mercredi 29 juin 2016

1183 - Chunibala Devi

Issue des brumes du monde -née en Inde en 1872 ou 1875 en fait, on ne sait pas trop la date exacte-, c’était, à l'heure de sa consécration, une souche aux racines sèches, aux doigts crochus, à l’oeil ardent

Avec un sourire de sorcière.

Actrice du cinéma indien de son état, rendue célèbre en 1955 dans le film “LA COMPLAINTE DU SENTIER” à l’âge canonique -et approximatif- de 80 ans, qui fut également l’année de son trépas, Chunibala Devi est une statue d’un temps reculé.

Une momie de la cinématographie enfouie dans un passé de lumières mais aussi de fumées. Voilà pour la renommée publique.

Et, sur un plan plus personnel, une ombre du néant, un spectre de cendre, une tombe désagrégée, une pierre enterrée, un rêve érodé, bref un songe immensément lointain selon les vues aseptisées et fusantes de notre époque faite pour l’octet, réglée à la milliseconde, taillée au laser.

Une silhouette morte, une vague ensevelie avec des milliards de vagues semblables dans l’océan des siècles, un fantôme disparu et archi-oublié du reste de la planète.

Un visage effacé de la surface de la Terre. Réduit en cendre dans le souvenir des hommes.

Sauf dans un recoin de mémoire de quelques fins cinéphiles et avisés connaisseurs.

Ce vieil arbre anguleux, cette face de fable aux rides bibliques, cette écorce humaine sortie d’un peuple immémorial, cette femme immortalisée par la technologie, mais dissoute depuis si longtemps dans l’air, le sol et les jours anonymes, rendue au Cosmos depuis belle lurette, ces traits d’une humanité éloignée, qui aujourd’hui nous sembleraient effrayants, permettez que j’en parle avec ravissement.

L’image de l’édentée aux cheveux couverts de givre surgie d’un univers à jamais révolu, d’une société disparue, périmée, me hante et m’enchante.

Cette chandelle usée aux allures folkloriques, figure ancestrale d’une Inde légendaire, transportée jusqu’en 2016 par le miracle de la photographie est comme l’incarnation des dix mille ans nous ayant précédés qui plongerait son regard -figé sur la pellicule- dans notre futur.

Une ricaneuse qui nous fixe avec insistance, nous et ceux de demain. De ses prunelles de chouette déplumée se sachant proche des cailloux, des pissenlits et... Des étoiles.

Celle qui nous adresse son air malicieux fut la star d’un autre système, celui d’avant Bollywood, c’est à dire le fruit défraichit d’une industrie d’artifices ayant perdu de vue ses gloires éteintes.

Pour toutes ces raisons que j’ai dites mais aussi pour celles que je n’ai pas dites, communes à chacun d’entre nous, cet épouvantail est fascinant parce que bientôt papillon.

Vieille peau vouée à la poussière qui symbolise l’éternité du sable formant le bord de la mer humaine.


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vendredi 24 juin 2016

1182 - Roi de France

Afin que nos terres s’azurent de légèreté, d’esprit et de noblesse retrouvée, pour que le lys reblanchisse nos vallées et pour que rechantent nos clochers, pour qu’au fond de nos campagnes, aux sommets de nos cités et dans le coeur de chaque français se lève un jour prometteur et brille un soleil de vérité, c’est un roi qu’il nous faut.

Un maître couronné d’étoiles, vêtu d’or, chaussé d’humilité. Un bon souverain ami du Ciel, frère du sillon, père de nos familles.

Et protecteur de nos foyers.

Une autorité très chrétienne, un sang très bleu, une figure très haute.

Pour que l’on prie chaque dimanche dans chaque église en y prononçant pieusement son nom, pour que l’on boive à sa longévité, pour que de Lille à Marseille l’on banquète à l’héritier du trône qui nous serait donné et pour que de la Bretagne au Mont-Blanc l’on dise Sire, Sa Majesté, Sa Grandeur, c’est un roi qu’il nous faut.

Parce que l’homme est fait pour être heureux, parce que son âme réclame sa part de lumière, parce que sans astre au-dessus de sa tête il se sent bien seul et parce que la France sans son Dieu est bien sombre, c’est un roi qu’il nous faut.

Parce qu’il est beau, bon, bien et juste d’avoir en notre pays un vaste palais avec dedans son hôte royal aimant son peuple, très sage et très saint avec son sceptre, c’est un Louis qu’il nous faut.

Parce que nous aimons le bonheur sur notre vieux sol, c’est un aigle qu’il nous faut.

C’est un roi qu’il nous faut.

mercredi 15 juin 2016

1181 - Farrah Fawcett ou l'état d'éther

Ainsi que les feux galactiques suggèrent l’idée de l’infini, sa chevelure florale allume mes rêves olympiens, éveille en moi des flammes nouvelles, tandis que ses traits rafraîchissent mes sommets poétiques et font briller mes neiges éternelles.

Farrah Fawcett est mon plus lointain voyage esthétique : un saut vertigineux dans le Cosmos ! Cette mortelle est mon odyssée idéale, ma lubie cérébrale, ma femelle sidérale : une fleur, une écume, un marbre incarnant mon interminable ascension vers le Beau.

Avec son air astral, son front divin, ses yeux humains, sa denture magistrale, elle donne aux rats le goût de la lumière, aux esthètes l’amour des rats.

Farrah Fawcett est mon dernier rivage, mon ultime traversée, ma plus fabuleuse errance.

Son visage représente la totalité des courbes de l’espace, les lueurs sans nom des immensités, l’ensemble des galaxies et l’invisible, l’universel hymen qui les unit mystérieusement.

Toutes ces choses incalculables, je les lis sur sa face. Elle la reine des étoiles, moi le prince des nébulosités.

Farrah Fawcett est un miracle. Tout comme la grenouille, le pissenlit ou la particule de sable, certes...

Mais elle, à travers le prisme izarrien, la plume des dieux, les mots de granit, le verbe éthérique, elle est un miracle qui dure.

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https://www.youtube.com/watch?v=6_SLzn-E5V0

http://www.dailymotion.com/video/x4gmzr6

mardi 14 juin 2016

1180 - Charmes mortels de mars

Le mois des giboulées déprime ciel et terre mais enchante mon coeur fait pour ces larmes et cette glace.

Quand la nue chargée trempe les natures frileuses, attriste les rêveurs, noie même les morts dans leur tombe, je renais, frissonne d’aise, ris de bonheur !

Ma joie pure est de voir la pluie, la pluie froide, la pluie blessante, la pluie tranchante fouetter les visages, déborder des gouttières, déverser son écume sur les toits, inonder le sillon.

Dans les nuages, la tourmente et les flaques, je perçois des reflets étranges, d’autres clartés, un monde plus beau, plus vaste, plus haut.

Avec ses cheveux en épouvantail, son front austère, ses airs de cadavre, mars repeint villes et campagnes de ses ondes moroses. Et lumineuses.

Ses flots en furie et ses gifles de givre me font crever de sentiments obscurs. Et délicats.

La saison ruisselante est le promontoire de mon âme : dans ses profondeurs m’apparaît un jour céleste. A travers ses eaux sombres je distingue une lumière subtile, intérieure, issue de mon être. Sous son sol mouillé, j’entends la vie, reçois l’invisible, me retrouve dans le secrets des dieux.

C’est dans les vertiges de l’humus, l’éther de la rigole et l’ivresse du caniveau que je prends de la hauteur.

Les charmes boueux, mortels, frigorifiants des averses germinales me donnent des ailes.

1179 - France, pays pauvre

Ce texte caricatural, comique par son outrance, par son irréalisme, beaucoup de gens le prendront au premier degré et l’applaudiront chaudement en acquiesçant à ces vues délirantes, la larme à l’oeil. Preuve que, en effet, la France va mal, très mal. Question non pas de manques de ressources, bien évidemment, mais de mentalités. Ici je dénonce le discours ingrat des faux pauvres de notre pays de Cocagne qui gémissent sur leur sort, se croyant dans la misère alors qu'ils vivent dans l'opulence sans s'en rendre compte... Alors rions ensemble en forçant encore un peu plus le trait à cette clownerie populiste que certains, persuadés de vivre dans une France en ruine,  prennent réellement au pied de la lettre !

Ce n’est un mystère pour personne : en France on meurt de faim.

Dans ce pays qui nous a vu naître, nous français, la misère est devenue générale. Elle s’est étendue comme une pieuvre à toutes les catégories de la société et désormais nul n’est épargné par cette lèpre ! Et si on est pas encore touché soi-même par cette calamité, elle nous guette de toute façon. Quoi qu’il en soit, on connaît tous des cas dramatiques de victimes de la crise, du chômage, de la baisse des salaires vivant dans le plus parfait dénuement !

Dans notre république d’inégalités criantes, de désordres sociaux liés à la désolation économique, règne l’injustice la plus totale. Des riches, certes il y en a : ils sont une poignée et vivent reclus dans leurs villas bien gardées ou bien protégés dans les beaux quartiers de nos grandes villes, inaccessibles aux masses dans le besoin que nous sommes. Tous gros patrons véreux et politiques corrompus au pouvoir. Ces salauds, indifférents à nos maux, accaparent la majorité des biens pendant que nous sommes en train de crever !

Ce sont d’ailleurs les plus pauvres qui payent des impôts. Pendant que les grandes fortunes continuent de s’engraisser sur leur dos ! Sur NOTRE dos ! Toujours les opprimés qui trinquent pour les rois !

Nos rues sont de plus en plus envahies de SDF, de handicapés sans aucun droit, de femmes seules ayant perdu leur travail, vulnérables, exposées à tous les dangers, exploitées. Jusque dans nos sous-préfectures, on voit des enfants faméliques qui mendient, des sans-emploi résignés n’attendant plus rien de la vie et autres hères sans ressources, affamés, hagards, désespérés... Même les travailleurs ayant un poste stable mais ne pouvant plus joindre les deux bouts en sont réduits à tendre la main pour survivre ! Des familles entières dorment même sur le trottoir en plein hiver ! Un scandale ! 

A la télévision, que les plus démunis ne peuvent capter que sur leur INTERNET, on nous montre des citoyens heureux roulant dans leurs belles voitures, ce qui nous fait croire que la Gaule se porte bien alors qu’en réalité les habitants de ce royaume de privations extrêmes changent de comportement et vont désormais se nourrir dans les magasins discount ! Depuis qu’ils ont touché le fond, ils achètent chaque année leurs repas de réveillon chez LIDL... Les mêmes ne partent plus qu’une semaine en vacances, ne sortent plus au restaurant. Et les enfants de beaucoup d’entre eux n’ont jamais eu d’Iphone entre leurs mains. C’est dire la gravité, la profondeur de ce nouveau paupérisme...

Bref, notre peuple souffre, crie, pleure. C’est pire qu’au temps des rois, pire qu’au Moyen-Âge, pire que tout ! A une telle échelle, il n’y a jamais eu autant de pénurie, de larmes et de détresse qu’aujourd’hui...

Cette terre tricolore n’est plus qu’un enfer monochrome déprimant car la seule couleur qui nous reste, à nous les martyrs de cette catastrophe nationale, c’est le noir.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/6f41961c37d6f87d754d0082f47e8084/?pl_id=309616&pl_type=user

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dimanche 12 juin 2016

1178 - Les mendiants sont affamés d'amour

La véritable misère selon moi c’est de manquer de soleil intérieur, non de blé dans l’assiette ou de vin dans la tête.

Ou même de blé tout court.

Les SDF, clochards et autres laissés-pour-compte de notre société matérialiste souffrent avant tout de mépris, de solitude, de non-considération.

Ce qui leur faut en priorité, c’est de l’affection, de la chaleur intime, des mots tendres, des regards aimables, du partage. L’argent passe au second plan.

Donnez avec un oeil sévère, un visage dur, des paroles venimeuses, des allures hautaines un billet de 100 euros à un de ces hères de nos rues : son repas sera abondant mais aigre. Il aura toujours faim.

Faim d’amour.

Offrez-lui un simple bol de riz avec votre sourire pour tout accompagnement et juste un peu d ‘eau claire pour seule ivresse, il sera gorgé de satisfaction parce que son festin sera spirituel.

Voilà bien des banalités certes, mais tellement vraies, tellement évidentes que beaucoup de gens semblent les avoir oubliées. Derrière la détresse économique des sans-abris, qui n’est que pur inconvénient d’ordre technique, il y a une indigence plus immatérielle.

Le défaut d’aliments, je le clame encore et toujours, c’est désagréable, très inconfortable, et même souvent très dur. Mais se réveiller le matin avec quelques centimes en poche et se coucher avec le coffre vide est encore très supportable au regard de la famine affective. Et quand j’évoque des “ventres-creux” c’est loin d’être dramatique car en France de nos jours nul ne meurt d’avoir jeûné. 

L’absence de fraternité, la carence sociale, le sentiment d’abandon, cela détruit véritablement l’individu, lui ôte l’envie de vivre et même lui coupe tout appétit, ce qui fait que celui qui ne reçoit pas sa dose de sympathie humaine a de moins en moins envie de se remplir la panse.

Preuve que le bipède est fait d’esprit plus que de chair animale.

Nos froides structures républicaines dédiées à la solidarité, au secours des démunis, ne sont que des services comptables oeuvrant pour nourrir les corps, non pour réchauffer les âmes.

Ce n’est pas du pain dans l’estomac dont les tendeurs de sébile ont le plus besoin, mais de lumière dans le coeur.

VOIR LA VIDEO :

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samedi 11 juin 2016

1177 - Un visage en plein jour

Son regard clair, son coeur chaste, son âme blanche contrastent avec sa voix chaude.

Elle a le sang froid des statues sévères mais les lèvres d’une amante vipérine.

Dans son regard d’innocente désirable, et peut-être même de jeune sotte, des orages de lumière, du marbre, de la neige, une virginité sublime, une enfance éternelle.

Son corps de verdeur, sa peau de soleil, ses traits de femelle enflamment les régiments de cavaliers, maints oiseaux de nuit et autres jeunes cerfs de passage ou vieilles comètes sur le retour.

A travers sa bouche on voit un hymen. Ou un temple. Bref, un ciel fleuri de tentations.

On la sait pure, on l’espère femme, mais son chant nous dit qu’elle nage en eaux glacées et vole plus haut encore. Cette créature, humaine pourtant, tellement féminine, si bien faite pour le péché de chair, attire à elle les feux virils tout en leur inspirant la décence.

La tête d’une Jeanne d’Arc, l’éclat d’une Aphrodite, les mots d’une demoiselle. On la nomme comme on nomme les étoiles.

C’est un cierge au fond des pensées, un idéal âpre et beau, un astre proche, un visage en plein jour.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/075f6d3ee8307b76f9b8b865eb0a8e97/

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Liste des textes

2262 - Homme de feu
2261 - Rencontre du troisième type
2260 - Voyage
2259 - Déprime
2258 - Fiers de leur race
2257 - La fille lointaine
2256 - Le Noir méchant
2255 - L’attente
2254 - J’ai entendu une musique de l’an 3000
2253 - Le modèle
2252 - Blonde ordinaire
2251 - Mâle archaïque mais authentique
2250 - La femme et la flamme
2249 - Voyages au bout de la terre
2248 - Ma chambre
2247 - Le vieil homme entre ses murs
2246 - Le mouton
2245 - Vous les mous, les mouches, les mouchards
2244 - Mon humanisme fracassant
2243 - Ma cabane sur la Lune
2242 - Les marques rouges du ciel
2241 - Je reviens !
2240 - Une fille de toque
2239 - La légèreté de la Lune
2238 - Janvier
2237 - Elena Yerevan
2236 - Oiseaux de rêve ?
2235 - J’irai vivre à la campagne
2234 - Fiers de leurs péchés
2233 - Deux faces
2232 - Le soleil de la jeunesse
2231 - Dans les bois
2230 - Nuit de vents
2229 - Mon fauteuil de lune
2228 - Le sourire d’une marguerite
2227 - Je ne suis pas antiraciste
2226 - Qui est-elle ?
2225 - L’arc-en-ciel
2224 - Je suis parti dormir sur la Lune
2223 - La sotte intelligence
2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1683 - Deux pures poires
1682 - La copie
1681 - Vous le connaissez
1680 - Le prix de la beauté
1679 - Vie d’élite
1678 - Ciels nuageux
1677 - Les fourmis
1676 - Deux étoiles
1675 - “Réac”
1674 - Solitude
1673 - La Lune et moi
1672 - Choc des esprits
1671 - De la fosse à la lumière
1670 - Une affaire
1669 - Les fleurs
1668 - Tristesse
1667 - France droite
1666 - Une inconnue
1665 - La féministe
1664 - Monsieur Toulemonde
1663 - “Corsica”
1662 - Tour du monde
1661 - Le dirlo
1660 - Porcs du masque
1659 - La coche et le lion
1658 - Les deux mondes
1657 - Les coeurs d’or
1656 - Je suis un méchant
1655 - Les manuels
1654 - Une turque sidérale
1653 - Une brise
1652 - Le loup
1651 - Le hibou
1650 - Les beaux becs
1649 - Une trisomique diplômée
1648 - Madame lalouche
1647 - Dans le froid
1646 - Une ombre
1645 - Préface des "Fleurs du Mal"
1644 - Mes réponses à un athée radical
1643 - L'esprit qui panse
1642 - Demi-dieu
1641 - Au sujet de la pédophilie chez les musulmans
1640 - Vieille célibataire
1639 - Le cancre
1638 - Les grands noms
1637 - Un milliard d'années
1636 - Disparitions en forêt
1635 - Sous-doué et insensible
1634 - Euro de merde !
1633 - Page noire
1632 - Vieille école
1631 - Progrès
1630 - Né pour voler
1629 - Naître pour fleurir
1628 - Réception de pingre
1627 - La banquise, ça fond aussi
1626 - Amoureux
1625 - Qui sont les vrais racistes ?
1624 - Le prix de l'amour
1623 - L'antiraciste
1622 - Le Juif
1621 - Le raciste
1620 - L'ange
1619 - Le gauchisme, c'est l'obscurantisme
1618 - Rien à vendre
1617 - Chanson d'amour
1616 - France d'hier
1615 - Les caricaturistes de Mahomet
1614 - Vol simple
1613 - La couleur de l'amour
1612 - Monsieur Ducon
1611 - Terre plate
1610 - La russe mystérieuse
1609 - Lettre à RYSSEN
1608 - Danse nuptiale
1607 - Une étoile
1606 - Têtes d'Antifas
1605 - Reconfinement
1604 - Histoire d'un néant
1603 - Masquez-vous définitivement !
1602 - Rêve de Russie
1601 - Mozart, l'art mou
1600 - Pain maudit
1599 - Or de prix
1598 - Epris d'une pierre
1597 - L'esprit gauchiste
1596 - La femme venue de la Lune
1595 - Drôle de dieu
1594 - Tomate révolue
1593 - La gauche
1592 - Les tableaux érotiques d'Aldéhy
1591 - Fille de France
1590 - L'amour, ça gèle les doigts de pieds !
1589 - Ivre de givre
1588 - Eau froide
1587 - Burcu Güneş
1586 - Anti-romantique
1585 - Mon livre édité par Conversano
1584 - Facho
1583 - Le sommet de la droite
1582 - Les hauteurs du temps
1581 - Carré magique
1580 - Pensée malade
1579 - Un regard en arrière
1578 - Interview exceptionnelle
1577 - Jean-Claude LADRAT
1576 - Ville fantôme
1575 - Mon analyse sur le virus
1574 - Rom à face de rat
1573 - Emoi au marché
1572 - Une étoile dans le potager
1571 - Voyage autour de mars
1570 - Les ailes du marché
1569 - La marchande de fruits et légumes
1568 - Rat crevé
1567 - Le terreau du ciel
1566 - Chaque peuple dans son pays !
1565 - Réponse aux appels de lutte contre l'homophobie
1564 - Réponse à un "hypersensible"
1563 - L'immortalité du sable
1562 - Je suis intolérant !
1561 - Une odeur
1560 - Décès de Michou
1559 - Une présence céleste
1558 - Face de Lune
1557 - Une lumière dans la ville
1556 - Une question de lumière
1555 - "Les Fleurs du Mal"
1554 - Les gauchistes sont des larves
1553 - Mirabelle
1552 - L'infini
1551 - Une journée bien remplie
1550 - Vénus aux trois fromages
1549 - Rêve glacé
1548 - Neige sans fin
1547 - Vue perçante
1546 - Acuité esthétique
1545 - Mots de face
1544 - Plume d'esprit
1543 - Vue du Nord
1542 - Froid et solitude
1541 - Le sens du ciel
1540 - Plume d'autruche
1539 - France sombre
1538 - De gauche à droite
1537 - Paradis blanc
1536 - Eternité d'un printemps
1535 - Les deux faces du monde
1534 - Le gauchisme ou la pensée à l'envers
1533 - Plongeon céleste
1532 - L'oiseau volatil
1531 - Les vagues de Vénus
1530 - Poireaux du ciel
1529 - France, encore un effort pour la diversité !
1528 - Sel de terre
1527 - France propre
1526 - Artichauts
1525 - Les vieux romantiques
1524 - Ma plus grande frayeur
1523 - Une route vers l'infini
1522 - Un enfant pas comme les autres
1521 - Banane absolue
1520 - Une flamme blanche
1519 - Interview
1518 - Ailleurs
1517 - Le mime Marceau
1516 - Lune noire
1515 - Lettre au maire de Saint-Malo
1514 - Nos pauvres criminels
1513 - Migrants de France
1512 - Fièvre d'esthète
1511 - L'air de terre
1510 - Turquie
1509 - L'importun
1508 - Repas pas fin
1507 - Femme, tu n'avorteras pas !
1506 - Mes vrais amis
1505 - Berger des lourdauds
1504 - Eau-de-vie
1503 - Pluie féconde
1502 - Justice pour les faibles !
1501 - Une russe normale
1500 - Paix sur la Lune
1499 - Eloge funèbre pour mon oncle Henri
1498 - Pot de nouilles
1497 - Je volais
1496 - Salade cosmique
1495 - Vertige architectural
1494 - Je veux la gloire !
1493 - L'envoyée
1492 - Particule essentielle
1491 - Du sable à l'horizon
1490 - Multiculturalisme
1489 - Du sol au Soleil
1488 - Ben Laden
1487 - Je pissais dans la mer
1486 - J'étais dans le ciel
1485 - France
1484 - Boris Le Lay
1483 - Tel que je suis
1482 - Mai
1481 - Marie-France
1480 - Insultes à l'adresse de Chantal Goya
1479 - Pour l'amour de l'Art
1478 - Affaire du faux-Rimbaud : documents complets
1477 - Ingrid Bétancourt, un succès médiatico-commercial
1476 - Un article du "Monde" sur moi !
1475 - L'affaire Gautier-Sauvagnac en trois textes
1474 - Editeur de pigeons
1473 - Réponse aux mineurs de fond
1472 - Odieuse exploitation de la misère sexuelle affective
1471 - Infirmité-spectacle ou leçon de vie ?
1470 - Décès de Farrah Fawcett : de la beauté à la pourriture ?
1469 - Bulletin météo des abrutis
1468 - Pour concurrencer MEETIC
1467 - Frédéric Mitterrand n'est pas un hors-la-loi !
1466 - Tony Musulin, héros des minables !
1465 - Mickael Jackson victime des apparences
1464 - Interview par une journaliste du "Point"
1463 - Suis-je l'auteur de la photo de Rimbaud ?
1462 - Qui est Jean-Pierre Herlant ?
1461 - Indispensables imbéciles
1460 - Bétancourt, la plage, les vacances
1459 - Envoyé à un voyant
1458 - Roms : humanisme pervers
1457 - Houellebecq, roi des "concierges en révolution"
1456 - Expulsion de Roms, réactions à tort
1455 - Baisers publics de sodomites
1454 - Amusante étude universitaire sur IZARRA
1453 - Retraites : jeunesse sénile !
1452 - Prénoms à haute résonance izarrallergène
1451 - Noël : fulgurante élévation du niveau de connerie
1450 - A un membre de FACEBOOK me demandant d'intervenir...
1449 - Tour d'horizon sur le vent médiatique
1448 - Drame au Japon : catastrophe de riches
1447 - Frilosité des catholiques intégristes
1446 - Singeries hollywoodiennes
1445 - Patrick Poivre d'Arvor, auteur sans talent
1444 - La grande habileté des escrocs
1443 - IZARRA vu par ses contemporains
1442 - DSK réhabilité ?
1441 - YAHOO : niveau de connerie très élevé
1440 - Les JMJ
1439 - Le silence d'Anne Sinclair
1438 - Le mystère des primaires
1437 - Hollande-Aubry : théâtre politique
1436 - Le Mans : reposons la question de la littérature
1435 - Tintin : les dents de la mer-ique
1434 - Tintin et Spielberg
1433 - Contre le discours émotionnel des adeptes de Raoni
1432 IZARRA sur WHOHUB
1431 - La bêtise des psychogues
1430 - Durban : sommet du ridicule
1429 - Condamnation de Chirac : honteux !
1428 - Pourquoi je n'irai plus jamais voter
1427 - Mars ou crève !
1426 - Le bonheur perdure en Corée du Nord !
1425 - La prétendue crise : odieux chantage au suicide
1424 - Le beau discours de Sarkozy
1423 - Le froid des Duponts
1422 - Présidentielles : insignifiances politiciennes
1421 - Je ne suis pas “Charlie”
1420 - Pour le buzz pathétiquement rampant !
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet