vendredi 28 janvier 2011

906 - Futilité de l'emploi

N'ayant jamais été trituré par le moindre désir de promotion sociale, de "liberté financière", d'épanouissement professionnel, j'ai vécu jusque vers trente ans chez mes parents.

Ce furent les années les plus heureuses de mon existence. Parfaitement désargenté, durant cette longue période je n'ai à aucun moment rêvé de toucher un salaire, bien au contraire.

La perspective de l'indépendance matérielle ne m'a jamais séduit, c'est la raison pour laquelle de toute ma vie je n'ai émis la moindre revendication au travail rémunéré. L'accès aux biens matériels (voiture, garage pour la loger, canapés, parasols, piscine, portail électrique, vacances, chaudière, véranda, skis, caravane, bateau, etc.) que depuis tout temps j'estime superflus a toujours été pour moi une forme d'esclavage à des causes futiles.

Un peu d'argent de poche pour mes amusements de Peter Pan m'a largement suffit. Pourquoi exiger de l'existence plus de confort et de rêves que je n'en avais déjà avec mon lit, mon bureau et ma machine à écrire dans la vaste bibliothèque paternelle où s'entassaient de vieux ouvrages, plus de jouissances que celles, gratuites, saines et immédiatement accessibles que me procuraient les éléments, les saisons, les choses simples du quotidien, plus de trésors alimentaires que ceux que mes parents récupéraient dans les poubelles des magasins alentours ?

Je circulais aussi bien que n'importe qui en pratiquant l'auto-stop. Je suis allé ainsi visiter toutes les régions de France et une dizaine de pays d'Europe. Mes déplacements locaux s'effectuaient par ce même moyen. J'étais comme un propriétaire de véhicule, les inconvénients de la propriété en moins.

Aussi je ne comprends pas que des jeunes sans travail -mais non sans sécurité alimentaire et matérielle de base- ne se satisfassent pas de leur sort, stérilement turlupinés par des rêves de possession de véhicule, de vacances au soleil, d'achat de maison... Je peux comprendre que l'on exige un travail quand on est dans une situation réellement critique, mais lorsque l'on a accès avec certitude à des ressources minimales, je considère comme une hérésie, un luxe honteux et surtout un comportement anti-civique inspiré par du pur égoïsme le fait de réclamer du travail, donc un salaire, alors que tant d'autres jeunes loin d'être dans une situation aussi chanceuse en ont légitimement plus besoin que soi-même !

J'estime que dans un contexte socio-professionnel difficile où il y a tant de chômage, la moindre des choses pour un jeune ayant accès d'emblée au minimum vital sans avoir l'impérieuse obligation de gagner un salaire, c'est de se contenter de ce qu'il a et de laisser la place aux autres, pères de famille ou chômeurs sans ressource, qui ont vraiment la nécessité de travailler.

Cela ne l'empêche nullement de vivre, AU CONTRAIRE !

Un jeune sans travail mais néanmoins en pleine sécurité matérielle -ce qui fut mon cas- devrait remercier le sort et en profiter pour occuper ses jours à des choses plus passionnantes que la recherche d'un emploi. Ne pas devoir travailler pour financer l'achat d'une voiture, d'une maison, d'un salon, d'une cuisine, etc. est une chance. Persuadés pourtant que leur salut ne peut passer que par l'accumulation de biens matériels futiles et grotesques ainsi que par le mimétisme social basé sur le modèle dominant, cette jeunesse sans emploi ira grossir les statistiques du chômage en réclamant à la société un dû dont elle n'a fondamentalement pas besoin.

Désirer travailler pour pouvoir se faire construire une maison quand on a déjà un toit au-dessus de sa tête, pour se nourrir tandis que la providence Poubelle pourvoit en partie aux mets et desserts ou bien pour posséder une voiture alors qu'on peut effectuer gratuitement de courtes et longues distances avec les véhicules des autres, cela reste du secondaire, du superficiel, de l'amusement que l'on prend à tort pour des choses sérieuses.

On me rétorquera qu'un jeune qui a envie d'une vie de couple et de fonder un foyer doit s'émanciper de la proximité et de la dépendance parentales... Faux ! Jusqu'au début du siècle dernier en France des familles étendues se sont constituées au sein d'un même foyer, et aujourd'hui encore la chose est courante dans les pays où la mentalité est patriarcale et le sens de la famille reste fortement ancré. Et cela fonctionne parfaitement. Moi-même pendant des années je suis demeuré sous le toit parental sans argent, heureux entre le contenu de mes chères poubelles, les hôtes poussiéreux des étagères de la bibliothèque et les regards certes étonnés mais bien réels d'une compagne qui, de son côté adoptait sans problème le système opposé au mien.

Malheureusement dans notre société vulgaire basée essentiellement sur les satisfactions matérielles, les autres bienfaits que nous offrent généreusement le sort, la nature ou même l'âge ne sont pas universellement appréciées. Tout n'est question que "d'intelligence de la situation", de maturité de l'esprit, d'indépendance de pensée.

Avec mon parcours exemplaire hors circuit du marché du travail, étant totalement détaché des inconsistances sociales, insensible aux inepties matérielles mais réceptif aux beautés simples et naturelles de la vie, je suis l'illustration la plus flagrante de la validité du modèle izarrien, donc de la justesse et de la pertinence de ces présents propos.

+++++++

Je devance les éventuelles remarques des contradicteurs en précisant qu'il n'y a aucune honte à être chez ses parents jusque trente ans et même plus. La honte c'est de se croire inutile ou de se sous-estimer sous prétexte que l'on ne travaille pas aux yeux de la société. Un homme n'est pas une machine, pas un robot. Il n'est pas sur Terre pour être utile à un système économique mais pour vivre, gratuitement.

Je suis chanceux il est vrai et c'est exactement ce que je dis dans mon texte. Je ne suis pas le seul à avoir cette chance que certains considèrent malheureusement comme une malchance. Ils ont autant de chance que moi mais se croient défavorisés par le sort et, influencés par le discours extérieur et les séductions superflues du monde du travail, exigent d'avoir un emploi alors qu'ils pourraient avantageusement s'en passer ! A cause de cette influence de la société de consommation et de la reconnaissance par le travail rémunéré érigé en véritable religion, certains ont tout pour eux et croient pourtant avoir tout contre eux. Chercher un travail est à mes yeux une déchéance quand on peut vivre sans attaches matérielles excessives sur les bases de revenus minimums.

J'ajoute que moi je travaille, sauf que mon travail n'est pas reconnu sous prétexte qu'il ne me rapporte aucun argent.

Dès qu'une activité ne rapporte pas d'argent, en règle générale elle est dévalorisée par la société. Pourtant il existe des paresseux salariés et des travailleurs courageux non rémunérés.

Sachez pour finir que je déteste la paresse, le laisser-aller, la vie de parasite. En aucun cas je n'ai fait la promotion de la paresse. J'ai juste fait l'éloge de la liberté de pensée et d'activité.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/8b67ce611f793ad276255f25192598a6/

http://www.dailymotion.com/video/x412fsl

jeudi 27 janvier 2011

905 - La vieille Charone

Germaine Charone est une carne de quatre-vingt-dix-huit balais. Elle a connu la "14", les Boches en quarante et a déjà enterré tous ses voisins.
 
En un siècle, elle n'a jamais quitté son petit village picard, Contay. Germaine Charone est une vieille charogne qui radote du matin au soir, bien qu'elle ait sauvé des petits Juifs du fer allemand pendant la dernière guerre. Elle a d'ailleurs été récompensée de la médaille des Justes pour son comportement exemplaire durant cette période. Ca ne l'a pas empêché d'accuser des Manouches en 1975 de lui avoir volé une poule. A tort, puisqu'elle avait secrètement mangé sa volaille. Je m'en souviens bien, je l'avais vu la faire cuire dans son grand pot, j'étais tout gamin à l'époque. C'était un volatile à la chair coriace.
 
Germaine Charone a souvent aimé faire le mal, mais maintenant elle n'a plus toute sa tête. Son mari a été touché au genou droit par un éclat d'obus en quarante-trois. Depuis, il a toujours boité de la patte. On l'a inhumé en quarante six. Heureusement, comme ça il aura pas claudiqué longtemps. Germaine, à présent qu'elle approche de la centaine d'années, elle commence à vouloir s'engager chez les Scouts de France.

Elle n'a plus sa tête. Un jour elle a voulu aller tuer le chien de quelqu'un qu'elle connaissait même pas. Le 27 juin 1978 elle a coupé son arbre en entier parce qu'il y avait trop d'ombre devant sa fenêtre. Bertrand, un ami de la rue où elle habitait -et où elle habite toujours du reste,  vu qu'elle a jamais quitté sa masure-, a voulu la cogner à cause de ça. Elle lui en a voulu à mort. Tout ça pour une histoire d'ombrage.
 
Moi je la déteste : elle pue comme une incontinente qu'elle est, elle ne se lave pas car elle vit seule chez elle sans personne pour l'aider. Elle n'a plus sa tête mais elle est encore trop fière à quatre-vingt-dix-huit ans pour se faire aider par une jeunette qu'a pas vécu la guerre tandis qu'elle, elle a sauvé des petits Juifs.
 
Ca l'a rendu méchante on dirait.
 
Elle fait la fière pour pas qu'on la lave, alors qu'elle ne peut plus se traîner sans ses béquilles, la chamelle ! Je dis pas "vivement qu'elle crève", ça se dit pas ces choses-là. Mais y'a pas loin pour que je le pense, j'avoue. Cela dit, ça m'empêche pas de lui dire bonjour à la Germaine.

Je demeure poli, même avec elle. Elle a plus sa tête. Faut dire qu'elle est plus très jeune, c'te pourriture. Elle a quatre-vingt-dix-huit berges.

Et je sais pas combien de temps elle va continuer à nous emmerder !

904 - Nestorine se fait saillir

Aujourd'hui la colossale Nestorine a décidé d'aller courir le mâle, histoire de se dégourdir les poings (car quand elle est en rut, elle cogne !) et de s'aérer les ovaires.
 
Elle a choisi de se faire secouer les boyaux par Alphonse le tueur de porcs. Alphonse est un solide gaillard à la mine d'abruti, au visage bourru barré par une longue cicatrice. C'est une authentique brute épaisse qui ne désoûle jamais et gagne sa gnôle en égorgeant des verrats chez les éleveurs du coin pour le compte de bouchers marrons. C'est aussi un braconnier analphabète, une sorte de bête puante à deux pattes, une âme primaire, un coeur de pierre, du cuir à la place de la peau. C'est un ours, un loup, un boeuf.
 
Le genre d'individu à ne surtout pas rencontrer sur les chemins de campagne, à moins d'être armé. Mais l'inoffensif Alphonse n'est pour la Nestorine qu'un simple amuse-gueule, une mauviette de "femmelette" écouillée, une tapette de bon à rien d'impuissant de bonne femme, un fumier d'incapable de pédé qu'est même pas un homme... Rien que ça ! Mais Nestorine n'est guère difficile dans le choix de ses partenaires, à ses yeux il n'y a pas de reproducteurs dignes de ce nom dans son monde brutal. Elle aurait préféré un couillu, un vrai de vrai au lieu de ce mollasson de chochotte d'Alphonse. On le voit, les critères de séduction et de virilité selon Nestorine sont très sélectifs. Elle place la barre très haut.
 
Avec Nestorine l'approche nuptiale est réduite à sa plus simple expression :
 
- L'Alphonse, y'a de la tripe de fumelle à te farcir ! Viens donc me tasser la viscaille avec ton braquacouille !
 
A cette délicate invite Alphonse n'est pas en reste :
 
- Nestorine, tu veux de la braquaille à fumelle ? Tiens, prends donc ma grosse pinasse dans ta viandasse à coche !
 
Ces mots à peine échangés entre les deux amants, la rude Nestorine se fait saillir sur-le-champ par la bête. Non sans avoir cogné son partenaire quelque peu imbibé de mauvais alcool afin de lui remettre les idées en place. Une fois l'odieuse union accomplie, les deux amoureux se séparent sans mot dire. Généralement Alphonse est sonné, copieusement maté par l'enflammée femelle à la chair insatiable.
 
Répétons-le, Nestorine est une terreur de jeune fille d'à peine vingt ans, un mastodonte tout en muscles, un puits intarissable d'énergie, une montagne de testostérone, des pognes de bûcheron, une poitrine de centurion. Cent-vingt kilos de violence, de granit et de tendresse à l'état brut. Un champion de lutte en jupon. Elle cogne dur la Nestorine, surtout lorsqu'elle est en rut.
 
Nestorine, estimant que sa matrice a été bien besognée, s'en retourne à présent à sa ferme : "y'a un boeuf à abattre pis à étriper pour la fête de la saint-Hyppolite". Car il faut savoir qu'à la saint-Hyppolite c'est fête aux étables. Ne vous avisez surtout pas de demander à Nestorine ce qu'on fête dans la basse-cour ce jour-là, vous risqueriez d'y laisser des plumes.
 
Un conseil : évitez à tout prix de croiser la route de Nestorine. Que dites-vous ? Que ce n'est après tout qu'une demoiselle  si proche encore de l'adolescence ? Ne vous fiez pas aux apparences !

Vous qui jouez les héros depuis votre salon citadin, on voit bien que vous ne l'avez jamais vue à l'oeuvre, la "belle" Nestorine...

lundi 24 janvier 2011

903 - Le vol du parasite

En pleine force de l'âge, cet homme ne sert à rien. De ses dix doigts et du matin au soir, il ne produit aucun fruit. C'est sur le travail des autres qu'il mange. Et ne se prive de rien qui puisse contenter son existence inféconde... Le meilleur lui convient, même s'il ne fait pas le difficile les jours maigres : quand il lui faut se contenter de peu de choses, il en fait un festin autant pour la panse que pour l'esprit. Content de tout ce qui lui tombe sur la tête et dans le ventre, il vit heureux et d'une humeur égale.

Libre, il propose à ceux qui lui reprochent de ne servir à rien de l'imiter. Il n'a pas d'argent, pas d'enfant, pas de femme, pas de métier, pas d'avenir, pas d'ambition.

Et encore moins de vanité.

Cet improductif aux mains lisses n'a rien à vendre. Il passe son temps à "sucer le sang" de ceux qui triment et qui ne le comprennent pas.

Il chante, il rit, il joue, il dort, il mange, il rêve, il pense, il médite, il parle... Sans rien offrir en échange à la société.

Ennemi juré de l'humanité laborieuse, honnête et rangée, cet homme n'a pas sa place sur Terre. Et c'est parce qu'il regarde bien au-delà des nuages qu'il est toujours loin de ses pieds.

En vérité s'il n'a pas besoin de travailler pour vivre, c'est parce que ce bandit d'homme inutile vole.

Selon l'époque, la mentalité, le lieu, l'usage ou les préjugés on le nomme ermite, SDF, moine, poète, fou, Izarra, mystique, imbécile, bohémien, va-nu-pieds, arriéré, errant, hère, assisté, égaré...

Il vole non pas son prochain, non pas le système, pas même la terre.

Son vol à lui est plus subtil.

lundi 17 janvier 2011

902 - Le WEB, azur izarrien

Songeons que sans la conception du piano au XIXème siècle, Chopin serait un obscur compositeur pour voix. En l'absence du moteur à explosion, Alain Prost ne serait champion de rien du tout. Dans une culture dénuée de théâtre, Sarah Bernhardt aurait été une anonyme lingère. Sans l'appareil photo, point de Desnos. Imaginons l'invention des frères Lumière passée inaperçue... Que seraient Hitchcock, Chaplin, Delon, Gabin et tant d'autres acteurs, cinéastes et scénaristes divinisés ? Et que dire des champions du monde d'échecs s'ils avaient été privés de leur joujou favori ? Les vainqueurs du tour de France, les as de chute libre, de ski ou de moto, dépossédés de leur indispensable outil ne seraient rien. Tous ces héros seraient à nos yeux des hommes ordinaires, au pire des pauvres types, des minables, des ratés s'il n'y avait eu dans leur vie l'instrument de leur gloire.

Si le piano avait été créé mille ans plus tôt, combien de Frédéric supplémentaires aurions-nous glorifié ? Et toutes ces inventions jamais réalisées, jamais conçues mais potentiellement réalisables, combien d'anonymes auraient-elles révélés à la postérité ? Bien des hommes auraient trouvé un sens à leur existence, un épanouissement personnel grâce à tel moyen, tel objet. Mais la plupart d'entre eux n'ont eu entre leurs mains que des pioches, des herses ou des socles de labour. Un nombre infime, plus chanceux, a reçu un violon, une équerre, un manuel d'architecture au lieu d'une pelle, d'une charrue, d'un fusil.

Ce sont les accessoires qui révèlent les hommes et font d'eux des génies dans leur domaine. Potentiellement, nous sommes tous des génies. Pour la majorité d'entre nous, il manque juste le hochet approprié pouvant le prouver.

Les héros, beaux esprits, artistes et génies de l'humanité ont surtout eu la chance de rencontrer l'accessoire adéquat, les circonstances bénéfiques qui les ont révélés, sans oublier le contexte social pour leur distribuer des lauriers car il faut également cette condition : que leur activité soit reconnue par l'ensemble de la communauté à une époque donnée.

Sinon ils sont considérés comme des génies stériles. On constate que la définition du génie est parfois arbitraire car basée sur des considérations purement utilitaires ou des intérêts passagers.

Par exemple l'oisif excellera dans l'art d'en faire le moins possible. Seulement la société n'accorde pas de valeur à l'exercice de l'oisiveté. Il passera donc pour un inutile aux yeux des travailleurs, majoritaires. Il n'en demeure pas moins qu'intrinsèquement l'oisif ayant travaillé son mode de vie au plus haut degré de raffinement est un Mozart dans son genre. Il en va de même pour chaque activité humaine, depuis le balayeur de rues à l'astrophysicien contribuant aux progrès de la conquête spatiale.

Au passage, ayons une pensée particulière pour ces génies anonymes du balai exerçant leur art dans l'ombre, méprisés, incompris du grand public...

La machine informatique est à ma personne ce que l'orgue fut à Bach : un monstre à clavier pour m'exprimer avec hauteur.

INTERNET inexistant, je serais tel un compositeur errant, amputé de sa baguette et de son orchestre, comme Armstrong dans un monde ignorant la propulsion à hydrogène, comme Prost dans une société exempte de voitures de course, etc.

Si n'était pas apparu l'instrument à cordes percutées, l'illustre pianiste évoqué plus haut n'aurait jamais existé hors de son siècle. Si n'avaient pas été construits les bolides roulants, Prost serait champion du monde de l'anonymat. S'il n'y avait pas eu cet essor mondial du jeu de ballon Zidane serait un travailleur clandestin de banlieue.

La Toile, c'est ma Formule 1, mon Stradivarius, mon Everest, mon épopée, bref ma "machine à devenir champion", comme les touches d'ivoire furent pour Chopin le déclencheur de sa créativité. Sans l'arrivée de son jouet fétiche à son époque, que serait devenu le compositeur franco-polonais ? Sans le programme Apollo 11, Armstrong aurait laissé ses banales empreintes sur le sable du Nevada. Sans l'industrie du disque Johnny Hallyday serait resté Jean-Philippe Smett et Céline Dion une vachette canadienne. Hors l'invention du cinématographe Jean Gabin aurait fait carrière comme chanteur d'opérette et serait devenu star... d'une sous préfecture de l'Oise.

La Toile, c'est ma toile à moi, l'espace où peindre une fresque verveuse et égocentrique aux dimensions planétaires.

Délire dalien ? Non, ivresse izarrienne !

C'est l'instrument qui fait l'instrumentiste. Il est vrai que loin d'INTERNET, je serais peu de chose, du moins en dehors des limites de mon environnement proche. Le raisonnement est valable pour nous tous, à toutes les époques et dans toutes les situations. Déshérité de sa terre, le paysan ne se sentirait pas exister. Supprimons l'alphabet, plus de Hugo ! Dépourvu d'automobile, le français moyen se sentirait une nullité, etc. Il y a autant d'exemples qu'il y a d'individus sur terre.

Si on remonte les faits selon la même logique on peut affirmer aussi sûrement qu'en dehors de la vie personne n'est rien ! Sans naissance, ni globe terrestre, ni soleil, ni galaxie, etc., que seraient les 7 milliards d'être humains ? Tout a une utilité, les êtres utilisent tout ce qui est à leur portée pour s'élever. Pour certain se sera le ballon, pour d'autres la trompette. Pour moi c'est la Toile. A la différence que pour certaines personnes le WEB est le déversoir de leurs ordures mentales.

Pour moi, c'est un espace où répandre ma lumière.

Espace idéal et quasi infini. C'est là que se fait la grande distinction entre le joueur de crin-crin et Mozart : l'instrument est le révélateur des ânes autant que des génies. Le NET est ma salle de chant. Bien plus qu'une prothèse cérébrale, mieux que le prolongement de mon cerveau, autre chose que le simple support de ma pensée : INTERNET c'est mon piano à moi.

Comme Chopin, je suis virtuose du clavier.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/x7zp7m_raphael-zacharie-de-izarra-ou-l-esp_creation

mercredi 12 janvier 2011

LA FEMME EST UN ANIMAL (suite)

Cet article est de Xavier Louis de IZARRA (frère de Raphaël Zacharie de IZARRA, auteur de ce BLOG). Les lecteurs qui le souhaitent pourront s'adresser à lui à cette adresse : xavier_de_izarra@yahoo.fr

Femmes, soyez très attentives aux motifs qui chamboulent votre raison. C'est eux qui vous permettront de vous élever spirituellement, de mieux analyser les forces obscures qui vous manipulent. Vous serez libres le jour où vous maîtriserez les rênes de vos ovaires.

Sous toutes latitudes, dans toutes les cultures et depuis l'histoire de l'humanité, le fait que les femmes aient été dominées par les hommes est une preuve de leur infériorité. Il ne s'agit pas de force physique, mais bien d'intelligence. L'homme est un cerveau en constante ébullition, un conquérant, un génie, un inventif, un créatif, un être curieux.

Tandis que la femme n'est qu'un utérus branché sur deux pattes chahuté par ses émotions explosives. Quand une femme est touchée par un rêve, une illusion, elle ne doute plus parce que l'image impressionne la femme en provoquant des poussées hormonales incontrôlables. C'est pour cette raison qu'il faudrait lui interdire la télévision et toute image violente susceptible de la déstabiliser.

Les faits sont là. Comptez le nombre de génies masculins, que ce soit en mathématiques, dans les arts, en philosophie, en poésie, en littérature, en physique, en biologie, en économie, en finance, en performances de toutes sortes, et même en cuisine ou en spiritualité. Combien d'hommes pour une femme ? Comptez vous-mêmes. Tous les grands qui ont marqué l'Histoire sont des hommes : Abraham, Lao Tseu, Confucius, Bouddha, Pythagore, Jésus, Mahomet, Christophe Colomb, Léonard de Vinci, Baudelaire, Einstein, Karl Marx, Bill Gates, ...

Au 21 ème siècle, la femme "libérée" est toujours enchaînée par ses crises ovariennes. On ne compte pas plus de génies féminins qu'autrefois. Sachez que lorsque Dieu incarne une âme en autruche ou en femme, c'est qu'il a jugé bon que ce soit ainsi. Si vous êtes née femme, c'est que vous méritez d'expérimenter une vie de femme. Peut-être que Dieu a voulu vous punir parce que dans une vie antérieure vous étiez une brute de mari qui martyrisait son épouse ? En tout cas, c'est mieux que d'être pingouin puisque vous avez un pied chez les humains avec l'opportunité d'égaler l'homme.

Cela dit, doit-on mépriser la femme et éventuellement la battre comme le conseille l'Islam ? Etant un fervent défenseur de tout être sensible, je suis contre la manière forte. La femme doit être respectée autant qu'un chat, un veau ou un panda.

D'autre part, il me semble judicieux de ne pas lui donner trop de pouvoir. En effet, les femmes au pouvoir ont tendance à en abuser comme si elles voulaient se venger de la décision divine. On sait par exemple que les femmes juges sont plus impitoyables encore que les petits chefs, les refoulés, les minus habens.

Récemment, l'homme leur a donné le droit de disposer de leur corps. Résultat effroyable : 220 000 avortements par an rien qu'en France. Certes, j'admets qu'il y ait parfois des cas dramatiques, mais combien d'avortements pour des raisons futiles ? C'est là qu'on a vu que la femme respectueuse de la vie n'est qu'un mythe. De même, contrairement à la formule du poète hypocrite, la femme n'est pas l'avenir de l'homme; elle serait plutôt sa fin.

Par définition, un être dominé est plus faible que le dominant. Je ne suis pas responsable si la femme a toujours été sous la coupe de l'homme et que l'on compte rarement des génies féminins. Dans la même veine, on pourrait aussi évoquer l'esclavage qui est le résultat d'une épreuve de force entre un faible et un fort. L'esclave est moins intelligent que son oppresseur, l'envahi est moins rusé que l'envahisseur, le loup dévore le mouton. Certes on peut le regretter, mais c'est ainsi.

Dans nos sociétés occidentales, les femmes ont désormais les mêmes droits que les hommes. Les filles et les garçons suivent le même enseignement.

Or, ce sont toujours les hommes qui dominent dans tous les domaines.

- Les champions du monde d'échecs sont des hommes.
- Les plus grands chefs cuisiniers sont des hommes.
- Les plus grands inventeurs sont des hommes.
- Le plus grands architectes sont des hommes.
- Les plus grands peintres sont des hommes. Etc.

La force physique est un élément qui stimule l'intelligence au même titre que l'habelité manuelle. Le physique et la pensée sont liés. Observez sans a priori : les garçons sont naturellement portés à la conquête, à regarder dans un télescope, à observer les fourmis, à démonter leurs jouets, à découper une grenouille pour voir ce qu'elle a dans le ventre, à lire Jules Verne, etc.

Les filles préfèrent touiller les confitures, s'entortiller les cheveux ou imiter Maman. Par nature, elles ne sont ni créatives, ni curieuses. En tant qu'homme, notre devoir est de les extraire de leur paresse naturelle. Quand un homme trouve une femme intelligente, il ne le pense évidemment pas. C'est pour lui une façon subtile de l'introduire.

Certes les hommes ont évolué en fonction de leur environnement socio culturel, tout comme les animaux. Je ne le nie pas. Mais dans toute société évoluée, le pouvoir est confisqué par les plus intelligents, c'est-à-dire par l'homme.

Concernant les races humaines, certaines sont plus intelligentes que d'autres. Si c'est vrai pour les chiens, ça l'est aussi pour l'espèce humaine. Pourquoi le nier ? L'intelligence des races humaines dépend, comme pour la femme et le rat de laboratoire, de l'environnement culturel et géographique. Les Juifs par exemple sont l'une des races les plus intelligentes de la planète. Ils brillent dans de nombreux domaines. Le bassin méditerranéen a stimulé l'intelligence de ses peuples grâce à sa configuration qui les a poussé à échanger, à se battre, à se confronter, pour le profit de tout le monde.

En revanche, les primitifs d'Amazonie et d'Afrique ne peuvent pas développer leur intelligence à cause du climat et surtout de leur isolement. Et puis s'il suffit d'étendre le bras pour cueillir une banane, pourquoi développer son intelligence pour inventer l'agronomie ?

La supériorité de l'homme sur la femme n'est pas que physique. Si c'était le cas, les éléphants auraient pris le pouvoir sur la Terre. Mais c'est vrai que l'intelligence a son revers. Chez les femmes, les langoustes et les chèvres, on ne compte aucun Hitler, aucun Mao, aucun Staline.

Le diable est un homme, mais Dieu et Jésus aussi.

Le fait de voir la planète comme un bain de sang est typiquement féminin parce que vous n'arrivez pas à vous détacher des images qui troublent votre esprit. Chez la femme, tout est rose ou tout est noir. Elle peut tout aussi bien pleurer pour une poulette écrasée que se pâmer devant une carotte cuite.

En revanche, l'homme sait juger le monde objectivement. Il voit à la fois ses laideurs et ses beautés. L'homme détruit, mais il sait aussi construire et reconstruire. N'oubliez pas que s'il tue, c'est souvent pour protéger son cheptel, ses biens, ses femmes, ses enfants, ses prairies., son cheval. Il est votre protecteur.

L'homme s'élève spirituellement, toujours en quête du plus haut. Mais par rapport à la femme, c'est LUI le premier de cordée. Son rôle est de guider les femmes et toute la Création pensante vers les cimes.

Je sais que mes propos sont choquants, pourtant je ne cherche pas à choquer mais à rétablir certaines vérités. Je ne suis pas responsable de la vérité, de ce qui est.

Xavier Louis de Izarra

lundi 10 janvier 2011

LA FEMME EST UN ANIMAL

Cet article est de Xavier Louis de IZARRA (frère de Raphaël Zacharie de IZARRA, auteur de ce BLOG). Les lecteurs qui le souhaitent pourront s'adresser à lui à cette adresse : xavier_de_izarra@yahoo.fr 

Je ne supporte pas les féministes.

Leur vision de l'homme est tellement partisane, caricaturale et simplette qu'elle en est hilarante.

Spirituellement parlant, une femme est un enfant, un humain inachevé, un être qui ne sait pas communiquer autrement que par ses larmes et ses émotions.

Une femme ne raisonne pas, elle ne sait pas raisonner, elle ne saura jamais raisonner. En revanche elle s'ébat, elle babille, elle s'émeut, elle pleure. Elle est une chose sans consistance, variable, qui fond telle une guimauve à la moindre larve écrasée. Dans toutes les civilisations et depuis l'origine de l'homme, on ne trouve aucune femme de la dimension de Moïse, Bouddha, Jésus, Mahomet.

Dieu est un mâle. Il ne s'est pas incarné en fifille en jupette mais en un homme. Le Père, le fils et le Saint Esprit ne sont pas des pisseuses évaporées, mais des hommes posés, puissants et dominateurs.

Plaignez-vous à Dieu de vous avoir fait femme. Avant d'être sous la coupe des mâles, vous dépendez avant tout de votre physiologie : c'est vous qui portez les enfants, qui allaitez, qui subissez vos règles et vos montées hormonales. L'hystérie (étym. utérus) est typiquement féminin.

C'est Dieu qui vous a créées ainsi parce que - au même titre que la création tout entière - vous êtes au service de l'homme. Vous êtes un jardin stérile que l'homme féconde. Vous êtes des calebasses creuses que l'homme remplit de Semence et d'Intelligence. Toutes les femmes du monde entier baissent leur petite culotte pour recevoir la paire de couilles qui leur manque. La femme, cette chose futile, passe sa vie à cacher ce qu'elle n'a pas. Seuls les imbéciles s'y laissent prendre.

Vous les femmes, vous êtes des animaux à domestiquer pour servir l'Homme. Bénissez l'homme votre maître qui daigne vous aimer. Vous êtes condamnées à récurer vos fonds de casseroles, à repriser nos vieilles chaussettes, à recevoir la domination du mâle sans broncher et à lui préparer de bonnes soupes. Comme toutes les femelles soumises, vous avez pondu des petits, vos hormones vous triturent la cervelle et votre utérus vous gouverne.

Et quand votre Homme reviendra de ses conquêtes galantes, vous lui baiserez les pieds avec amour.

Xavier Louis de Izarra

samedi 8 janvier 2011

901 - Izarra-Farrah Fawcett : l'interview-vérité

Il était temps que la presse se penche sur le phénomène : Raphaël Zacharie de IZARRA l'étoile montante du WEB littéraire commence à intriguer pas mal de monde avec ses obsessions fawcettiennes... Notre rédaction a dépêché sa plus jolie reporter au Mans (on connaît trop les exigences esthétiques du maître quant aux modalités des interviews pour se permettre le risque d'essuyer un refus !) afin d'en savoir un peu plus sur la lubie du Hugo sarthois.

Journaliste : Marie-Jeanne de la Briande, pour "Le Point".

Raphaël Zacharie de IZARRA, depuis quelques temps la blogosphère francophone avait remarqué les récurrentes allusions -directes ou indirectes- à Farrah Fawcett à travers vos textes. Pas seulement dans les pays de langue française d'ailleurs mais aussi dans le reste du monde puisque parallèlement à vos écrits vous publiez des vidéos sur Farrah Fawcett (non par dizaines, non par centaines mais par dizaines de milliers), toujours les mêmes, sur YOUTUBE. Ce qui a nécessairement une incidence internationale sur votre renommée vu le nombre de vidéos diffusées et leur... disons étrangeté. Il y a même des internautes qui vous reprochent de monopoliser l'espace public de la toile avec vos productions filmiques omniprésentes.

- Déjà je vous arrête tout de suite : mes vidéos ne sont pas toutes les mêmes contrairement à ce que vous prétendez. En effet, il y a de légères différences de teintes et d'intensités de lumière entre chaque vidéo publiée sur chaque compte. Cela est d'autant plus vrai que sur le plan technique YOUTUBE n'accepte pas de doublons.

Révélerez-vous à nos lecteurs l'origine de votre curieuse fixation sur Farrah Fawcett au point de répandre des milliers de vidéos à son sujet sur tous les lieux d'hébergements et réseaux INTERNET à votre disposition ? Vous ne seriez pas un petit peu amoureux de la belle Farrah par hasard ?

- Il est naturel que les gens soient intrigués par ce comportement typiquement izarrien. Mais que voulez-vous ? J'aime la beauté, la vraie. Je suis profondément épris de la Beauté et ne peux m'empêcher de verser de la lumière sur le monde entier.

Raphaël Zacharie de IZARRA, vous n'exagérez pas un peu ?

- Ecoutez, si les anti-IZARRA invétérés ne souffrent pas de voir Farrah Fawcett en peinture, libre à eux d'ignorer mes vidéos. C'est aussi simple que ça. Qu'ils se rassurent toutefois : Farrah Fawcett étant morte depuis un an et demi, ils ne risqueront pas de la croiser de sitôt ! Du moins pas en ce monde. Ce qui expliquerait peut-être le comportement izarrien... Un début de réponse en tout cas pour tous ceux qui s'interrogent.

Avez-vous peur de la mort Raphaël Zacharie de IZARRA ?

- Je n'ai pas peur de la mort. Ou plutôt... Je n'ai plus peur de la mort. Ou pour être encore plus exact, plus honnête... J'ai MOINS peur de la mort qu'avant car j'ai appris à l'apprivoiser. Attention, je n'ai pas dit que je l'avais déjà effectivement apprivoisée : j'en suis à l'étape d'apprentissage de son approche.

Parlez-nous de l'évolution de vos sentiments à l'égard de dame Camarde.

- Vous croyez vraiment que ça intéresse les gens de connaître mon rapport à la mort et ma façon introspective de l'aborder ? Je ne pense pas être utile aux autres en ce domaine. Au contraire, je crois plutôt que c'est à chacun de trouver en soi les réponses à ses angoisses intimes. Chacun avance -ou recule- à son rythme. Moi je progresse avec mes pas et je ne crois pas que sur le chemin suprême nous chaussions tous la même taille, voyez-vous. La mort est une amie silencieuse d'une incroyable présence, une compagne âpre et belle à la denture certes ambiguë mais éclatante -le sourire carnassier de Farrah Fawcett n'est pas loin-, bref cette ricaneuse à la face décharnée est une invitation à la Découverte, patiemment assise au bord de l'infini.

N'avez-vous donc aucun crime à vous reprocher pour affronter le problème avec un regard aussi serein Raphaël Zacharie de IZARRA ?

- Jusqu'a maintenant j'ai vécu sans haine et ai toujours pris les choses fatales de la vie plutôt avec gratitude, ne pouvant pas les éviter. Je n'ai pas non plus de remords ni de victime à me reprocher et ne traîne nul fardeau qui pourrait freiner quelque ascension. J'ai la naïveté de croire que mes quelques crimes terrestres ne sont pas bien lourds, madame. Peut-être quelques incartades charnelles. Mais guère plus.

La chair est faible Raphaël Zacharie de IZARRA, qui oserait vous jeter la pierre pour de telles peccadilles ? Dans ce contexte on comprend mieux votre fascination pour Farrah Fawcett.

- Détrompez-vous, à mes yeux Farrah Fawcett est tout l'opposé de la créature sensuelle. Et puis comme bien des blondes un peu malingres, voire osseuses, elle ne m'inspire pas la moindre ivresse lubrique. Je n'ai strictement aucune attirance physique pour cette femme qui parfois adopta même des toilettes fort vulgaires au cours de son existence mondaine. Cette femme étant américaine, elle dut par conséquent en souffrir les odieux stigmates. Ce détail culturel mis à part, la beauté savez-vous, la vraie beauté je veux dire, transcende absolument tout émoi profane. La Beauté ne me fait pas tourner en rond autour de mes instincts, au contraire elle m'éclaire, m'élève, me donne des ailes, me fait sortir de moi-même. La beauté magnétique de Farrah Fawcett est telle qu'elle fait oublier sa condition sexuelle, pas très intéressante en tant que blonde maigre, par ailleurs. Je ne vois pas une femme tentatrice sur son visage mais le Cosmos. Ou plutôt je vois le visage de l'infini car la Beauté c'est la porte vers l'infini. L'infini, comme la mort. Vous savez, la Camarde à la denture parfaite sagement assise au bord du Tout...

Vous parliez d'incartades charnelles Raphaël Zacharie de IZARRA. Et du côté de la Roumanie ?

- Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.

Passons. Je croyais pourtant que c'était une interview-vérité... Revenons à Farrah Fawcett : que pense votre compagne Isabelle de sa défunte rivale ?

- Allez lui demander. Mais je peux déjà vous dire qu'elle déteste les interviews. Ma compagne est timide, discrète. Elle préfère adopter un prudent silence plutôt que de s'exposer au très risqué tapage médiatique. Et puis, écrasée qu'elle est par l'envergure de ma personne, je crois qu'elle mesure trop sa chance de vivre avec moi pour oser blâmer mes choix. Attirances féminines, obsessions esthétiques, préférences virginales : tout lui va pourvu que ce soit le prix à payer pour mon bonheur.

Préférences virginales ?

- Oui, je parle de Farrah Fawcett. Son image de virginité purement angélique est très proche du dépouillement extrême de la Mort vêtue de ses seuls os : quand la mort sourit, elle montre tout puisqu'elle est nue. Et quand elle vous fait la dent douce, décharnée comme elle est, croyez bien que c'est pour toujours ! Pas de compromis avec elle. Un petit effort à présent : entre l'infini et l'enfance, le lien n'est pas très difficile à établir, du moins à travers la sensibilité izarrienne. A votre avis la plus brève distance entre ce monde et sa partie mystérieuse est-elle entre le vieillard et la mort qui le guette ou entre l'être puéril et les quelques années le séparant de sa naissance ? Moi je crois que le bambin est plus proche de l'invisible que ne l'est le moribond. Donc pour faire simple, le sourire de Farrah Fawcett c'est un squelette face aux étoiles qui tourne le dos à un agonisant et qui par devant reçoit les cailloux malicieux d'un enfant plein de joie. A moins que tout ce que je dis ne soit qu'artifice verveux destiné à épaissir le mystère IZARRA... Ce qui est un moyen comme un autre de servir ma cause. A vous de voir.

Raphaël Zacharie de IZARRA, nos lecteurs pensaient que vous méprisiez le temps de l'enfance à cause de son caractère restrictif, de ses infirmités propres et vues que vous qualifiez de basses et régressives, ils étaient également persuadés que vous n'usiez jamais de stratagèmes suspects afin de parvenir à vos fins...

- Je suis contradictoire. Est-ce donc interdit ? La vraie liberté n'est pas dans la rigidité ou la cohérence, elle est aussi et surtout dans le paradoxe. Et le paradoxe izarrien est, en lui-même, une formidable leçon d'authentique liberté !

Et du côté de la Roumanie ?

- Encore une fois madame je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Merci de ne plus me poser la question.

Allez-vous continuer à inonder la toile de vos folies izarriennes ?

- Ce ne sont pas des folies izarriennes mais des vérités universelles. Pour vous répondre, en effet je songe sérieusement à multiplier mes comptes YOUTUBE (j'en ai déjà créé plus de 80) afin d'y publier des dizaines de milliers d'autres vidéos dédiées à la Beauté. J'espère dépasser les 100 000 unités.

Raphaël Zacharie de IZARRA n'est-ce pas un peu vain ces dizaines de milliers de vidéos publiées sur YOUTUBE dont la plupart n'ont pas encore été visionnées et ne le seront jamais, étant donné que vos vidéos sur Farrah Fawcett se ressemblent toutes dans les grandes lignes ?

- Mon problème n'est pas d'être visible à proprement parler mais d'occuper l'espace en général dans toutes les directions possibles, en haut, en bas, au loin, tout près, dans le présent, le passé et le futur, sur la toile et dans les âmes, dans les coeurs et dans les esprits et même dans les tripes, sur la terre et jusque sur la Lune si c'est possible. Signaler ma présence en tous lieux, tel est mon but et je ne m'en cache nullement.

Le rapport avec Farrah Fawcett ?

- Allez voir du côté de la Roumanie, vous aurez peut-être une réponse.

Dois-je en déduire que vous souhaitez déjà mettre un terme à cette interview-vérité Raphaël Zacharie de IZARRA ?

- C'est vous qui le supposez. Merci madame, vous fûtes fort agréable à regarder tout au long de cette entrevue car vous êtes une belle femme et vous n'ignorez pas ma sensibilité particulière pour les jolies choses. J'espère que l'entretien vous vaudra éloges et reconnaissance à la rédaction. Ne ratez pas votre TGV et bon retour à la capitale. Permettez que je vous baise la main avant que vous ne preniez congé.

M-J de la Briande

samedi 1 janvier 2011

900 - Les loups de l'Islam

Cet article date d'un temps où mes vues politiques étaient faussées. Mes idées ont radicalement changé depuis, les événements survenus en France ayant salutairement changé ma mentalité... A l'époque j'étais de bonne foi dans ma naïveté. Aujourd'hui mon discours sur le sujet est à l'opposé de ce que vous allez lire. Je suis toujours de bonne foi en défendant aujourd'hui le contraire de ce que j'écrivais jadis. C'est ce qu'on appelle "évoluer".

Certes la piété des musulmans est fervente. Leur religion n'ayant pas été corrompue par les mollesses du siècle, elle a su demeurer virile, authentique, pure, âpre et virginale comme le voile de leurs femmes.

Malheureusement chez la grande majorité de ces gens qui pratiquent un Islam pacifique, une poignée de moutons noirs jette le discrédit sur toute la communauté.

L'intolérance extrême de ces quelques criminels fanatiques relève ni plus ni moins de la bêtise la plus primaire mais aussi de la plus abjecte perversité qui transforme une inoffensive religion en une secte de barbares illuminés tout droit issue d'un Moyen-Âge effrayant et sordide. Que les musulmans séduits par l'intrépide discours izarrien prônant les vertus musulmanes et défendant ses valeurs contre la décadence occidentale ne se trompent pas sur mes prises de position : ce n'est pas parce que je défends les grandes lignes d'un système, d'une pensée, d'une religion que je ne vais pas en dénoncer les petits et gros travers. La religion musulmane, si belle et noble qu'elle soit, n'en est pas moins gâtée de l'intérieur par des furoncles, je veux parler bien entendu de ces bourreaux intégristes complètement débiles avec leurs discours ubuesques, pauvres égarés bornés, intolérants et fanatisés qui se croient purs mais qui ne sont qu'ordure. D'ailleurs je suis persuadé que les vrais musulmans ne chercheront aucune excuse à ces pieux tueurs qui contribuent à placer leur communauté sur le trône médiatique mondial de l'ignominie. Aucun musulman vertueux n'assimilera le propos izarrien faisant la promotion du voile islamique à la défense des terroristes musulmans.

La justice, la hauteur de vue, c'est de s'élever contre l'islamophobie ambiante qui règne en France, de se dresser contre ces faux républicains faisant preuve de coupable intolérance envers les porteuses de voile, mais c'est aussi de dénoncer avec autant de franchise et sans la moindre ambigüité les crimes immondes perpétrés par ces musulmans féroces, dégénérés, totalement pervers qui sont en réalité de véritables bêtes sanguinaires déguisées en saints.

Ces âmes de brutes n'ayant rien compris à leur religion sont aussi corrompues et malfaisantes que les mafieux qui trafiquent, tuent, exploitent, souillent le monde de leurs actes et pensées nuisibles, leurs méthodes infâmes étant comparables. Fripouilles organisées en mafias et assassins bestiaux à la solde d'un Allah dénaturé plus crapule que divin : les uns sont aussi misérables que les autres.

Il est à espérer que ces saigneurs, égorgeurs et autres poseurs de bombes se réclamant de l'Islam, apparus comme une turgescence malsaine sur le croissant musulman, seront combattus par les anticorps puissants que recèle cette religion foncièrement honnête constituée majoritairement d'adeptes modérés, sensés, civilisés, humains.

J'invite les musulmans sincères et courageux à ne pas laisser empuantir leur belle religion par les exhalaisons haineuses de quelques meurtriers déments qui la déshonorent, l'avilissent, la disqualifient aux yeux du monde.

lundi 27 décembre 2010

899 - Considérations misanthropiques sur Noël

Certains n'aiment pas les rats, les araignées ou les asticots.

Moi je n'aime pas les chiens (leurs odeur et moeurs me dégoûtent, je ne supporte pas leurs aboiements et crains leurs crocs), les enfants (pas tous mais en général car peu d'entre eux sont des surdoués) et les vieilles gens séniles (les vieux retombant en enfance incarnent la déchéance de la fin de vie).

En bref je suis allergique à la vue des êtres faibles, sots, handicapés, diminués.

Je préfère voir les humains en pleine santé, intelligents, cultivés, habiles, talentueux, heureux, épanouis, radieux, glorieux.

Est-ce donc interdit d'avoir de telles préférences ?

J'aime voir les enfants heureux... de ne rien recevoir à Noël. Ces IZARRA en modèles réduits sont malheureusement assez rares.

Je préfère voir des enfants heureux à l'idée de faire ceinture à Noël, donc des enfants intelligents. Si les parents étaient assez pédagogues et courageux envers leur progéniture ils leur expliqueraient que les vrais cadeaux ne sont pas toutes ces sottises matérielles dont on les gave à Noël et même chaque jour de l'année mais l'intelligence, cette richesse de l'esprit. Un enfant assez intelligent pour comprendre qu'il doit être heureux de ne rien recevoir à Noël est infiniment plus plaisant à mes yeux qu'un de ces petits crétins ignares pourris de cadeaux qu'il ira revendre le lendemain sur EBAY ! (Parce qu'en plus ils ont l'ordinateur dans leur chambre avec l'accès à INTERNET, ce qui en soi est un cadeau quotidien qui vaut tous les Noël de leur vie !)

C'est Noël tous les jours dans notre société d'abondance mais combien s'en rendent vraiment compte ? Les enfants devraient s'émerveiller chaque jour de l'année non seulement de toutes les belles choses dont ils jouissent, mais aussi du ciel, de la nature et des étoiles au lieu d'attendre le jour de Noël pour commencer à écarquiller les yeux sur les inepties qu'on leur offre !

Les gamins de nos jours sont aussi abrutis que les parents : gavés de game-boy, de jeux en réseaux débiles, de téléphones portables et de programmes de décervelés débités par les bouquets de chaînes, ce sont des cancres analphabètes qui ne savent même plus apprécier les joies essentielles de l'existence. Surcouvés, "yaourtisés" à outrance, ce sont de futurs adultes souffreteux (ils n'ont plus d'anticorps à force de vivre sous des toits surchauffés) qui vont réclamer leur retraite dupontesque avant cinquante ans !

Nombreux parmi eux ne savent même pas ce qu'est une vache, une giboulée de mars ou une grenouille, emmitouflés qu'ils sont dans leurs cages à lapins anti-éducatives ! Ils s'imaginent que les poissons sont carrés et que les piercings sont des accessoires indispensables qui leurs son dus.

Génération "limacière" d'ignares blasés par les écrans, les fast-foods et les Noëls quotidiens car Noël avec eux c'est tous les jours de l'année mais tout comme leurs abrutis de parents ils ne s'en rendent même pas compte.

Aujourd'hui les enfants élevés à l'Iphone, rebelles et frondeurs, alcoolisés à 11 ans, dépucelés à 13 ans, ne savent plus s'émerveiller devant les choses simples de la nature et pourtant infiniment plus denses que leurs technologies de petits imbéciles incultes.

Cela dit je ne déteste pas vraiment les enfants : je n'apprécie que les enfants silencieux, intellectuellement surdoués, bien éduqués et socialement avantagés. S'ils ont hérité de la particule c'est encore mieux.

Quant à la progéniture des Dupont, elle m'incommode singulièrement.

Je suis réellement allergique à la bêtise infantile et parentale, ce n'est pas de la provocation de ma part de dire cela mais la simple et banale vérité.

Voir la beauté du monde permet d'avoir la volonté de lutter contre sa laideur.

C'est précisément ce que je fais ici, je ne me focalise pas sur la laideur du monde, bien au contraire : c'est sa beauté qui m'intéresse, d'où ma préférence pour les être aboutis, expérimentés, sages, intelligents. Le simple fait de savoir poser un regard émerveillé sur la beauté des choses et non de s'attarder sur leur laideur suffit à embellir le monde, même si par ailleurs on ne fait pas nécessairement la démarche active de redresser la laideur.

Je n'ai pas le culte imbécile et politiquement correct de l'enfance si cher à notre société démagogue, même si j'estime être un authentique Peter Pan par ailleurs, ce qui n'a rien de paradoxal. L'enfance est un paradis quand on y est mais dès qu'on est un adulte l'enfance -du moins celle des autres- est considérée comme un handicap, un état de dépendance, de faiblesse et d'ignorance. J'ai fait un stage dans une maison de retraite pour grabataires en 1991 : je pense la même chose en ce qui concerne la vieillesse sénile. J'avais pitié de ces vieux finissant leur existence dans la misère mentale et physique et certains m'insupportaient dans leur gâtisme, souillant leur literie d'excréments.

Je ne vois rien de glorieux à torcher des vieillards. Je trouve dégradant et déplacé de s'enorgueillir de cet acte faussement charitable puisque la prétendue élévation d'âme de la personne soignante est au prix de la misère de ces vieux. La vraie charité ne serait-elle pas de faire le sacrifice de sa propre humilité afin de servir une cause heureuse ?

Voir mon texte biographique N°781 à ce sujet "L'étable des morts-vivants" :


Contrairement à la mère Térésa qui semblait se complaire dans les odeurs rances de la vieillesse miséreuse de Calcutta, je préfère les parfums nobles de la vieillesse radieuse. Certes elle soulageait la misère et c'est très louable, mais elle n'avait pas tellement de mérite puisque c'était précisément sa vocation. Elle ne pouvait chrétiennement rien faire d'autre dans sa vie.

Ce qui n'est pas mon rôle à moi : IZARRA n'est pas mère Térésa.

Chacun doit être à sa place et y faire son travail et la mienne n'est pas à Calcutta mais ici dans la démythification des cadeaux de Noël que je nomme "imbécillités pour petits crétins déjà gavés toute l'année".

Je déteste le Père Noël, scorie publicitaire typiquement yankee pour le Coca-Cola !

Rappelons que le Père Noël est une invention marketing des années 1940 pour vendre du Coca-Cola. C'est pour moi l'image de la décadence mise sur le trône mensonger d'une tradition qui n'est ni la nôtre ni même légitime pour ses créateurs (les publicistes américains) qui ont dévoyé le message de Noël pour en faire un coup marketing de longue durée.

Rien à voir avec le véritable Noël !

Les pères Noël qui traînent dans les zones commerciales où ils sont payés à l'heure ne me font pas rêver.

Ce sont même des tue-rêve par excellence.

Tout n'est que récupération commerciale, les enfants sont décidément bien trop bêtes pour ne pas le voir ! Pendant qu'ils rêvent, les adultes manipulateurs, cyniques, se frottent les mains et les parents, abrutis au dernier degré, ouvrent leur porte-monnaie sans compter.

Enfants rois = parents esclaves.

Quand j'étais petit naïvement je pensais que les forains étaient heureux de me faire monter sur leurs manèges. Adultes, j'ai compris qu'ils n'en ont rien à faire de la joie des enfants. Seul leur importe l'argent que leur rapportera leurs sourires hypocrites (quand ils l'affichent car la plupart du temps les forains ont une mine crapuleuse et montrent à longueur de temps leur mauvaise humeur).

Quel sens peut avoir Noël quand c'est Noël tous les jours ?

Pour moi un vrai Noël qui me fait réellement rêver c'est un Noël dépouillé dans le froid hivernal, un Noël pieux en contact avec les âpres éléments, un Noël monacal où seul l'essentiel comble les âmes lassées de l'abondance matérielle qui étouffe l'esprit.

Lisez mes contes de Noël, révélateurs de ma pensée: ils traitent tous du renoncement aux artifices pour un retour à l'essentiel.

Les imbécillités relatives au Noël païen, depuis la bûche aux édulcorants jusqu'aux cadeaux obscènes (jeux vidéos martiaux et Iphones) ou mièvres au bas du sapin clignotant (qui parfois, comble de l'horreur, est en plastique) m'ennuient mortellement, ne me font pas rêver du tout. Je trouve tout cela fort trivial, vulgaire, pesant, indigeste et finalement vide.

Je préfère me promener seul la nuit sous la neige loin des écrans, du bruit parasite et de tous les artifices de la vie moderne, chose que je fais d'ailleurs à chaque fois qu'il neige.

Pour être honnête je dois préciser que j'apprécie les veilles et nuits de Noël pour la raison que l'espace public se dépeuple agréablement de toute roture, trop occupée qu'elle est à festoyer devant la télévision. Il est délicieux de me promener en campagne dans le froid de la nuit pendant que le reste du monde me laisse en paix. Cela dit je trouve quand même dommage que ces gens se privent de cette joie pure et virile consistant à renoncer à leurs imbécillités de Noël. Pour aucun Noël profane au monde je n'échangerais mes belles promenades nocturnes contre une soirée de télévision dans une pièce surchauffée dégoulinante de guirlandes et de cadeaux clinquants.

Enfin, remuer un chiffon rouge devant un taureau ou bien le flatter avec des gerbes de foin sont les meilleurs moyens de canaliser son énergie à notre profit. On applique la même méthode aux humains sauf que les mots agissent tantôt comme des aiguillons, tantôt comme des caresses. Les hommes politiques savent user à la perfection de cette ruse vieille comme le monde.

Les buts sont assez divers mais ici il consiste à éprouver les caractères, mesurer les intelligences.

Le surenchérissement izarrien est un excellent test pour mes interlocuteurs.

Il y en a qui répondent par l'humour à mes chiffons rouges, d'autres par la rhétorique, d'autres encore par l'injure.

dimanche 19 décembre 2010

898 - La revanche des culs-terreux (suite)

Face aux réactions moqueuses engendrées par le fameux boy's band russe aux codes vestimentaires et esthétiques totalement décalés par rapport à ce que certains appellent la "norme décente" -et que moi je qualifierais plutôt d'artifice occidental, voire de décadence mercantilo-mondialiste- je reviens sur le sujet pour y ajouter quelques vérités supplémentaires.

Ces multiples parodies du groupe russe à travers le monde occidental -jusqu'en Amérique du Sud- sont révélatrices de la mentalité corrompue de ces jeunes populations bien formatées par les gourous de la cause facebookienne qui les gavent de leurs valeurs frelatées.

Tous ces moqueurs me font pitié car leurs moqueries signent leur dégénérescence.

Ils se croient mieux lotis avec leurs références hollywoodiennes puant le vice esthétique et le mensonge culturel, se trouvent plus chanceux avec leurs rap, rock et tectonique de décervelés aux lèvres piercées, se pensent plus intelligents, mieux éduqués avec leur boîte crânienne vide devenue misérable récipient à Coca-Cola, sont persuadés d'être plus créatifs, de jouir d'une sensibilité musicale plus sophistiquée avec leurs dérèglements sonores malsains...

Ces clones -interchangeables d'un continent à l'autre- consommateurs de nullités, adeptes des mêmes inépuisables inepties et hérésies servies par des marchands de soupe dictant leurs lois sont à mes yeux de vrais indigents.

Ayant perdu toute innocence artistique, ils adorent la déviance musicale et ses perversités qu'ils prennent pour du raffinement, de l'avant-gardisme, de la rébellion !

Parfaitement dénués de sens critique, lobotomisés par les ondes décérébrantes de leurs radios débiles, adoptant les moeurs et produits insanes dérivés de leurs goûts pour la musique viciée, ces pantins avides de consommer des imbécillités se laissent berner par les sirènes mercantilo-vestimentaires qui feront d'eux des singes tous semblables, à la grande satisfaction de leurs mentors détenant la grosse artillerie, tels EMI, LA FNAC, M6, NRJ, FACEBOOK, APPLE, MICROSOFT, MSN, ORANGE, etc.

Le superflu, l'accessoire, le futile, la frime sont leurs vraies valeurs.

Iphonisés, imbécillisés, mac-donalisés, homosexualisés, gauchisés (mais de travers) ces branchés-tatoués-épilés victimes de la crise -la vraie crise, c'est-à-dire la crise morale- n'ont plus qu'à tourner en ridicule ces chanteurs russes restés sains d'esprit, vrais avec leur apparence sans vanité, leurs gueules authentiques, anguleuses et franches, non pommadées, avec leur mentalité russe rurale demeurée intacte, bien à l'écart des miasmes culturels occidentaux qui font la fierté de nos ânes déculturés.

Misérables moqueurs parodiant ces jeunes russes !

Ce sont eux, les moqueurs, qui sont vraiment à plaindre, eux la chair à canon des discothèques et labels de musique qui les abrutissent disque après disque, année après année, génération après génération.

samedi 18 décembre 2010

897 - Boy's band : la revanche des culs-terreux

Ils sont ringards, pas beaux, mal habillés, partiellement édentés, ont des allures franchement provinciales et sont la risée du NET occidental.

Bref, ce sont de vrais ploucs.

Et le meilleur, c'est que ce n'est absolument pas du second degré !

On les parodie dans tous les pays. Le monde entier se fout de leurs gueules (qu'ils n'ont pas du tout à la mode).

C'est un boy's band russe, ou plus exactement, de la Russie profonde : les StekloVata.

Leur succès hors de leurs frontières est dû à cet hilarant décalage entre leurs normes de bouseux et les nôtres.

Il n'empêche...

C'est précisément parce qu'ils incarnent l'exact opposé de ce qui fait la superficialité, l'ineptie et la décadence de nos codes "branchés", que je les trouve touchants.

Mais surtout très sains.

En effet, ils ne chantent pas des histoires de sexe, de fric, d'amour sordide, de drogue ou de violence. Ce ne sont pas des frimeurs à la mentalité dégénérée. Eux, avec leurs pull-over grossiers, nous souhaitent simplement... une bonne année ! (NOVI GOD)

Influence de la Russie profonde...

Dans leurs grosses chaussures bien terreuses, ces garçons aux valeurs musicales totalement étrangères à notre occident hyper sexué, imprégné d'idées malsaines et en permanent état d'over-dose nous souhaitent une bonne année, innocents dans leur rustre simplicité, protégés du poison de notre vice sophistiqué.

Alors regardons non seulement avec un oeil indulgent ce boy's band de culs-terreux mais aussi avec une certaine pureté, même si leur apparence fait naturellement sourire.

Je préfère mille fois plus un boy's band de rustauds demeurés sains, authentiques à un de ces produits musicaux markettés, déculturés et "rappéisés", aux dessous suspects.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/664f0456b838bc64e5c0a88def876205/

http://www.dailymotion.com/video/x4jo9qe

http://www.dailymotion.com/video/x2bawu7_boy-s-band-la-revanche-des-culs-terreux-par-raphael-zacharie-de-izarra_school

https://rutube.ru/video/9e83432a8e11da4714970c5dd7003553/

mercredi 15 décembre 2010

896 - Infirmité du monde, supériorité izarrienne

Je me doute bien que ce que je vais exposer ici va encore être perçu comme abusif, prétentieux, insupportablement vaniteux aux yeux de certains détracteurs lassés des manifestations péremptoires du panache izarrien...

Il n'empêche : je prends de plus en plus conscience de la sottise socio-culturelle -voire congénitale- de la plupart de mes frères humains aux prises avec les imbéciles réalités de ce monde d'aliénés qu'ils se forgent eux-mêmes. Face à leur comportement parfaitement puéril, insignifiant, tragiquement inepte, comiquement idiot, j'affirme sans aucun complexe être supérieurement intelligent, glorieusement lucide et définitivement affranchi des chaînes de ce siècle. Comparé à ce troupeau de mollusques cérébraux brouteurs de vérités lénifiantes, je suis un astre brûleur d'herbes rases, un soleil "assécheur" de bave escargotique, un seigneur rédempteur de bêtise ordinaire : la pire qui soit car la bêtise banale -acceptée, partagée, entretenue- passe toujours inaperçue.

Une illustration très simple de la haute imbécillité ambiante de ce monde, tellement quotidienne que rares sont ceux qui sont capables de la percevoir : le rapport de l'homme moyen à son véhicule. Sciemment, je n'ai pas pris un exemple spectaculaire -ce serait trop facile de dénoncer l'exception- mais universel, proche, immédiatement identifiable.

Flagrante misère de l'esprit du possesseur de voiture chagriné pour une bosse ou une rayure sur sa carrosserie ! Profonde infirmité de l'âme de ce même automobiliste qui se rend dans un centre de lavage pour y nettoyer ce qu'il considère comme le summum du signe de sa respectabilité... Ou de manière encore plus primaire, plus crue, plus affligeante, comme le symbole ostensible de son phallus (qu'il a généralement fort bref).

Inaliénable et souveraine liberté des individus d'agir selon leurs caprices, me rétorquera-t-on... Ou de dépenser leur argent comme ils l'entendent, de mettre leur dignité dans l'apparence, la diversité de leurs biens matériels, de chérir leur voiture comme une femme. Certes. Sauf que ce comportement insane relève plus de la pure aliénation aux causes commerciales, publicitaires, médiatiques et donc plus regrettablement de la BÊTISE que de la véritable liberté.

Autrement dit cette manière d'agir et de ressentir est déterminée par un vulgaire conditionnement par le bas de l'esprit faible, lâche ou paresseux et non par cette prétendue liberté individuelle sacralisée jusqu'à l'outrance par ceux-là mêmes qui, persuadés d'en avoir toute jouissance, en sont pitoyablement privés !

Pour être vraiment libre il faut être un seigneur et non un serf, un guerrier et non une victime, un acteur et non un pion : c'est celui qui pense qui plane au-dessus des stupidités et vanités du monde.

L'homme est un génial crétin capable du meilleur pour prouver le pire. Il construit des voitures, des ordinateurs, des fusées et pourtant cela ne l'empêche pas d'être un lamentable crétin : un ingénieur parfois adoptera le même comportement qu'un analphabète socialement défavorisé quand il fera laver son véhicule ou bien fera redresser un léger enfoncement de sa carrosserie...

De tels exemples d'infirmité, de nullité, d'indigence de la part de mes contemporains, je pourrais en fournir à satiété. Peu d'esprits aussi éveillés que le mien perçoivent ces choses avec une telle acuité. Beaucoup d'humains sont des produits non de leur pensée mais de la pensée des marchands d'artifices : publicitaires, industriels, manipulateurs politiques, faiseurs d'opinions médiatiques ou plus insidieux encore, des gourous du cinéma hollywoodien hégémonique.

Ainsi les hommes sont des clones bornés dans leur propre mimétisme systématiquement orienté vers la pauvreté comportementale : tous sensibles aux mêmes causes vantées et vendues (en général au prix fort) par leurs écrans, tous "fans" de football, tous adeptes des mêmes produits alimentaires ou culturels infects (car dans ce contexte d'abrutissement social la culture est bien évidemment devenue un produit, tout comme le plaisir sexuel ou la spiritualité dont on a fait un commerce), des mêmes laideurs imposées comme normes par ce système lisse où le costume-cravate vaut lauriers. La ressemblance des êtres -concept créé par l'ère industrielle me semble-t-il-, leur égalité dans la médiocrité, leur uniformisation sur tous les plans possibles permet d'agir sur eux avec un maximum d'efficacité et un minimum d'effort. Les foules ayant été éduquées dans les mêmes goûts au rabais, avec les mêmes besoins de superflu, il est plus commode de continuer de leur dicter des valeurs dûment calibrées à consommer à partir d'une seule source comme le cinéma, la télévision, la presse. Ou plus habile encore, à travers "l'esprit Coca-Cola" c'est-à-dire sans support palpable, ce qui rend la manipulation plus indétectable : ce qu'on appelle le jeunisme, la frime, le superficiel, le futile. Une forme élevée de vulgarité et d'inanité.

Facebook est champion pour ça.

Ces handicapés de la pensée ne sont pas de méchants hommes pour autant, non ce n'est pas la question : dans leur grande majorité ils sont même gentils, honnêtes, ont un vrai bon fond, sont de bonne volonté et aspirent au bien commun.

Ces humains hérétiques à la lumière izarrienne ne sont pas des cochons, non.

Ce sont juste des ânes.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/a0e0a67a3ebb03eb59b7da59b27d3b14/

lundi 6 décembre 2010

895 - À propos des "souhaitages" d'anniversaires

Aujourd'hui c'est mon anniversaire, je dois donc mettre en mode SPAM tous les messages qui me sont inévitablement expédiés depuis les réseaux sociaux et autres lieux de la toile plus ponctuels où je suis inscrit.

Par courtoisie je ne dis en général pas ce que je pense réellement à ceux qui ont la sotte amabilité (pour ne pas dire le réflexe stérile) de me lancer leurs fleurs factices en ce jour qu'ils croient particulier. Mais finalement j'estime que les gens sont assez intelligents (sinon ce serait vraiment à désespérer de l'être humain) pour leur faire comprendre que je trouve parfaitement inutile cette démarche dans les cercles amicaux du NET consistant à s'envoyer des feux de pacotille virtuels, des "joyeux Noëls" et autres "bonne année" tout aussi vides et superflus...

Il y a des choses tellement plus intéressantes à s'adresser que ces imbécillités ! La commémoration des dates de naissance sont des non-événements par excellence. Je comprends que l'on puisse fêter ce genre de puérilité : précisément quand on a entre quatre et douze ans. Ce qui est parfaitement indigne des adultes.

S'il est vrai que je suis demeuré un authentique Peter Pan, je n'en suis pas pour autant un attardé mental.

S'adonner à ces mièvreries sur INTERNET revient à se parler juste pour meubler le néant entre utilisateurs du WEB reliés par ordinateurs. C'est faire le constat de l'échec d'une communication internautique qui se réduit à échanger du vent. C'est abaisser la parole au niveau du bavardage, surtout quand cela se passe à travers FACEBOOK, véritable machine à polluer les cerveaux de nullités et âneries en tous genres.

Célébrer cette futilité équivaut pour moi à produire du bruit parasite.

Je considère FACEBOOK comme un appareil à décerveler les esprits faibles, avec sa réserve de conneries déversées automatiquement à destination de ses membres abrutis au dernier degré par son interface populiste-jeuniste à vocation hégémonique.

FACEBOOK est en train de préparer une grosse partie de la population à la pré-sénilité, me semble-t-il.

Bref, face à ces hordes d'âmes creuses en mal d'artifices, j'incarne ici le ver rédempteur qui rongera de l'intérieur cette pomme de fatuité qu'ils se partagent entre croqueurs de vie superficielle. J'espère par ces mots salutaires avoir contribué à mettre un minimum de plomb dans la tête de ces oisillons sans épaisseur.

samedi 4 décembre 2010

894 - Un métier pour creuser le sable du désert

Vacuité, décadence, ineptie : tels sont les termes qui, selon moi, définissent le mieux ce non-métier que représente l'activité du disk-jockey.

Je trouve honteux de payer le travail creux et parfaitement abrutissant de ces gens pétris de cette "science musicale de la nullité". L'homme, on le voit, est capable du pire dans la dégénérescence volontaire de ses neurones. Employer son esprit, son temps et son énergie à de telles imbécillités et s'en glorifier, et même revendiquer en ce domaine un savoir-faire précieux dûment monnayable, c'est à mes yeux atteindre le sommet de l'infirmité culturelle.

S'entraîner durant des années à maîtriser une technique complexe, s'immerger dans un environnement sonore spécifique et exigeant (avec ses codes d'initiés de bas-étage et son jargon anglo-saxon de cancre atavique) et y chercher une certaine reconnaissance pour finalement pouvoir s'employer à mixer, tordre, malaxer sous les projecteurs de la gloire de la sous-musique qui donnera naissance à une sous sous-musique, quoi de plus vain, abêtissant, inutile, réducteur et déshonorant pour tout esprit conscient de sa réelle valeur et de son immense potentiel ?

Le disk-jockey n'explore même pas les bassesses de la sensibilité humaine, il donne simplement ses lettres de noblesse au néant.

Il est certes créatif, mais ne fabrique que du vent, n'invente que des ronds de fumée sonores, n'engendre que du bruit parasite, ne produit qu'un lamentable, coupable, criminel abêtissement collectif.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/xIsM-WG__ao

Liste des textes

2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet