguerite
2227 - Je ne suis pas antiraciste
2226 - Qui est-elle ?
2225 - L’arc-en-ciel
2224 - Je suis parti dormir sur la Lune
2223 - La sotte intelligence
2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1683 - Deux pures poires
1682 - La copie
1681 - Vous le connaissez
1680 - Le prix de la beauté
1679 - Vie d’élite
1678 - Ciels nuageux
1677 - Les fourmis
1676 - Deux étoiles
1675 - “Réac”
1674 - Solitude
1673 - La Lune et moi
1672 - Choc des esprits
1671 - De la fosse à la lumière
1670 - Une affaire
1669 - Les fleurs
1668 - Tristesse
1667 - France droite
1666 - Une inconnue
1665 - La féministe
1664 - Monsieur Toulemonde
1663 - “Corsica”
1662 - Tour du monde
1661 - Le dirlo
1660 - Porcs du masque
1659 - La coche et le lion
1658 - Les deux mondes
1657 - Les coeurs d’or
1656 - Je suis un méchant
1655 - Les manuels
1654 - Une turque sidérale
1653 - Une brise
1652 - Le loup
1651 - Le hibou
1650 - Les beaux becs
1649 - Une trisomique diplômée
1648 - Madame lalouche
1647 - Dans le froid
1646 - Une ombre
1645 - Préface des "Fleurs du Mal"
1644 - Mes réponses à un athée radical
1643 - L'esprit qui panse
1642 - Demi-dieu
1641 - Au sujet de la pédophilie chez les musulmans
1640 - Vieille célibataire
1639 - Le cancre
1638 - Les grands noms
1637 - Un milliard d'années
1636 - Disparitions en forêt
1635 - Sous-doué et insensible
1634 - Euro de merde !
1633 - Page noire
1632 - Vieille école
1631 - Progrès
1630 - Né pour voler
1629 - Naître pour fleurir
1628 - Réception de pingre
1627 - La banquise, ça fond aussi
1626 - Amoureux
1625 - Qui sont les vrais racistes ?
1624 - Le prix de l'amour
1623 - L'antiraciste
1622 - Le Juif
1621 - Le raciste
1620 - L'ange
1619 - Le gauchisme, c'est l'obscurantisme
1618 - Rien à vendre
1617 - Chanson d'amour
1616 - France d'hier
1615 - Les caricaturistes de Mahomet
1614 - Vol simple
1613 - La couleur de l'amour
1612 - Monsieur Ducon
1611 - Terre plate
1610 - La russe mystérieuse
1609 - Lettre à RYSSEN
1608 - Danse nuptiale
1607 - Une étoile
1606 - Têtes d'Antifas
1605 - Reconfinement
1604 - Histoire d'un néant
1603 - Masquez-vous définitivement !
1602 - Rêve de Russie
1601 - Mozart, l'art mou
1600 - Pain maudit
1599 - Or de prix
1598 - Epris d'une pierre
1597 - L'esprit gauchiste
1596 - La femme venue de la Lune
1595 - Drôle de dieu
1594 - Tomate révolue
1593 - La gauche
1592 - Les tableaux érotiques d'Aldéhy
1591 - Fille de France
1590 - L'amour, ça gèle les doigts de pieds !
1589 - Ivre de givre
1588 - Eau froide
1587 - Burcu Güneş
1586 - Anti-romantique
1585 - Mon livre édité par Conversano
1584 - Facho
1583 - Le sommet de la droite
1582 - Les hauteurs du temps
1581 - Carré magique
1580 - Pensée malade
1579 - Un regard en arrière
1578 - Interview exceptionnelle
1577 - Jean-Claude LADRAT
1576 - Ville fantôme
1575 - Mon analyse sur le virus
1574 - Rom à face de rat
1573 - Emoi au marché
1572 - Une étoile dans le potager
1571 - Voyage autour de mars
1570 - Les ailes du marché
1569 - La marchande de fruits et légumes
1568 - Rat crevé
1567 - Le terreau du ciel
1566 - Chaque peuple dans son pays !
1565 - Réponse aux appels de lutte contre l'homophobie
1564 - Réponse à un "hypersensible"
1563 - L'immortalité du sable
1562 - Je suis intolérant !
1561 - Une odeur
1560 - Décès de Michou
1559 - Une présence céleste
1558 - Face de Lune
1557 - Une lumière dans la ville
1556 - Une question de lumière
1555 - "Les Fleurs du Mal"
1554 - Les gauchistes sont des larves
1553 - Mirabelle
1552 - L'infini
1551 - Une journée bien remplie
1550 - Vénus aux trois fromages
1549 - Rêve glacé
1548 - Neige sans fin
1547 - Vue perçante
1546 - Acuité esthétique
1545 - Mots de face
1544 - Plume d'esprit
1543 - Vue du Nord
1542 - Froid et solitude
1541 - Le sens du ciel
1540 - Plume d'autruche
1539 - France sombre
1538 - De gauche à droite
1537 - Paradis blanc
1536 - Eternité d'un printemps
1535 - Les deux faces du monde
1534 - Le gauchisme ou la pensée à l'envers
1533 - Plongeon céleste
1532 - L'oiseau volatil
1531 - Les vagues de Vénus
1530 - Poireaux du ciel
1529 - France, encore un effort pour la diversité !
1528 - Sel de terre
1527 - France propre
1526 - Artichauts
1525 - Les vieux romantiques
1524 - Ma plus grande frayeur
1523 - Une route vers l'infini
1522 - Un enfant pas comme les autres
1521 - Banane absolue
1520 - Une flamme blanche
1519 - Interview
1518 - Ailleurs
1517 - Le mime Marceau
1516 - Lune noire
1515 - Lettre au maire de Saint-Malo
1514 - Nos pauvres criminels
1513 - Migrants de France
1512 - Fièvre d'esthète
1511 - L'air de terre
1510 - Turquie
1509 - L'importun
1508 - Repas pas fin
1507 - Femme, tu n'avorteras pas !
1506 - Mes vrais amis
1505 - Berger des lourdauds
1504 - Eau-de-vie
1503 - Pluie féconde
1502 - Justice pour les faibles !
1501 - Une russe normale
1500 - Paix sur la Lune
1499 - Eloge funèbre pour mon oncle Henri
1498 - Pot de nouilles
1497 - Je volais
1496 - Salade cosmique
1495 - Vertige architectural
1494 - Je veux la gloire !
1493 - L'envoyée
1492 - Particule essentielle
1491 - Du sable à l'horizon
1490 - Multiculturalisme
1489 - Du sol au Soleil
1488 - Ben Laden
1487 - Je pissais dans la mer
1486 - J'étais dans le ciel
1485 - France
1484 - Boris Le Lay
1483 - Tel que je suis
1482 - Mai
1481 - Marie-France
1480 - Insultes à l'adresse de Chantal Goya
1479 - Pour l'amour de l'Art
1478 - Affaire du faux-Rimbaud : documents complets
1477 - Ingrid Bétancourt, un succès médiatico-commercial
1476 - Un article du "Monde" sur moi !
1475 - L'affaire Gautier-Sauvagnac en trois textes
1474 - Editeur de pigeons
1473 - Réponse aux mineurs de fond
1472 - Odieuse exploitation de la misère sexuelle affective
1471 - Infirmité-spectacle ou leçon de vie ?
1470 - Décès de Farrah Fawcett : de la beauté à la pourriture ?
1469 - Bulletin météo des abrutis
1468 - Pour concurrencer MEETIC
1467 - Frédéric Mitterrand n'est pas un hors-la-loi !
1466 - Tony Musulin, héros des minables !
1465 - Mickael Jackson victime des apparences
1464 - Interview par une journaliste du "Point"
1463 - Suis-je l'auteur de la photo de Rimbaud ?
1462 - Qui est Jean-Pierre Herlant ?
1461 - Indispensables imbéciles
1460 - Bétancourt, la plage, les vacances
1459 - Envoyé à un voyant
1458 - Roms : humanisme pervers
1457 - Houellebecq, roi des "concierges en révolution"
1456 - Expulsion de Roms, réactions à tort
1455 - Baisers publics de sodomites
1454 - Amusante étude universitaire sur IZARRA
1453 - Retraites : jeunesse sénile !
1452 - Prénoms à haute résonance izarrallergène
1451 - Noël : fulgurante élévation du niveau de connerie
1450 - A un membre de FACEBOOK me demandant d'intervenir...
1449 - Tour d'horizon sur le vent médiatique
1448 - Drame au Japon : catastrophe de riches
1447 - Frilosité des catholiques intégristes
1446 - Singeries hollywoodiennes
1445 - Patrick Poivre d'Arvor, auteur sans talent
1444 - La grande habileté des escrocs
1443 - IZARRA vu par ses contemporains
1442 - DSK réhabilité ?
1441 - YAHOO : niveau de connerie très élevé
1440 - Les JMJ
1439 - Le silence d'Anne Sinclair
1438 - Le mystère des primaires
1437 - Hollande-Aubry : théâtre politique
1436 - Le Mans : reposons la question de la littérature
1435 - Tintin : les dents de la mer-ique
1434 - Tintin et Spielberg
1433 - Contre le discours émotionnel des adeptes de Raoni
1432 IZARRA sur WHOHUB
1431 - La bêtise des psychogues
1430 - Durban : sommet du ridicule
1429 - Condamnation de Chirac : honteux !
1428 - Pourquoi je n'irai plus jamais voter
1427 - Mars ou crève !
1426 - Le bonheur perdure en Corée du Nord !
1425 - La prétendue crise : odieux chantage au suicide
1424 - Le beau discours de Sarkozy
1423 - Le froid des Duponts
1422 - Présidentielles : insignifiances politiciennes
1421 - Je ne suis pas “Charlie”
1420 - Pour le buzz pathétiquement rampant !
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet