samedi 26 mai 2012

960 - La stigmatisée

Une fois par semaine elle se tordait de douleur au pied de la croix dans des cris hystériques tout en baisant passionnément son chapelet. 

Ses convulsions pieuses pétrifiaient l’assistance étouffée par le respect, de plus en plus nombreuse au fil des mois.

Des croix de sang apparaissaient sur son front, ses mains, ses pieds.

Les hosties posées par le prêtre tremblant sur ses blessures miraculeuses semblaient soulager sa sainte douleur.

Ces scènes se répétaient tous les vendredis dans l’église bondée de curieux et de fervents chrétiens. Des femmes surtout, la plupart en larmes.

L’élue christique mourut fort bêtement d’une banale chute de sa modeste hauteur (1 mètre 50) en marchant sur ses lacets défaits et eut droit à un enterrement de papesse.

Après ses funérailles on découvrit chez elle des produits chimiques cachés au fond d’un placard, pas n’importe lesquels : entre autres, de la soude caustique, bien connue des illusionnistes pour faire apparaître des marques à retardement sur la peau, du chlorure de fer, du cyanure de potassium, matières réactives incolores, indétectables, ayant relativement les mêmes effets : faire naître des traces rouges, créer spontanément des plaies sur le corps selon les formes voulues, prédéfinies en coulisse... Toutes ces substances agissant sur la peau de manière parfaitement naturelle et rationnelle à la manière d’une encre sympathique, mais avec des lettres sanglantes.

Celle que l’on pensait vierge et chaste dévoila encore posthumément une collection d’amants, en réalité des prostitués chèrement payés avec l’argent des dons obtenus en exhibant au prix fort ses cicatrices “surnaturelles”.

Les âmes bernées par les spectacles grotesques de la défunte “stigmatisée”, des femmes essentiellement, encore et toujours des femmes, crurent enfin beaucoup plus à la puissance des réactions chimiques alliée à la corruption de certains esprits femelles qu’aux prétendues manifestations extraordinaires à caractère religieux...

Et surtout, à la faiblesse de l’esprit féminin, c’est à dire le leur, décidément bien sot et infiniment crédule.

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https://rutube.ru/video/66ebce3a9684cb60db5c86c2f1f7a505/

vendredi 25 mai 2012

959 - Je vais mourir, sauvez ma particule !

Je vais mourir demain et je veux partir légèrement vêtu. L’âme aussi aérienne que la plume.

Je laisse aux méchants mon argent puisqu’il n’y a que cela qui les intéresse. Qu’ils héritent de mes dettes aussi. Aux Duponts je lègue mes sentiments les plus mitigés en écho ironique à leur nature afin qu’écoeurés par leurs propres tiédeur et mollesse ils finissent par aspirer aux hauteurs que confère aux gens biens nés (comme moi) la particule. Aux gentils je dis “occupez-vous de mes funérailles et jouez-moi de la trompette en guise d’adieu” !

J’ai chéri la beauté, lustré les chaussures de mes ennemis, craché sur la tombe de mes amis, dépensé mes sous au casino, failli tomber des nues avant d’être dans le trou.

Mais j’ai tenu.

Je vais mourir demain, alors occupez-vous de vos affaires après vous être généreusement penchés sur les miennes. Vous allez m’enterrer mais je vous en supplie, ne laissez pas s’envoler mon cher ego ! C’est par lui que j’ai vécu, en lui que j’ai cru, alors sauvez-le des os !

Izarra brilla tel un diamant.

Ce trésor, c’est ma particule. Une partie de moi-même. Mon habit de scène. L’ombre de mon nombril.

La forme la plus flatteuse de mon MOI.

Chérissez-la plus que vos propres enfants, pères et mères. Battez-vous pour défendre sa mémoire.

Et finalement soyez dignes de la porter pour moi, vous les détestables Duponts, vous les gueux, vous les mal-nés, vous les médiocres... Sauvez ma particule de génération en génération. Ainsi vous brillerez un peu vous aussi, me rendrez grâces et ferez perdurer mon souvenir sur vos fronts pour l’éternité.

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mardi 22 mai 2012

958 - Humanisme destructeur

J’étais un angelot crasseux pépiant de joie dans ma décharge municipale.

Je noircissais mes petites ailes en toute insouciance, me roulant avec délices dans des montagnes de déchets multiformes et multicolores qui, à mes yeux de petit garçon émerveillé, brillaient comme autant de trésors. L’ivresse de la découverte éblouissait ma jeunesse en liberté. Ces détritus à l’infini représentaient pour moi des promesses de fête au quotidien, des fleurs industrielles semées dans mon bac à sable aussi vaste que le monde. 

J’étais libre, j’étais innocent, je voyais les choses sans malice. Mes mains étaient sales mais mon coeur était beau. J’avais les cheveux noirs et l’âme blanche. Je trouvais des perles souillées, des vases brisés, des sacs crevés, et pourtant mes rêves restaient purs.

Et puis elles sont arrivées.

De gentilles bonnes soeurs se croyant investies d’une mission divine. Elles ont chaussé mes pieds nus de bohémien, échangé mes haillons en folie contre un uniforme austère puis m’ont emmené dans leur prison. Le petit moineau que j’étais s’est retrouvé dans la cage des enfants de riches. On m’a appris à lire et écrire, à penser droit, à me vêtir de soie et à dire bonjour.

Aujourd’hui je suis instruit, fortuné, bien habillé, éduqué, respecté, envié, rangé.

Suis-je heureux pour autant ?

Je me souviens avec nostalgie de mes explorations fantastiques, de mes plongées enchanteresses au fond des poubelles, semblables à des voyages fabuleux dans les abysses de notre société... Comment oublier ces bains féériques dans l'océan des ordures à l’âge béni de toutes les légèretés ? J’avais quatre, six, huit ans, peu importe, depuis ma naissance je riais, volais, me réjouissais de chaque trouvaille que je partageais avec mes amis les rats, respirant avec une jouissance toute enfantine l’air étrange et exotique émanant de mon dépotoir.

En m‘extirpant de force de ma fange natale, ces natures bien intentionnées, hautement avisées et s'estimant généreuses, ont fait de moi, ex-petit manouche débordant de vie, un pauvre type qui s’ennuie à mourir dans son existence confortable, fade, propre, grise, anonyme.

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jeudi 17 mai 2012

957 - Le Vieux-Mans, cité des esprits

La Cité Plantagenêt est un petit olympe au coeur de la ville mancelle. Une enclave tout en hauteur, un sommet de pierres et d’Histoire. 

La Lutèce sarthoise en somme.

Le Vieux-Mans, c'est un refuge intemporel au souffle médiéval reposant sur des bases antiques. Ses pieds sont gallo-romains, son esprit est moyenâgeux, son âme pleine de Renaissance.

Du haut du tunnel le traversant, percée glaciale et sinistre du XIXème siècle, le Vieux-Mans donne même le vertige.

Tout autour, la sérénité des cimes.

Au moins, jusqu’aux frontières vespérales...

Voies sombres, désertes, silencieuses et carrefours éclairés par des lampadaires d’un autre temps font les charmes nocturnes de ce mont manceau, comparable en certains points au Mont-Saint-Michel.

A l’heure ténébreuse, toutes sortes de fantômes épieront le visiteur égaré, l’effleureront peut-être : chats furtifs -tous gris la nuit-, rats dodus, chauve-souris alertes, hiboux interrogateurs, ombres de statues allongées par le clair de lune -saints locaux ou vagues gargouilles accrochés aux toits- et autres silhouettes mal identifiées.

Volatiles de plumes et de poils, errants des gouttières et des canalisations, hôtes des toitures et du sol, vagabonds des airs et du pavé, sculptures de pierre et de bois, gardiens de vieilles portes et veilleurs de remparts, bref présences inertes, oniriques, réelles ou imaginaires et faune vive font les murmures et les légendes du Vieux-Mans.

On ne sort pas indemne de ces pierres haut perchées : de presque tous les côtés de la vieille cité, maintes vues plongeantes garanties sur l’agglomération moderne ! Mais surtout, plusieurs siècles séparent les deux parties du Mans. C’est dire que le voyage n’est pas seulement vertical. Il est également anachronique.

Sans omettre les violonistes ailés de la cathédrale récemment découverts (les déjà célèbres anges musiciens) conférant à l’exploration un tour aussi poétique qu’ascensionnel.

Avec ses escaliers interminables où grondent tous les vents, ses murs immémoriaux surchauffés au soleil d’été et, la nuit, ses rues hantées par des spectres de lumière -je veux parler des fameuses Chimères- la vieille ville est un lieu choisi hors du monde où, dès la tombée du jour, la réalité fait place au mystère.

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https://youtu.be/DoxkRQWas_o

dimanche 13 mai 2012

956 - Mourir sous la Lune

Moi je ne veux pas mourir au Soleil.

Je préfère bien mieux rendre l’âme sous la Lune.

Les mortels ordinaires, pour ne pas dire dupontesques, veulent tous fermer les yeux avec les rayons de Râ plein la tête. Pour ces êtres primaires, ces esprits superficiels, ce sera le dernier éblouissement d’une existence vouée à la consommation, l’ultime rappel de leurs plus belles vacances à la plage, le souvenir final de leur vie de minable.

Personnellement je déteste Hélios. Les caresses haineuses, malhonnêtes, létales de cet astre qu’adorent les estivants me sont insupportables, tant physiquement que moralement ! Sa lumière vive surtout qui entre dans ma chambre me déprime. Les murs et les toits sont faits pour isoler leurs hôtes des intempéries, non pour les y exposer. Les fenêtres trop grandes sont pour moi une aberration architecturale. Quand le dieu de midi illumine une pièce, il devient un intrus et je me sens violé, pris au piège de ses tentacules enflammés.

Cette gueule cosmique totalement hystérique m’a fait assez transpirer sous ses crachats de feu, a inspiré suffisamment de sentiments vulgaires au bétail humain des classes moyennes, engendré trop de bonheur frelaté chez la gueusaille infestant littéralement le littoral, fait naître davantage d’hérésies chez la populace avide de congés payés pour que je lui dédie mon soupir suprême.

C’est à la bienveillante Sélénée que j’adresserai ma prière de mort.

Mon regard terrestre s’éteindra sous la clarté phosphorescente de cette pierre moribonde planant dans le coeur des poètes. Et si les nuages, le jour, l’horloge céleste réglant ses allées et venues ou quelque rempart de béton m’empêcheront de contempler sa figure sereine, son profil sage, son croissant aigu, aucune importance !

Le face lunaire sera présente sous mes paupières closes : je n’aurai qu’à songer à son visage énigmatique pour quelle m’enveloppe de son mystère.

Et m’emporte dans son royaume mystique.

Là, sur sa surface figée, silencieuse, profonde, paisible et effrayante, j’errerai en compagnie choisie.

Verlaine à ma droite, Virgile à ma gauche, l’infini au-dessus de mon auréole, au son de ma lyre cynique et joyeuse je continuerai de dénoncer l’imbécillité de mes contemporains tout en chantant la supériorité izarrienne.

Moi je veux expirer au clair de la nuit, au bord du firmament, au fond de mon jardin.

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mardi 8 mai 2012

955 - Élections : un joujou supplémentaire pour consommateurs repus

A chaque élection des élans d’espoir fou naissent dans la population française. Les présidents passent, la vie aussi mais ses règles ne changent pas pour les individus. Les électeurs misant tout dans le président sont comme des ânes attendant bêtement un bouleversement  venu du haut de la colline. 

A chaque élection ils se font avoir, illusionnés qu’ils sont par des symboles, aveuglés, emportés par une vaine, passagère euphorie.

Non seulement rien ne changera dans leur quotidien ou leur destin mais en plus la plupart d’entre eux seront même déçus par leur nouveau dieu. Ils déchanteront comme des millions de fervents électeurs déchantent finalement au bout d'un certain temps après chaque élection.

Dans un beau pays riche et un régime démocratique comme la France, le bonheur des citoyens repus, libres et protégés ne dépend absolument pas d’une nouvelle élection mais de leur mentalité. Quand on nage dans l’opulence, vit dans le plus beau et plus confortable pays du monde, jouit de la liberté et d’un climat tempéré, une élection est un luxe.

De même, les larmes des perdants sont ridicules : les sarkozystes ne vont pas sombrer dans le malheur avec la mort du perdant... Leur sort reste infiniment enviable même en perdant leur leader. Et pourtant ils sont désespérés. Je les trouve indécents de pleurer pour une simple défaite électorale.

Une élection dans ce contexte d'abondance, de prospérité, de paix et de justice n'apporte rien d'essentiel à la vie de tous les jours. Juste de légères nuances dans le confort, le salaire, quelques centimes de plus ou de moins sur le litre d'essence, deux ou trois jours de vacances ajoutés ou retirés.  Bref, le résultat sur le terrain de l'un ou de l'autre quinquennat sera à peine perceptible. Fondamentalement, aucune différence entre les deux partis. Du moins leurs effets concrets seront superficiels. Par exemple le logo de "Pôle Emploi" sera peint en bleu sous la droite, en rose avec la gauche. Mais c'est tout. Toutes les politiques se valent, les lois de l'économie n'étant ni de droite ni de gauche. Quant à l'idéologie, la France n'en est plus à aspirer à des droits élémentaires puisqu'elle a déjà gagné depuis longtemps des privilèges superflus.

Les gens sont stupides de croire que leur vie va changer avec un nouveau président. A chaque élection les réflexes des foules sont les mêmes. Et si les individus retiennent la leçon, les masses quant à elles sont idiotes.

Les élections se succèdent, les imbéciles demeurent.

mardi 1 mai 2012

954 - La nature est la fin de la Civilisation

On nous bassine avec les pseudos vertus de l’écologie, les prétendus avantages de la flore et de la faune, les charmes de Gaïa...

Comme si la métropole était l’ennemie jurée de l’Humanité et la terre vierge sa meilleure alliée, alors qu’en vérité c’est tout le contraire !

Malheureusement dans ce domaine l’être humain a perdu tout sens des réalités.

La cité est la plus haute expression de la civilisation. Ses bienfaits sont infinis, irremplaçables, quasi divins.

Et, bien entendu, ces richesses-là sont absentes des terres brutes que bien sottement l’écologiste admire...

La ville est opulente, confortable, rassurante. La cambrousse indigente, oppressante, dangereuse. L’homme est devenu fou d’écologie au point d’oublier les ronces, les piqûres de moustiques, les agressions des éléments et le cortège de maladies que lui offre généreusement la nature malfaisante.

Les remparts en béton armé de la civilisation prolongent l’existence, la protègent, la subliment, alors que la friche est létale, bestiale, laide, primaire, sans idéal.

D’ailleurs l’homme qui vit dans les cavernes est repoussant, épais, abruti, sans éducation, grossier, infirme, tandis que le citadin est beau, fin, noble, sensible, esthète, accompli.

Le rustre pue la sueur, la crasse et la misère. Le civilisé est embaumé des parfums les plus subtils.

La campagne est pleine de ploucs, l’agglomération remplie de belles gens raffinés.

Certes dans les mégalopoles il y a des tonnes d’excréments canins trainant sur les trottoirs et c’est exécrable. Mais dans ces gigantesques structures urbaines on trouve également des cimetières pour chiens, pour chats, preuve que l’hôte des villes est infiniment plus humanisé que le vil et insensible coureur des bois !

Les inconvénients des rues assombries par des gratte-ciel sont minimes comparés à l’immense bonheur d’être séparé du monde sauvage, brutal et sans pitié.

On ne trouve ni glaces au citron, ni bouteilles d’eau fraiche et propre, encore moins ordinateurs dernière génération dans la jungle amazonienne. A la place, de la saleté, des insectes harceleurs, des serpents venimeux, des épines, de la mauvaise herbe, des feuilles, encore et toujours ces plantes inconnues, étranges, immangeables...

Et des arbres, des arbres à n‘en plus finir, à des milliers de kilomètres à la ronde... Lassant, ennuyeux, régressif, mortel.

Celui qui se détourne des faveurs de la société, de l’architecture, de l’art, du raffinement pour le sable stérile des déserts, les cailloux sans vie des espaces vides, les herbes folles de la prairie monotone, celui-là est un ingrat, un dément, un inconscient, un irresponsable, une victime de ce siècle vert.

C’est un être en régression, un bipède qui se couche sur des millénaires de progrès, bref un animal.

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https://youtu.be/alnXutMtwAc

jeudi 19 avril 2012

953 - Confession d'un gauchiste pédophile

Une précision s'impose étant donné les réactions qu'a suscité cet article de la part de quelques âmes malsaines : ce n’est bien évidemment pas l'auteur du texte qui parle ici. Le "JE" employé est un personnage, il a une valeur purement fictive. Je ne parle bien entendu pas en mon nom à travers ces lignes hautement ironiques dénonçant les excès de l'esprit rebelle mais au nom de certaines personnalités de gauche  revendiquant hier si fièrement leur pédophilie et faisant aujourd’hui profil bas...

Mettons-nous dans la peau -et dans la logique- d'un gauchiste de la première heure, fidèle à ses valeurs... Notons que l'exercice pourrait également s'appliquer à un adepte furieux de la droite, mais puisqu'il faut choisir son camp, pourquoi ne pas prendre ce point-de vue-là ? Justement, je choisis ce point de vue plutôt qu'un autre parce qu'à une époque la pédophilie était ouvertement défendue par certains gauchistes. L'infamie n'en est que plus flagrante de la part de ces pervers de gauche... 

Ardent défenseur de la cause ouvrière, toujours aux côtés des gagne-petit, ami des SDF, ouvrant ma porte aux Juifs errants, mon coeur aux damnés du système et ma fenêtre aux vents contraires de l’Histoire, j’ai toujours cru en l’Homme.

Depuis les places de la Bastille et de la Nation j’ai tellement chanté ses terrestres richesses, ses laïques vertus, ses humanistes gloires que j'ai voulu en jouir à travers ses plus belles oeuvres : ses propres enfants.

Pourfendeur impitoyable des religions, ennemi de la morale bourgeoise, adversaire du capitaliste système établi, c’est pour les mieux combattre que j’ai voulu détourner la jeunesse pré-pubère de ces mensonges séculaires.

Libertaire, contestataire, poète maudit et artiste avant-gardiste, j’ai aimé comme un fou la chair innocente, raillant avec de flatteurs éclats intellectuels et de brillantes argumentations universitaires la ridicule droiture de ces culs-bénis sottement honnêtes qui vivent dans d’indignes carcans spirituels, d’oppressantes traditions judéo-chrétiennes, d’inutiles limites sexuelles...

Ma grande liberté de moeurs a fait de moi un gauchiste exemplaire :

Le patron fume son cigare de salaud exploiteur, hé moi je lui crache au visage la fumée de mon pétard ! Il est fidèle à sa femme entretenue dans les beaux quartiers, je viole pédagogiquement sa fille à peine réglée (avec son muet consentement, il va sans dire) ! Il vit dans des règles strictes, je prône l’abolition de toutes les barrières !

C’est ainsi que j’ai toujours conçu l’existence : dans la transgression révolutionnaire des bornes de la morale bourgeoise.

Las ! Depuis une quinzaine d’années en France avec le regain de frilosité morale causée par l’envahissement des valeurs cléricales et des intérêts capitalistes dans la sphère publique, je suis obligé de vivre mes rêves de liberté dans la clandestinité.

Hier applaudi par la société progressiste pour mes prises de positions subversives et mes pratiques libidineuses à la pointe de l’évolution sociale, aujourd’hui avec la régression des mentalités je suis contraint de prendre l’avion pour de lointaines destinations afin d’assouvir en paix -mais surtout en cachette- mes légitimes pulsions d’honnête gauchiste épris d’idéal...

L’époque actuelle ayant criminalisé les plus nobles appétits de ma chair saine, les plus hautes aspirations de mon mental réglé sur des vibrations supérieures, j’en suis réduit à aller enseigner la bonne parole -et principalement les salutaires attouchements- aux antipodes de ce traitre pays de nantis et d’étriqués qui m’a renié.

Un mal pour un bien : désormais ce sont les enfants des pays déshérités qui bénéficient de ma généreuse conception du monde.

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https://rutube.ru/video/3cbc3937a8bd885013bc731301056c37/

lundi 26 mars 2012

952 - Claude François

Comme beaucoup de gens sensibles aux raffinements de l’art, normalement critiques voire un peu cyniques et en tout cas franchement allergiques aux manifestations les plus criardes de l’esprit plébéien, j’ai toujours considéré l’hyper médiatisé chanteur Claude François comme une moindre chose dans le paysage culturel de notre pays.

Avec ses mythiques clodettes, ses très démodés habits dégoulinants de paillettes, sa voix nasillarde et ses chansons aux textes indigents, le fameux “Cloclo” incarna à lui seul les pires tapages de la chanson française.

Celui qui fit danser la France profonde, répandit un peu des artifices de Paris dans les salles des fêtes des sous-préfectures, survolta les coeurs humbles de la paisible province continue, plus de trente ans après son décès aux circonstances carnavalesques, à hanter la mémoire populaire de sa voix de canard.

Il serait trop simple de réduire ce phénomène de longue portée à une banale recette de marketing.

Il y a un “mystère Claude François”.

C’est le mystère d’une âme assoiffée d’ascension dans le coeur des gens.

Seulement voilà, loin des apparences fades qu’il montrait de lui, en réalité Claude François était un brillant calculateur qui se donnait tous les moyens pour parvenir à ses fins. Pour se faire aimer des autres, il allait jusqu’à s’en faire détester !

Ce personnage atypique et paradoxal au caractère de chien était un grand cynique (qui s’ignorait ?) : conscient du formidable potentiel mercantile de son image et de ses oeuvres, il avait la volonté outrancière, décomplexée et mégalomaniaque d’exploiter sans état d’âme le filon qu’il représentait.

Ce qui l’intéressait n‘était pas du tout d’élever le niveau de sa production musicale mais de plaire aux français moyens, de leur servir scrupuleusement la soupe qu’ils lui réclamaient. Il avait ce souci premier de faire de l’argent sur la médiocrité artistique et ne s’en cachait aucunement. Et ce, autant pour le profil que pour la satisfaction de son ego.

Il voulait être le premier.

Deux personnages se côtoyaient en lui. L’un sirupeux, l’autre aigre. Une tendre fleurette aux parfums de magnolia sous les projecteurs, un tyran derrière le décor.

La guimauve et le requin réunis.

Contrastes extrêmes ! Ses interviews font naître chez moi un rire intelligent : je suis rassuré de le voir si avisé, opportuniste, machiavélique, tellement loin de cette image inoffensive et bête qu’on a tous de “Cloclo”. Lorsque se manifeste en lui le loup, ses crocs acérés percent sans la moindre gêne le masque de son angélisme... Très “politiquement incorrect” pour notre époque !

Derrière cette image publique lisse et cette réalité professionnelle féroce, il n’y a pas de hasard ou de chance mais une volonté de fer. Le désir obsessionnel d’atteindre les sommets de la gloire.

C’est fou ce que certains hommes sont capables de faire pour rayonner sur le monde !

Adulé par les classes basses et moyennes, Claude François c’est, encore aujourd’hui, l’âme de la France simple, modeste et honnête.

Avec sa chevelure blonde et son indémodable beauté télégénique, si longtemps après sa mort “Cloclo”’est resté le “drapeau français des gens sans histoire.” La Jeanne d’Arc clinquante du peuple en fête. Un étendard immaculé aux couleurs des samedis soirs d’arrière pays...

Mais aussi un guerrier sans scrupule capable de tous les compromis pour conquérir de nouveaux marchés.

Par certains aspects évidents, Claude François, véritable machine à spectacles réglée au millimètre pour mieux séduire ses auditoires hypnotisés (ou franchement railleurs), c’est aussi l’esprit izarrien dans toute sa splendeur-misère.

Une minuscule mais étincelante chenille bariolée, souriante et totalement boursoufflée d’ego, fascinante à regarder s’agiter sur la scène.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/6qSVND7pybk

https://rutube.ru/video/7720e8f2e8f804e86b30c7592da60319/


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http://www.dailymotion.com/video/x3x0o3o

jeudi 22 mars 2012

951 - La France déshumanisée (Mohamed Merah)

Cet article date d'un temps où mes vues politiques étaient faussées. Mes idées ont radicalement changé depuis, les événements survenus en France ayant salutairement changé ma mentalité... A l'époque j'étais de bonne foi dans ma naïveté. Aujourd'hui mon discours sur le sujet est à l'opposé de ce que vous allez lire. Je suis toujours de bonne foi en défendant aujourd'hui le contraire de ce que j'écrivais jadis. C'est ce qu'on appelle "évoluer".

Moi j'aime les musulmans. J’apprécie leurs moeurs sages et honnêtes, leur tolérance, leur noblesse, leur  mentalité, leur courtoisie, la pudeur de leurs femmes.

Je parle ici des bons musulmans, bien entendu. Non de cette frange extra minoritaire semant haine et terreur dans le monde et dans la société française.

Cette société française qui est en train de sombrer peu à peu dans  le rejet systématique des musulmans et de leurs valeurs, lesquels deviennent jour après jour, mois après mois, année après année les boucs-émissaires de plus en plus évidents d’une France apeurée, sectaire, hystérique... 

Certains français plus haineux que d’autres à l’égard des musulmans de France, choqués par mes sympathies de bel esprit à leur égard me taxent, moi le défenseur de cette religion en voie d’oppression, de collaborateur.

Ce rapprochement ignoble qu’ils font dans leur esprit diabolique entre mon respect et ma tolérance pour la religion musulmane et les mauvais français qui sous l’Occupation collaborèrent odieusement avec les nazis est révélateur du bouleversement des mentalités en France.

Prenons un exemple concret : hier les marins français qui aidaient les boots-peoples en les ramenant en sureté sur leurs navires avant de les remettre aux bons soins de notre terre d’asile recevaient la légion d’honneur. La France reconnaissante récompensait ainsi ses bons citoyens qui avaient recueilli de pauvres expatriés à la dérive. Acclamés par tous, ils étaient montrés en exemple. 

En 2012 ces mêmes marins confrontés à des drames identiques sur d’autres mers doivent radicalement changer d’attitude. Aujourd’hui ils évitent, la mort dans l’âme, d’aider les pauvres diables africains tentant d’atteindre les côtes européennes sur leur coque de noix, conscients qu’ils sont de s’exposer désormais à des poursuites pénales pour “aide à l’immigration clandestine”. 

Bien des marins reconnaissent qu’ils ont dû, dans le pire des cas, refuser leur aide à ces affamés fuyant leur pays en quête d’une vie meilleure avec pour seul bagage quelque misérable balluchon et beaucoup de rêves de fraternité dans le coeur.  

Les survivants désespérés face à l’indifférence des bateaux français sont donc laissés à leur sinistre sort en pleine mer, confrontés à tous les dangers dans leur frêle embarcation où s’entassent parfois des familles entières, et ce avec la directe complicité des lois françaises !

Combien de ces misérables ont ainsi été retrouvés noyés sur les côtes espagnoles ?

De héros, ces nobles âmes d’hier qui sauvaient ces gens en mer passent sans nuance au statut de criminels quand en 2012 ils “commettent” le crime d’entraide !

Une honte nationale.

La France a atteint ici un degré d’abjection jamais égalé depuis longtemps. Comment en est-on arrivé à ce sommet d’inhumanité ?

Il se passe exactement la même chose envers les musulmans : un changement radical des mentalités. Hier il était normal de reconnaîre aux musulmans l’honorabilité, la respectabilité, la grandeur de leur religion, aujourd’hui il est de bon ton, afin de passer pour un bon français, de dénigrer leurs croyances.

En ce moment c’est même devenu une spécialité franco-française que d’aller chercher jusque dans les moindres détails de leur Coran tout ce qui peut prétendument heurter notre république ! On consacre même des émissions de télévision entière à ce seul sujet ! La France descend  décidément de plus en plus bas...

C’est ce qu’on appelle aller chercher la petite bête, autrement dit une volonté de nuire, de dénigrer, de conspuer la religion musulmane, la volonté de mettre sur le grill ses valeurs les plus chères, les plus sacrées. Les Allemands ne se comportaient pas autrement envers les Juifs, jadis... Avant qu’ils ne passent quelques années plus tard à des actes plus immondes.

Depuis quelques années on a donc entrepris d’aller chercher au fin fond du Coran tout ce qui potentiellement pourrait déplaire à la France profonde.

Où cela va-t-il finir ?

Aux yeux des plus extrémistes de ces Dupont rageurs, aimer les musulmans est devenu un acte antipatriotique !

Oui j’aime les musulmans, suis-je un paria pour autant ?

Qui osera me dire que c’est un crime de saluer les musulmans non en signe de soumission à leur religion (car je ne serai jamais musulman, je garde ma spécificité française, mes traditions et ma culture) mais en simple gage de respect et de tolérance ? Qui osera encore m’assimiler à un collaborateur sous prétexte que j’ai de l’estime, du respect et de la reconnaissance pour la religion des musulmans ?

Ce n’est pas mon comportement tolérant qu’il faut dénoncer mais les iniques lois françaises actuelles qui insidieusement font (du moins dans l’esprit des gens les plus faibles) du musulman moyen un ennemi potentiel du pays !

Quant à Mohamed Merah, c’est un furoncle de la religion musulmane qui a déshonoré toute sa communauté. Honte à lui. J’ai pitié de sa pauvre âme. Qu’il soit musulman, catholique ou athée, celui qui de sang froid assassine des enfants aura des comptes à rendre à son Créateur, qu’il l’appelle Dieu, Jéowha , Yawé, Hallah ou le nom qu’il veut. Cela ne change pas grand chose. Qui commet des actes meurtriers, surtout envers des enfants, celui-là devra répondre de ses actes face à l’Être Suprême.

La religion n’a rien à voir là-dedans.

Mort les armes à la main après avoir tiré sur des enfants, quel courage, quel héroïsme en effet ! Bref, un pur gâchis de vies humaines... Tuer des militaires ne vaut guère plus. Un militaire c’est aussi un homme, un être humain. Son uniforme ne change rien à l’affaire.

Catholiques, laïcs français, ne vous laissez pas contaminer par l’air du temps consistant à ostraciser les musulmans.

Il y a des musulmans criminels comme il y a des athées mauvais ou des chrétiens pédophiles. Il y a de dangereux catholiques intégristes, de détestables musulmans assassins, tel cet énergumène nommé Mohamed Merah, de fanatiques athées bourreaux d’animaux, etc...

Il y a surtout une majorité de gens honnêtes, quelle que soit leur religion, une grande part d’humains bienveillants, pacifiques, tolérants. 

lundi 19 mars 2012

LES TRAVAILLEURS SONT DES PROSTITUÉS

Ce texte n'est pas de moi mais de mon frère XAVIER-LOUIS DE IZARRA

J'aurais aimé qu'il fût de moi.

Raphaël Zacharie de  IZARRA

Le travail est réclamé par les esclaves à tel point qu'ils séquestrent leur patron pour travailler et souffrir toujours plus.

Voyez les syndicalistes de la CGT, prêts à tout pour se prostituer.

Le travailleur veut du travail et des chaînes ? Qu'on lui en distribue autant qu'il le souhaite !

Autrefois le travail était considéré comme une déchéance, aujourd'hui c'est devenu un honneur.

Comment appelle-t-on une personne qui donne son temps, son corps et sa vie pour de l'argent ? Une prostituée tout simplement.

Les travailleurs sont donc des putes, des esclaves consentants et heureux de l'être...

C'est à peine croyable : les patrons (les pensants) ont réussi à modeler le cerveau des moutons (les exécutants) ! 

Nombreux sont ceux qui tombent dans le piège.

Contrairement à ce que vous pensez, le travailleur ne travaille pas pour les autres mais d'abord pour lui-même. C'est avant tout un égoïste.

Il me semble donc tout à fait moral et honnête que les esclaves nourrissent les esprits supérieurs en leur versant une pension. 

On ne peut pas se prétendre élite et se salir les mains comme le peuple.

Au lieu de chercher du travail vous les chômeurs, profitez plutôt de votre vie en contemplant avec amour les sous-hommes qui travaillent pour votre confort.

Et n'ayez aucun scrupule puisqu'ils sont tellement conditionnés qu'ils vous méprisent.
  
Je ne suis pas ironique, juste humaniste parce que je veux purifier la Terre de ses esclaves.

C'est plus fort que moi, mais j'aime les humains.

Je ne veux plus que les hommes cherchent à trimer comme des machines.

Or le seul moyen de les réveiller est de les mépriser, de les fouetter, de leur botter le cul comme on le fait envers celles et ceux qui rabaissent l'humanité à travailler. Je pense notamment aux prostituées, aux pauvres, aux nazis, aux gauchistes, aux pédophiles, aux syndicalistes, bref aux criminels en tout genre.

Les ouvriers sacrifient leur vie pour de l'argent qui leur permettra d'accéder au paradis illusoire du confort matériel. Pauvres types ! Minables ! Cocus !

Rendre grâce à ces imbéciles d'ouvriers, c'est les encourager dans leur vice, c'est les inciter à marcher sur l'enfer, c'est les aider à mourir sans dignité. 

Participer à la richesse de l'humanité n'est pas de savoir tourner des boulons, mais de cultiver l'art de vivre.

Révoltez-vous Travailleurs de tous pays, ne courez plus à l'usine, cassez vos chaînes, et accédez enfin à une vie plus simple, minimaliste sans télévision, sans gadgets, sans vos tocs qui pourrissent vos âmes.

Xavier-Louis de Izarra

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/16ccc6203d667f725ab55d39049c5d1d/

dimanche 11 mars 2012

950 - Texte à pigeons

M’inspirant du procédé littéraire malhonnête mais efficace consistant à écrire de belles phrases incompréhensibles, voici un texte totalement dénué de sens que je viens d’écrire pour mieux tourner en dérision les paroles saugrenues issues de la chanson absconse de Bob DYLAN “Adieu Angelina“, Bob DYLAN considéré comme le plus grand poète américain aux yeux de certains !

C’est un texte absurde mais que l’on pourrait quand même faire passer pour une oeuvre profonde aux yeux de certains gogos (recrutés notamment parmi les adeptes de RIMBAUD). 

Construit avec de seuls artifices verveux, de purs clichés alambiqués, ces évocations sont totalement creuses mais bien clinquantes. De quoi tromper non seulement les naïfs mais également certains exégètes enivrés des vents stériles de ce siècle d’hérésies littéraires. Bref, ce texte est une belle imposture que certains esprits faibles prendront pour un authentique poème.

Que la rigolade commence !

TITRE : Les tempêtes sages de l'été

Tout s’estompe là-haut sous les astres dérobés au soir de l’éternité. 

Autour de Vénus le Soleil a cousu son voile d’éther, scellant les derniers liens à l’heure du couchant. Et cette toile d’araignée aux fils de lumière dénude son flanc à l’infini... Sa robe d’argent se déploie jusque sur les bords âcres de la mer sidérale.

Tout s’endort dans les profondeurs stellaires par-delà les flammes léchant l’invisible.

Du firmament tombent les montagnes légères qui enneigeront les galaxies hurlantes avec leur fumée d’azur. Ces sommets de cristal font des cercles vivants couronnant la plaine qui ressemble maintenant à un jardin aux sillons dorés. Voilà, le toit est posé. Les éboueurs de l’âme ont fait de ma maison une volière pour étoiles. Alors les marées profondes commencent à recouvrir mon espace de songes amers et de pensées aériennes.

Tout s’apaise là-bas dans les contrées célestes aux horizons sans borne. 

Je lève ma coupe, le miel me monte à la tête et pique mes rêves, je ferme les yeux et je vois les lunes qui dansent dans le paysage déjà assombri. En choisissant l’amour j’ai abandonné les feux secrets de ma naissance : l’or des rois est pour moi pareil à la misère d’un foyer ardent sans plus de larmes pour arroser nos plaies. J’ai préféré ma solitude à tes serments trop brûlants et j’ai gagné la poésie en perdant ton front chaste que jamais l’étincelle du Nord ne caressera. Ma tête est devenue ce point d’orgueil éteint depuis des siècles que tu contemples en t’endormant parfois sous les fougères lors des nuits chaudes de l’été...  

Tout s’arrange dans les hauteurs lointaines de la Création qui regardent en notre direction. 

L’oeil issu de ce puits dense et mystérieux se dirige vers toi. Un papillon de nuit se pose sur ton épaule tandis que ta main cherche un visage absent. Qu’elle ne trouvera jamais. En vain tu salues la brise indifférente en croyant t’adresser à celui que tu aimes. Tel un sable sans âme, le vent fuit entre tes doigts, insensible à ta prière.

Et, alors qu’une larme perle sur ta joue, le souffle léger de l’été a agité quelques mèches de tes cheveux entraînant à ton insu un fracas cosmique inaudible qui a ébranlé les confins de l’Univers. 

Tout recommence dans l’océan des âmes. Vénus a perdu sa robe de soie, Hélios court toujours après ses chimères, les constellations dessinent des arabesques de marbre sur la voûte et l’été n’en finit pas de faire pleurer les jeunes filles.

VOIR LES CINQ VIDEOS :


https://rutube.ru/video/7ba1c4a1b7ac94c287ba3367ad0a3690/


https://rutube.ru/video/1b48f5ea565ffc3ac91a23c577d87926/


https://rutube.ru/video/4fdd35962d22ede2d54e5e6ed7ac571f/


https://rutube.ru/video/2491c3fd5eac9e6d61a907eca797d1a4/



http://www.dailymotion.com/video/x38bfwz_texte-pour-gogos-gobant-rimbaud-raphael-zacharie-de-izarra_school


samedi 10 mars 2012

949 - Et même si DSK était coupable d'agression sexuelle...

DSK goujat, prédateur sexuel, phallocrate primaire, libidineux impulsif ?

Possible.

Mais après tout on demande à un homme politique d’être compétent, non vertueux.

N’est-ce pas la qualité première que l’on attend d’un bon dirigeant ?

Qu’il soit homosexuel, eunuque, impuissant, trop entreprenant envers les femmes ou pas assez, quelle importance dans le métier de gouvernant ?

Je préfère être gouverné par un agresseur sexuel qui mène la France vers la prospérité, la paix et le bien-être plutôt que par un gentleman qui la mène à la catastrophe.

Je déteste particulièrement le féminisme, je ne m’en cache nullement. Les femmes à l’intellect hautain qui revendiquent des droits contre-nature sont à mes yeux des bécasses. Certes instruites mais mal conseillées par leur conscience prétendument éveillée car inutilement rebelles à leur nature soumise, ce qui ne fait qu’accentuer leur stérilité car celles qui haïssent le macho et les diverses manifestations de ses gamètes se mutilent mentalement les ovaires, ce qui a des répercutions physiologiques réelles sur leur corps (intuition toute personnelle).

Un homme sain d’esprit, normalement constitué, non dénaturé, pas encore corrompu par les hérésies de ce siècle préférera toujours une femelle muette, docile, accorte, obéissante, honnête, compréhensive et dévouée à une volaille hurlante.

Quitte à trancher définitivement dans l’affaire DSK, je donne tous les torts à madame Diallo et réhabilite sans condition DSK.

J’accorde d’emblée ma confiance, mon estime et mon affection à celui qui pendant trop longtemps fut le bouc-émissaire de tous les opportunistes hystériques qui, à moindre frais, purent s’en donner à coeur joie !

Avec leur fausse bonne conscience ils se sont bien défoulés sur cet homme isolé qui, que je sache, n’a tué personne. Qui donc en ce monde, à part le nouveau-né, n’a rien à se reprocher ? A tout péché miséricorde, alors sachons pardonner à monsieur DSK ses frasques après lui avoir fait endurer la féroce, obscène, écoeurante ire populacière. Montrer les crocs est à la portée du premier vengeur venu, tandis que tendre les mains vers le fautif est un geste qui exige de la hauteur et non de la bassesse.

Notre époque n’est plus capable de noblesse, elle se vautre trop souvent dans l’immondice nommée “égalité républicaine” qui n’est en réalité, si on y songe bien, qu’une forme de vilenie déguisée en justice. Cette “égalité républicaine” est, en effet, incapable de charité. Ce n’est pas le genre d’humanisme qu’elle défend.

Cette fameuse “égalité républicaine” est le talion des petits.

Ni plus ni moins que l’échafaud des âmes sans grandeur.

La répression inique des laïques.

Sous prétexte qu’un homme est fortuné, puissant, admirable, ses fautes lui seront d’autant moins pardonnées.

Quoi qu’il ait fait, DSK est un homme, un vrai qui aime les femmes dociles et non un caniche rasé comme il y en a tant en cette époque d’épilation généralisée. Lissage des peaux et des idées vont de pair aujourd’hui. Et Dieu sait que je méprise ces chiots châtrés au poil ras autant que ces chiennes aboyeuses de féministes !

Au nom de toutes ces raisons que je viens d’évoquer, je suis indulgent envers DSK et sévère à l’encontre de cette bonniche immorale, vicieuse et vénale qui par ignobles intérêts a voulu (je le crois finalement en toute bonne foi) faire passer les avances flatteuses d’un beau seigneur comme DSK pour une vulgaire agression !

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/1810a2164c0a7de475e0e314a786dddb/

Liste des textes

2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet