Les gauchistes aiment tous ceux qui sont loin, tout ce qui est laid, tout
ce qui déplaît au Ciel.
Pour eux la Terre, c'est le plat égalitaire. Et ce qui les dépasse n'existe
pas. Ce qui compte à leurs yeux, c'est l'irréel, leurs rêves, ces leurres qui ne
sont que des mensonges dorés.
La vérité est leur pire ennemie car elle entrave leur pensée frelatée, elle
les empêche de progresser dans le faux, de descendre encore plus dans leurs
vices qu'ils nomment "liberté".
Leurs frères humains les plus proches sont toujours ceux qui leur
ressemblent le moins : pygmées, aborigènes, peuls, inuits, sauvages de
l'Amazonie, etc.
Mais jamais leurs propres compatriotes, qu'ils qualifient de "chiens", de
"racistes", de "haineux", de "sales Blancs" et même "d'hétérosexuels", la pire
des injures selon leurs critères...
Se conformer instinctivement à l'ordre naturel constituant la source de
tous les maux ici-bas, paraît-il...
Les gens de gauche préfèrent nettement se ranger de l'autre côté des choses
droites. Systématiquement. Leur culture de la rébellion est tellement poussée
qu'ils vont jusqu'à décréter que l'homme peut, tout comme la femme, tomber
enceint. Bien entendu, aucun d'entre eux ne croit à cette blague, mais ils
feront tout pour défendre la monstruosité, l'anomalie, l'aberration.
Leur tolérance n'a aucune limite, leur ouverture d'esprit nulle nuance et leur sexualité surtout pas de barrière ! Ils déraillent sans cesse parce que pour eux, des rails précisément c'est trop étroit...
Humanoïde ou caillou, chèvre ou arbre, fourmi ou montagne, pour eux c'est pareil. Déstructurés, pétris de chaos, ils résonnent de néant.
Ce qui est contre nature est leur norme : ils désirent ce que refuse le bon
sens, adoptent les moeurs les plus contraires à la salubrité morale, empruntent
les grands chemins de la vie à rebours ou carrément de travers, pour mieux
signifier à qui veut bien les croire, que le vrai c'est ce qui tourne à
l'envers.
Leur point de vue, c'est le contraire de l'évidence : une fille est un
garçon, un français est un chinois, un époux viril est un homosexuel refoulé, un
carré est un rond et un moustique vaut un bipède.
Et si vous leur objectez qu'un humain normal ne correspond en rien à leurs
conceptions délirantes, vous les offenserez profondément. C'est le mot "normal"
qui les scandalisera. Ils vous rétorqueront que cela ne veut rien dire et que
d'ailleurs eux incarnent le modèle souhaitable et même le plus abouti de la
civilisation.
Ils se prétendent au sommet de l'évolution, c'est-à-dire au même niveau que
les vers ou les cafards, à la même hauteur que les rats ou les mouches, qu'ils
chérissent particulièrement pour leur position de victimes héréditaires et qu'ils considèrent par conséquent comme leurs parfaits égaux.
Ces idéalistes des causes les plus minuscules ou les plus grotesques veulent choisir de devenir soit des lutins à cheveux rose fluo par solidarité avec les supposés choux-fleurs opprimés de la planète Neptune, soit des licornes androgynes à face verte, pour mieux ressembler à des poireaux du Pérou bisexuels en mal d'amour cornichonesque.
Pour faire simple, les apôtres de l'inversion des valeurs sont tout bonnement des fous. Des dingues hystériques avec des idées de dindes. Des déboussolés du ciboulot qui ont perdu la tête.
Ce sont des fêlés effrénés, des citrouilles hallucinées, des gogos de première ligne d'une idéologie pathologique, qui croient pouvoir appliquer à l'Humanité entière le cas des escargots hermaphrodites.
Bref, les gauchos bavent dans le vide.
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