Farrah Fawcett, cette espèce de poire appelée "gloire" par ses contemporains et que pour ma part je nomme encore ici sans scrupule "reine des cruches"...
J'ai en horreur la plupart de ses toilettes tapageuses, vulgaires, lourdes.
Je vomis de mes plus brûlants boyaux cette chose clinquante qui fit rêver des âmes grossières éprises de kitchs éclats et de sots artifices.
Je crache ma foudre d'esthète exigeant sur cette folle poupée maquillée comme un cadavre parfumé.
Je trouve aussi détestable que la fange grimée d'or son image mercantilo-cinématographico-guignolesque, pour ne pas dire rien-du-toutesque..
Cette femme icônesque aux allures de conifère enguirlandé fut une outrance laquée, un furoncle cosmétique, un masque de fard inutile.
La potiche de strass et de paille aura généré bien des chimères, mirages et autres fumées en ce siècle de légèreté et de néant, de vaines apparences et de vraies vanités...
Et pourtant je reçois en pleine face, au-delà de toute raison et à coeur ouvert l'image supra-galactique de cette fleur de chair et d'esprit qui me divinise de son inextinguible lumière.
VOIR LA VIDEO :
https://www.youtube.com/watch?v=Gp2OHgJUV1w&feature=youtu.be
VOIR LA VIDEO :
https://www.youtube.com/watch?v=Gp2OHgJUV1w&feature=youtu.be