mardi 30 avril 2013

988 - Je suis un arriéré intolérant

Aux yeux de ce monde perverti par la pensée aseptisée, ramolli par les sacro-saints lobbys manipulateurs de masses bêlantes, je passe bien évidemment pour un horrible tyran irrespectueux qui ne tolère pas la différence...

En réalité c’est tout le contraire: la tyrannie et l’irrespect sont du côté de ceux qui sous couvert de progrès corrompent le siècle, dénaturent l’homme en rabaissant tout au niveau de ses casseroles, de son slip, de son compte en banque, glorifiant le divertissement, l’homosexualité, la dépravation, le consumérisme, les jouissances immédiates. Ce sont ces dictateurs de la pensée uniformisée qui salissent les vieux en les appelant SENIORS, les Noirs en les désignant sous le terme de BLACKS, les grosses en les qualifiant de RONDES.

Avec ces menteurs, plus aucune aspérité verbale n’est autorisée ! 

“VIEUX”, “NOIR” ou “GROSSE” ne sont même pas des aspérités de langage mais des vocables ordinaires sans la moindre connotation offensante, c’est cela qui est vraiment extraordinaire ! Criminaliser le langage courant est la meilleure méthode pour asservir en douceur le troupeau humain. A travers ce contrôle des mots, c’est à dire de la pensée, une véritable révolution est en train de s’effectuer dans notre société sans que personne ne réagisse.

Ce que mes détracteurs nomment “tolérance” ou “respect d’autrui” n’est qu’avachissement fédérateur des moeurs et des consciences, érigé en vertu.

Tolérer l’avortement au nom du confort de la femme, la pornographie au nom de l’art, le mariage des sodomites au nom de l’égalité et se scandaliser sous prétexte que des “indélicats” ne masquent pas le logo d’un produit, ne floutent pas le visage d’un enfant, les plaques d’immatriculation des véhicules ou les simples passants filmés lors de reportages télévisés, n’est-ce pas là le signe évident de la décadence générale du système ?  On admet sans problème des crimes tels que l’IVG, la dépravation morale, la corruption des institutions et on s’enflamme pour dénoncer des peccadilles relatives à des choix de mots, des rejets de modes, des protections de marques...

Moi je suis choqué par la vue de bougres se donnant la main dans la rue. Je ne reconnais pas le mariage des homosexuels, sans valeur à mes yeux. Je ne transige pas sur cette ignominie que constitue la légalisation de l’avortement. Je me dresse résolument contre les lobbys homosexuels et féministes qui voudraient rendre légitimes les outrances et perversions qu’ils incarnent tout en culpabilisant l’honnêteté, la droiture, la modestie.

Je demeure intègre : j’appelle un vieux un vieux, un Noir un Noir, une grosse une grosse.

Et un homosexuel, un sodomite même s’il ne pratique pas la sodomie.

Et je ne crains pas d'exhiber les logos de COCA-COLA et de TF1 en disant que ces deux choses sont de la merde.

Je ne me laisserai pas châtrer par la pensée molle de cette France de frileux, de décérébrés, d’épilés.

Oui, définitivement, moi Raphaël Zacharie de IZARRA je suis ce que mes contradicteurs avilis par les compromis du temps, dévoyés par les pressions profanes, abâtardis par les lavages de cerveaux des médias, abêtis par les manoeuvres des marchands de lessive, putréfiés par les intérêts de dégénérés hauts placés appellent un “arriéré intolérant”.

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https://rutube.ru/video/9f2da8caf1952030f5590ab5b977359b/

vendredi 26 avril 2013

987 - Justice esthétique et droits de la beauté

Dans cette société obsédée d’égalité artificielle entre les individus, pourtant tous différents par définition, paradoxalement on a tendance à dénigrer beauté, fortune, réussite et chance insolentes sous prétexte qu’elles seraient contraires à l’idéologie égalitaire, plus proche du tyrannique désir de nivellement généralisé que de la reconnaissance et du profond respect -voire de la promotion- des sommets éclatants de certains êtres.

Selon les critères non pas de nos théories sociales, morales ou religieuses fumeuses mais selon les réalités et lois physiques (atomiques, astronomiques, chimiques, physiologiques, etc.) et également historiques, artistiques et psychologiques universelles observées dans la Création et les oeuvres humaines, la vraie justice devrait être basée non sur la glorification des fruits médiocres mais sur le modèle de l’élitisme.

Ainsi, pour prendre un exemple quotidien, les belles femmes devraient être respectées pour leur seule beauté, entretenues par des hommes fortunés, éduqués, bien nés, chantées et protégées par nos textes de loi au lieu d’être injustement, honteusement ravalées au rang de simples, vulgaires citoyennes comme les autres. Non, les enfants d’Aphrodite ne sont pas des femmes comme les autres.

Les poupées de porcelaines ne sont pas des poupées de chiffon.

Les laides, plutôt que de les placer iniquement à la même hauteur que les créatures sous prétexte qu’elles sont boiteuses, obèses ou que leurs traits sont grotesques, devraient être battues pour leur indécence de vouloir usurper le trône des élues. Raillées pour leur ignoble imposture. Mises à l’écart de la belle population et pourquoi pas, attelées de force aux charrues. Les champs, voilà la place méritée de ces femelles ridicules et nuisibles qui tentent de singer les mannequins de salons. Cette vile volaille serait moins stérile à tracer des sillons du matin au soir qu’à vouloir vivre 24 heures sur 24 dans une peau trop flatteuse pour son plumage sans éclat !

Augmenter les délices de ceux et celles qui ont eu la grâce de naître sous l’aile de quelque dieu débordant de bonté et de générosité, n’est-ce pas une vraie noble cause pour la société ? Promouvoir la beauté, la fortune, l'allégresse des gens qui le méritent, que ce soit par la naissance, la chance ou le travail, ne serait-ce pas un acte plus fructueux, plus efficace, plus sain, plus valorisant, plus juste et plus cohérent que celui de s’échiner à faire croître une ortie qui, on le sait bien, ne deviendra jamais rose ?

La condition humaine ne correspond pas à l’imbécile idéal d’égalité de ces écervelés qui décrètent que les humains doivent tous se ressembler devant la divinité républicaine, avoir les mêmes chances de réussite, mériter la même félicité, accéder aux mêmes pommes sur l’arbre, aspirer à de semblables buts, partager les mêmes goûts, vivre le même nombre d’années, etc.

Les hommes ne sont pas des robots et la beauté, la laideur, la santé, la sottise, le génie, la maladie, la vie et la mort font partie de l’Humanité en dépit de toutes dénégations.

Aussi, à l’aune de cette réalité dure mais belle, cruelle mais divine, je prône la justice esthétique et le rétablissement des faveurs et bénéfices naturels : un statut privilégié et des droits supplémentaires à l’égard de la beauté, de la fortune et de l’intelligence des gens chanceux afin de protéger leurs avantages contre la jalousie perverse et la méchanceté gratuite des pauvres, des contrefaits et des sots, et de faire perdurer ce bonheur en tant que nouvelle norme cosmique inaliénable, revue non pas simplement à la hausse mais au sommet.

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https://rutube.ru/video/2638f85d89cbbaca49e377d73ce29283/

dimanche 7 avril 2013

986 - A propos de Juan Asensio

Asensio est une outrance de la littérature, une aberration des Lettres. Au début je me suis doucement laissé prendre au piège des apparences mais peu à peu j’ai compris à qui j’avais réellement affaire : un prétentieux vif et drôle dans ses poses de critique maudit et à travers ses inénarrables insultes scatologiques.
 
Bref, un clown instruit.
 
Malheureusement, capable de réelle méchanceté envers ses détracteurs.
 
Sa conception de l'écriture ? Poussiéreuse, sinistre, comiquement grave, vainement intellectualisée, à l’extrême.
 
Plusieurs fois j'ai essayé d’entrer dans son univers austère mais, non content d’arborer le masque de la gravité, cette bulle de salon est décidément touffue, irrespirable, aussi impénétrable qu'une jungle, étouffante, soporifique, indigeste et furieuse.
 
Je ne lui reproche pas de ne pas savoir écrire, seulement de vouloir enfermer les Belles Lettres dans cet inutile carcan intellectuel.
 
Nombreux sont ceux qui ont eu tristement affaire sur le web à cette baudruche savante..
 
Personnellement ce personnage m’amuse. En 2001 j’ai raté un rendez-vous avec lui à Paris, dommage... Je n’ai plus eu l’occasion de pouvoir rencontrer cet orageux lettré.
 
Il faut savoir que ce brûleur de feuilles sèches à l’écrit rébarbatif, presque toujours illisible, est un fou des livres.
 
Fou au sens pathologique du terme.
 
Tête brillante au coeur pourri, cet animal semble incapable de compassion, d’humanité élémentaire envers ses frères. Il parle beaucoup de Dieu, pratique peu l’amour de son prochain.
 
Je ne lui connaissais aucun ami sur un Forum du web où je l’avais croisé pour la première fois, rien que des ennemis ! Et de vrais, qu’il a voués à la merde, au diable, à toutes les ordures. Il préfère résolument  la compagnie de ses romans plutôt que celle de ses semblables.
 
Avec son panache surchargé l’injure gratuite, systématique et étronesque étirée au kilomètre côtoie la dissection littéraire la plus mortellement ennuyeuse. Je ne dis pas que le fond est nécessairement inepte, je dis que la forme est inabordable, lourde, confuse parfois. 

Justement, parce qu’Asensio ne sait pas manier le stylo, ou plutôt parce qu'il scribouille bien, ce qui revient au même, il barre d’emblée le passage à la plupart des lecteurs.

Il peut à merveille cracher de la salive. Mais pas de l'encre.

Pour entrer dans son blog, il faut une volonté de fer. Pénible à lire, le verbe aussi aérien qu’une enclume, notre Don Quichotte des librairies est peut-être persuadé que pour résonner dans son rôle de pyromane de pages creuses il faut fatalement adopter un style complexe, dense, pesant... Pense-t-il au courageux lectorat qui le suit ?
 
Pour moi c’est un éclatant vaniteux.
 
Je ne prends pas au sérieux ses productions. Flatteusement emballés dans du papier journal du Figaro, ses doctes articles restent pour moi du poisson rance. J’avais déjà expliqué que l’authentique "flamme de la prose" n’avait rien à voir avec les analyses à la fois enragées et dormitives de ce clerc précieux.
 
A mon avis il doit se nourrir des fumées âcres de tous ses contradicteurs qui le prennent au premier degré... C'est un foudroyeur d'auteurs vivant dans un monde d’artifices mentaux, d’abstractions masturbatoires, de chimères conceptuelles auxquels il donne du prix.
 
Ce géant du microcosme des infatués a un énorme défaut : son manque absolu de bienveillance à l’égard des petits.
 
Mais surtout à l‘égard des grands : ils risquent de lui faire de l’ombre.
 
C’est un gamin de quatre ans trop gâté qui au nom de l’art des mots se croit permis d’outrager ses adversaires. Il a une très haute opinion de lui-même, un mépris total des autres. Il fout le feu a leurs bibliothèques quand il les estime trop plates, trop pauvres, trop flasques. Cela dit, je ne lui donne pas forcément tort sur ce point...
 
Dans les rapports humains les extrêmes chez lui sont la norme.
 
C'est un pitre plumesque irrespectueux, injurieux et agressif.
 
Mais il faut en rire. Saine attitude à adopter face à ses provocations. Engager le combat avec lui est une grossière erreur, qui plus est stérile : il ne cherche qu’à transformer les plumes en glaives. Et se montre fort zélé dans cette martiale entreprise.
 
Quand on a compris à qui on a affaire, il n’est plus possible de lui accorder une attention solennelle. Je n’éprouve nulle animosité à son égard : en voulant singer les statues, il fait le guignol. Plus il se veut considérable, érudit, profond dans ses analyses des oeuvres, plus je le trouve ridicule car il en devient incompréhensible, inutilement embrouillé, volontairement inintelligible, faussement pénétrant, voire franchement délirant.
 
Avec son invariable numéro de cirque, il incarne à mes yeux la plus flagrante tromperie de la pensée.
 
C’est surtout un immature social. Il est bas envers ses opposants. S’en rend-il seulement compte ? Comme tous les sales galopins aux âmes dégueulasses, il n’a pas cette faculté de se mettre à la place de ses victimes.
 
Il a toute la lumière de l'esprit. Mais d'élan fraternel, point. Son éclat cérébral, il le met au service de la discorde, preuve de sa coupable malfaisance, alors qu’il aime à se faire passer pour un ami des hommes, du bien et de la vérité.
 
C’est un malade intelligent. Il faut  prendre en compte le fait que nous avons affaire ici à un cas morbide. D'ailleurs, il a peut-être des circonstances atténuantes.
 
Pour résumer, ce spectre des couloirs d'éditions a le cerveau surchauffé d’un gosse. A la différence près que l'enfant est vide et puéril. Lui est cultivé et poisseux.

Moi il me fait sourire et j’ai plaisir à dénoncer sa fate posture d'exégète à travers mes textes que je place sous les siens, de la même manière que l’on ferait apparaître un soleil en pleine nuit.

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samedi 6 avril 2013

985 - Savoir parler aux femmes

Je déteste les grosses vaches. Je suis un vrai prince qui garde sa dignité : uniquement attiré par les femelles minces, si possible aux énormes cervelles explosives.

Quant à ma généreuse crinière de lion cosmique aux crocs ruisselants de bave argentée, elle s’auréole automatiquement de lumière savanesque pour les plus fringantes autruches.

Je ne me prosterne pas aux pieds des femmes comme un minable gueux sans valeur, moi je suis un seigneur et ce sont elles qui viennent me supplier de leur foutre illico presto mon énorme plume d’auteur-conteur-interprète dans leur joli trou à oeufs !

Mes grosses poires à jus pleines d’écume gluante de vrai carnassier sophistiqué sont exclusivement réservées aux bichettes à taille fine, les autres, les éléphantes à la panse comme des saucisses allemandes, qu’elles passent leur chemin ! Aucune truie ne savourera ma longue merguez parfumée au piment d’Espelette, seules les belles petites belettes au corps svelte auront droit de recevoir ma paire de rognons étincelants dans leur adorable cruche de pondeuse.

Mon système intellectuel de taureau carbure aux femmes qui ressemblent à des fées, non aux coches engraissées d’ordures dans nos campagnes sans finesse. La pouliche des cités antiques grecques, tel est mon idéal de femme, c’est vraiment ça qui fait durcir comme le roc les muscles de mes côtelettes viriles jusqu’au fond de leurs culottes bordées de dentelles ! Les petites chamelles aux flancs délicieusement étroits me feront toujours plus d’effet que les lourdes cochonnes aux chairs gargantuesques dilatées par la redoutable graisse campagnarde !

Une génisse qui broute le tendre gazon de sa cambrousse m’inspire plus de respect que l’ample madame humaine qui se goinfre de fritaille trempant dans l’huile de colza. La ruminante quadrupède et cornue donne de la bouse merdeuse et c’est encore utile pour l’équilibre super rigolo de la nature, tandis que la dame beuglante aux bourrelets se gavant de patates molles en friture, elle ne donne que des soucis à son mari dépité qui la taxe de pute adipeuse.

Regardez donc mon impressionnante banane verte agrémentée de ses pesantes noix de coco remplies de bonne confiture visqueuse de nénuphar : c’est pas du lait de guimauve-à-chiottes ça !

Voilà le résultat glorieux, magnifique et sain de la vue de ces demoiselles bien faites qui ne bouffent pas des sandwichs bourrés de fromages américains pour ensuite enfler comme des vaches normandes !

Alors donc si une de ces gentilles poulettes à peau de miel et aux formes linéales que j’aime tant a envie que je lui enfile ma corne de gladiateur endurci bien à fond dans sa taverne à passagers clandestins, qu’elle n’hésite pas à me faire une demande, j’y répondrai certes avec une authentique fureur névralgique mais aussi avec grande capacité d’extrapolation, surtout si elle possède une paire d’outres aux arrondis séléniens pareilles à celles des mammifères.

Les sacs à patates, abstenez-vous de prendre contact avec moi.

mercredi 3 avril 2013

984 - Cahuzac : à cause d'eux

Objet des courroux populistes les plus mesquins pour avoir courageusement menti à propos de fortes sommes d’argent dissimulées aux regards du peuple vengeur et du droit oppresseur, Cahuzac se retrouve dans l’enfer de l’actualité.

Il a dissimulé une petite vérité sur une grosse affaire bancaire, oui et alors ? Pas de quoi en faire une montagne. Il n’a tué, agressé, blessé personne.

Les beaux menteurs fortunés ont toujours été les boucs-émissaires préférés des pleutres désargentés. Il n’y a que les coeurs étroits, les âmes étriquées qui réagissent avec virulence à cette mince affaire de dissimulation bancaire.

Mentir de la part d’un homme politique, que ce soit sur sa vie privée ou publique, cela n’a rien de choquant. C’est même la première des qualités. La politique c’est avant tout l’art de diriger, manipuler les masses, c'est aussi l’habileté à manier le langage ambigu, montrer les choses sous d’autres angles, c’est encore se montrer psychologue, voire machiavélique quand il le faut... On ne fait pas de bons politiciens avec de mauvais menteurs. Croire le contraire serait faire preuve d’une irresponsable naïveté.

Bref, je ne suis nullement scandalisé par son mensonge. On contraire cela me rassure sur ses compétences d’homme politique.

Cahuzac a voulu protéger son bien des médisances (voire de l’avidité) des justiciers du dimanche prompts à s’enflammer dès qu’il est question du fric des autres. C’est respectable. Il est en effet honorable de mentir, surtout effrontément, afin de préserver sa fortune des coups de gueule des caniches de la république assoiffés de justice en toc. C’est même personnellement et politiquement héroïque de sa part d’avoir pris un tel risque.

Pour cette raison j’admire Cahuzac.

Malheureusement je suis déçu qu’il fasse finalement preuve d’une telle faiblesse en demandant pardon au lieu de se battre comme un lion contre les moucherons de la France d’en bas.

Cahuzac ayant les moyens et exigences des personnages d’envergure -et n’ignorant pas, j’en suis persuadé, la bassesse des gens de peu-, il fut en droit de vouloir mettre en lieu sûr et à l’abri des malsaines curiosités ce qui lui appartient.

Je regrette que les aboiements des milliers de roquets à l’affût de leur proie aient finalement réussi à ébranler la belle statue politique.

C’est une défaîte pour l’esprit élitiste victime de la vindicte médiatique et de l’ire populaire. Une honte pour la France vengeresse s’attaquant à ses dirigeants pour de vulgaires histoires d’argent. Cette France des petits, des médias dévoyés, des politicards ouvriéristes, cette France ingrate offensée pour des broutilles, insensible aux grandes causes qui dépassent ses vues sordides.

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https://rutube.ru/video/d786ae0ffb023b7370bacc64b7fc6a2f/

mardi 26 mars 2013

983 - La Toile, ce tissu de l'âme

Il est instructif de constater ce que certains font de leurs dix doigts et de leur cerveau selon les outils mis à leur portée.

Un marteau pour les uns sera l’instrument de leur chef-d’oeuvre, pour les autres il servira à détruire.

De même l’accès à INTERNET pour les seconds sera également l’accès à la guerre, pour les premiers la toile représentera le support de leur meilleures intentions.

J’observe avec attention ce que des humains font avec l’outil informatique, les oeuvres étant révélatrices des âmes.

Il y a ceux qui ne font qu’injurier, menacer, provoquer, agresser, etc. Une assez grande partie des utilisateurs du NET, malheureusement. Et puis il y les autres, des esprits sains ayant compris la puissance créatrice et bénéfique que l’on pouvait tirer d’un simple clavier...

Jamais un accessoire à fonction sociale et à usage universel n’aura comme INTERNET aussi bien dévoilé les personnalités.

Certes le marteau comme dans l’exemple cité plus haut peut également trahir la lumière ou l’obscurité d’une âme à travers l’usage qu'il en sera fait, sauf que de par la simplicité de cet outil sommaire on pourra toujours faire illusion, les possibilités d’expression étant limitées. 

Ainsi pour caricaturer, avec un marteau le génie façonnera une statue, le vandale la brisera. Mais ce matériel archaïque ne laissera pas apparaître les nuances comportementales entre ces deux extrêmes.

Tandis que de par sa sophistication, sa subtilité, sa très grande marge de manoeuvre le NET à un moment donné fait ressortir la vérité profonde de son utilisateur.

Jamais dans l’histoire humaine un vêtement n’aura épousé d’aussi près la peau de son porteur.

INTERNET est le miroir exact non pas de l’image publique ou privée que chacun veut se donner mais de son âme profonde.

Dans la vie dite “réelle”, l’insulteur ne se montre pas nécessairement, il n’agresse pas toujours verbalement son prochain.

Sur le NET, il se découvre insulteur.

De même un simple mécanicien automobile peut se découvrir sur le NET une âme de bienfaiteur universel, d’artiste, de sauveur du monde, d’écrivain, de cinéaste ou de bonne soeur !

Le NET ne montre pas forcément ce qui est affiché sur la place publique de la part de ses usagers mais ce qui est dans LEUR TÊTE, et c’est cela qui est révolutionnaire.

La toile de par sa portée égocentrico-planétaire exacerbe les esprits, les coeurs, les tendances, les vertus comme les passions, les vices comme les rigueurs.

C’est par ses oeuvres que l’homme montre son vrai visage.

Par conséquent, étudions-les non pas dans la rue mais sur la toile, c’est à dire dans cet espace "spirituel" enfin observable, tangible, mesurable...

dimanche 10 mars 2013

982 - Esther GALIL : échec instructif

La dictature de l’image est universelle, elle s’exerce dans tous les domaines. Chez les esprits faibles, elle alimente aussi bien l’hérésie littéraire, le mensonge artistique que la mauvaise foi critique.

Quand l’esprit est prisonnier de ses chaînes mentales, le préjugé est roi. Son influence altère tout jugement esthétique.

Une signature de prestige au bas d’un texte suffit à le déifier. La photo flatteuse d’un auteur peut le projeter sur l’orbite du succès. Le mouvement de cil du vieillard pèsera toujours plus lourd que les gesticulations du blanc-bec. Bref, à ceux qui triomphent par l’éclat du mirage, l’approbation est acquise.

Et ce, indépendamment du contenu, de la qualité, de la pertinence de leurs oeuvres.

Ainsi Rimbaud doit-il sa renommée bien plus à sa photo qu’à ses écrits ou le Che à son regard farouche immortalisé pour la postérité plutôt qu’à sa moralité. De même, les imbécillités des empereurs passent pour d’admirables pensées et la parole de l’aïeul n’a de portée qu’en vertu de sa barbe d’argent.

Sauf que lorsque les choses sont examinées en aveugle, tout s’écroule. Les masques s’évanouissent, les statues s’effondrent, les pyramides de certitudes tombent en poussière.

Ne reste que la cendre rédemptrice de la vérité.

Samedi 9 mars 2013, 42 ans après avoir obtenu des lauriers planétaires pour “LE JOUR SE LEVE”, c’était en 1971, la chanteuse à l’organe vocal exceptionnel nommée Esther GALIL -qui soit dit en passant à l’époque fut une fort belle femme au charme profond et puissant- avait décidé lors d’une émission télévisée dédiée aux talents nus (c’est à dire une épreuve pour interprètes avec des arbitres ne se fiant qu’aux voix, le visage des candidats leur étant dissimulé) de soumettre sa chanson phare à quatre juges, tous spécialistes de la musique.

Un concept sans pitié.

Une prestation en aveugle donc, le quatuor d’experts ne connaissant nullement l’identité de cette concurrente particulière...

Esther GALIL pour la millième fois depuis 1971 fit donc vibrer ses cordes vocales en célébrant son vieux tube, mais sans que ses quatre compétents examinateurs ne sachent à qui ils avaient affaire, rappelons-le.

La diva sur le retour, à l’unanimité, fut recalée.

Bien évidemment si elle avait chanté en pleine lumière et non dans l’ombre, les quatre érudits l’auraient élue championne de la soirée !

Edifiante leçon sur la vraie indépendance d’esprit ! Dès que l’artiste devient inconnu, son luth a manifestement moins de retentissement, l’auditoire étant plus sensible aux couleurs qu’aux idées, au feu qu’à la lumière, à l’artifice qu’au fond...

A quand la pédagogique présentation en aveugle des fameux textes de Rimbaud à nos lycéens et exégètes ?

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/4d4b4a18b2e89d73d9ffcd962c68bd14/

https://rutube.ru/video/c9cd513a22a24d1380bcd0fb123f2058/

http://www.dailymotion.com/video/x37lknb

dimanche 24 février 2013

981 - La pieuvre homosexuelle

Pour certains pro-homosexuels critiquer c'est haïr. Je n'interdis nullement les GAY PRIDE, je les critique, n'en ai-je pas le droit ? Je me défends contre la pensée unique, le politiquement correct, la censure omniprésente dans notre société de plus en plus frileuse. Je refuse de vivre dans une France qui serait devenue une dictature de la pensée homosexuelle et féministe. Je me battrai toujours pour que chacun puisse s'exprimer en toute liberté. Je suis choqué par les spectacles affligeants des GAY PRIDE. 

Nul n'a le droit de m'obliger à adapter ma sensibilité personnelle à celle des homosexuels dépravés exhibant leur anatomie sur la voie publique. Les GAY PRIDE sont d'ailleurs hors la loi : il y a atteinte aux bonnes moeurs. Je ne comprends pas qu'elles soient autorisées sous leurs formes les plus obscènes. Je n'ai pas de haine envers les homosexuels, je respecte la nature sexuelle de chacun, j'en ai seulement contre leur intolérance, leur agressivité, leurs abus légalistes. Je parle des homosexuels racistes, hystériques, asociaux qui trainent les hétérosexuels devant les tribunaux sous des prétextes fallacieux, exagérés, indécents (comme dans l'affaire du SUBWAY d'ANGERS). C'est ça mon discours et pas autre chose. Ensuite quand je dis "JE SUIS HOMOPHOBE" c'est une provocation en écho à la leur. 

Je parle de l'indécence de CERTAINES Gay Pride, de CERTAINS homosexuels. J'ai reçu une éducation religieuse, on m'a inculqué des valeurs tels que la vertu, la décence, le respect de soi et d'autrui. Il est donc normal que les outrances de certaines GAY PRIDE heurtent ma sensibilité délicate de bourgeois sensible et émotif. 

La plupart de mes détracteurs caricaturent mon propos en le qualifiant de haineux : méthode malhonnête des féministes pour réduire un discours plus large à du racisme pur et simple et de le censurer tout net. C’est évidemment une interprétation de mauvaise de foi de mon propos qui est systématiquement faite de leur part, autrement dit un mensonge leur permettant d'attirer à moi les foudres injustifiées au lieu d'ouvrir intelligemment le dialogue. 

Le mot HAINE est la planche de salut de ces gens dénués d’arguments les empêchant de penser, d'analyser. Ils réagissent avec passion, non avec raison, manipulés qu’ils sont par la dictature féministe. J'ai parfaitement le droit de considérer telle ou telle pratique sexuelle comme une déviance exactement de la même façon que j'ai le droit de considérer un plat mauvais, dégoûtant, immangeable, même si celui-ci agrée à mes détracteurs ou à mes amis.

Ceci n'est pas une affaire de racisme ou d’intolérance mais de sensibilité personnelle. D'ailleurs je suis trop évolué, trop intelligent et trop aristocratiquement sensible pour être réellement homophobe. Dans ma vidéo je dénonce l'intolérance de certains homosexuels me refusant ce droit à travers leurs attaques hétérophobes. 

J'ai même le droit à l'erreur, à l'hérésie, voire à la perversion, exactement comme les homosexuels ont eux aussi ce droit ! Qu'ils en usent ou non, je n'ai pas à les juger. Beaucoup d'entre eux se posent en victime alors qu'en réalité ils jouissent de toutes les libertés et même des libertés du vice et de la décadence. Les vraies victimes ce sont les hétérosexuels (même pas homophobes) qui dans les faits sont oppressés par la dictature homosexuelle. Les larmes de fausses victimes de es homosexuels sont indécentes. Bientôt ils vont accuser les hétérosexuels de dépravation, de perversité, de monstruosité !

Ai-je jugé qui que ce soit dans mes textes et vidéos pour ses orientations sexuelles ? Ai-je même interdit aux gens de se dénuder dans la rue afin d'exprimer leurs préférences sexuelles ? Pas le moins du monde. Je n'ai fait qu'exprimer mon droit à la critique, rien de plus. Je ne souhaite nullement interdire les GAY PRIDE, je veux juste exprimer mon opinion sur le sujet. Je ne suis pas un dictateur, contrairement à certains homosexuels pleins de haine et d'intolérance envers les hétérosexuels courageux. Je ne suis nullement fasciste ni lepéniste. Je déteste le personnage de Pen et ses idées. Certaines personnes classent les gens arbitrairement dans des catégories offensantes, dénigrantes qui les arrangent. Une fuite face au dialogue argumenté qui ne les honore pas. 

En réalité les homosexuels agressifs et intolérants me reprochent une seule chose : de n'avoir pas été lobotomisé par le discours édulcoré ambiant des féministes. Ma liberté de penser leur montre l'ampleur de leurs chaînes mentales, me semble-t-il. Pour moi l'homosexualité est une anomalie, une tare, une aberration dans la nature humaine, une singularité, un mystère, une curiosité, je le pense et nul n'a le droit de m'empêcher de le penser, même si je me trompe. Ce n'est pas parce que je considère que l'homosexualité est une anomalie que je suis homophobe, au même titre que je considère le nanisme comme une anomalie de la croissance, je ne suis nullement raciste à l'égard des nains pour autant. Je reconnais qu'étant hétérosexuel je n'ai pourtant aucune envie de me reproduire. Je n'ai aucun instinct paternel, nulle envie de rendre ma compagne enceinte. Pour cette raison on est en droit de me qualifier d'anormal, je ne vais pas poursuivre en justice pour autant ceux qui le prétendent, d'autant qu’ils seraient certainement dans le vrai. Il est fort possible que je sois anormal, je ne me sens pas injurié pour autant si on le suppose ou l'affirme. 

Le mot ANORMAL n'est pas une insulte. Je déteste la violence physique ou verbale, je condamne sans condition ceux qui agressent ou injurient les homosexuels parce qu'ils sont homosexuels. Pour autant, les homosexuels doivent-il revendiquer avec impudeur leur anormalité comme un temple sacré devant lequel les hétérosexuels devraient s'agenouiller sous peine de réprobation morale de leur part voire de poursuites judiciaires de la part des lobbys homosexuels pour prétendue "discrimination" ? 

Les concessions doivent être mutuelles.

Quand je parle de vertu, de décence, de respect, cela à l'air de bien faire rigoler certains homosexuels pour qui exhiber fesses flasques et strings inesthétiques dans la rue semble être le summum de l'idéal "GAY et lesbien". La vertu, la décence, le respect sont des sujets que certains d'entre eux aiment tourner en dérision au nom de leur sacro-sainte liberté de parader dans leurs chars. Heureusement tous les homosexuels ne sont pas aussi primaires et malsains. 

Beaucoup d'entre eux sont respectables et c'est justement parce qu'ils sont dignes, pudiques et sain d'esprit qu'on ne les remarque pas : ils n'ont pas l'indécence de se déculotter sur la voie publique pour défendre leur cause. 

Je trouve les musulmans beaucoup plus dignes et respectueux de leur image que les occidentaux dégénérés paradant dans leurs chars les fesses à l'air. La France me fait honte. J'ai honte face aux pays musulmans qui nous traitent avec raison de dégénérés. J'aimerais dire aux musulmans honnêtes de ces pays vertueux que tous les français ne sont pas des décadents qui exposent éhontément leur postérieur sur la voie publique avec l'assentiment des préfectures ! 

On me reproche de parler de déviance à propos des attirances des homosexuels pour les personnes de leur sexe. Qu'est-ce que la déviance ? Une injure ? Non, la déviance est une infraction à la norme, tout simplement. Et le terme NORMAL n'est pas une insulte, que je sache. Je suis hétérosexuel et n'en tire d'ailleurs aucune gloire ni fierté particulière (ce qui serait déplacé), contrairement à certains homosexuels. 

Mon hétérosexualité est même anecdotique. Etre hétérosexuel c'est anormal pour vous les homosexuels fanatiques et prosélytes ? C'est un crime ? Une honte ? Je devrais faire repentance selon vous parce que je suis hétérosexuel ? Quand je dis "JE SUIS HOMOPHOBE" c'est une provocation en écho à celle des homosexuels vindicatifs, bien évidemment. D'ailleurs cette pseudo homophobie chez moi est conditionnée à certains critères, et est donc sélective et surtout plus symbolique qu’effective : elle ne s'adresse qu'aux homosexuels intolérants et non pas aux autres, mais mes propos sortis de leur contexte arrangent bien certains manipulateurs cherchant à criminaliser mes paroles saines inspirées par l'honnêteté, la décence, le bon sens. 

L' interprétation abusive et négative de mes propos par certains n'a qu'un but : dénigrer la vertu, la décence, l'honnêteté. Ils me refusent le droit de ne pas adhérer aux "normes" homosexuelles. Vais-je les obliger à aimer mes plats favoris sous prétexte de prétendue égalité des goûts, des sensibilités ? Le monde est riche non de son uniformité mais de ses différences, les lobbys féministes et homosexuels veulent l'uniformiser selon leurs critères. Alors que je n'ai JAMAIS dénigré les homosexuels, que je ne les ai JAMAIS persécutés pour leurs orientations sexuelles, certains d'entre eux n'hésitent pas à me taxer d'anormal, et même de pervers, voire d'homosexuel refoulé sous prétexte que je suis insensible à leur préférence étrange pour la chair masculine.  

Encore une fois, je le répète, je ne suis pas contre les homosexuels mais contre leur dictature, leur irrespect de l'intégrité des hétérosexuels, et là encore je ne mets pas tous les homosexuels dans le même panier, certains sont pudiques, intelligents et respectueux. Au passage, juste un rappel : les injures sont stériles et dégradent ceux qui les utilisent. L'esprit chevaleresque est une grande qualité. Dommage que cette noble attitude ne soit pas adoptée par tous... C'est mon droit le plus strict de trouver déviante telle ou telle pratique. Que je me trompe ou pas, c'est une tout autre question. 

Le terme "déviant",faut-il le répéter ? n'est pas une injure, c'est juste le constat d'un fait par rapport à mes critères, mon éducation et ma sensibilité personnels. Et nul n'a le droit de dénigrer mon éducation religieuse. Je ne déteste pas les homosexuels, beaucoup d'homosexuels se trompent effroyablement sur mon discours, et à ce sujet il est inquiétant de donner le droit de vote à des citoyens incapables de comprendre un discours sensé, qui voient de la haine brûlante là où il n'y a que froid raisonnement. 

Je n'ai jamais fait l'apologie de la haine anti-homosexuelle, bien au contraire je fais l'apologie du respect mutuel entre homosexuels et hétérosexuels. Critiquer n'est pas discriminer, encore moins haïr. Selon mes adversaires avoir une sensibilité différente de la majorité c'est avoir de la haine. Ne pas être lobotomisé par le féminisme ambiant c’est être raciste. Avoir le courage de ses opinions personnelles, à leurs yeux c'est répandre la haine homophobe. Pourquoi certains adeptes de la cause homosexuelle me montrent leurs fesses sur la voie publique lors des GAY PRIDE ? 

Ces personnes impudentes respectent-elles ma délicate sensibilité, mon émotivité d'honnête citoyen, ma pudeur d'hétérosexuel bien éduqué, mon intégrité culturelle ? J'ai parfaitement le droit de considérer qu'il est honteux d'exhiber sa flasque nudité sur des chars cheminant sur la voie publique lors des parades de GAY PRIDE. J'ai reçu une belle et pieuse éducation religieuse basée sur le respect, la décence, la pudeur. A partir du moment où les homosexuels font preuve de DÉCENCE et ne m'obligent pas à les applaudir pour la seule raison de leurs préférences sexuelles" dont je n'ai, par ailleurs, que faire, je n'ai strictement rien à leur reprocher. Je réagirais semblablement si des hétérosexuels manifestaient leur hétérosexualité avec indécence sur des chars. 

Pour moi il n'y a pas lieu d'établir une égalité entre homosexuels et hétérosexuels puisqu'il n'y a pas de discrimination basée sur les orientations sexuelles, nul n'étant responsable, en effet, de ses attirances intimes. En toute franchise, honnêteté, indépendance d'esprit et de sensibilité. Je n'adhère pas au discours édulcoré auquel certains médias et politiques nous accoutument depuis une dizaine d'années. Et ce n'est pas avec l'insulte qu'on fait avancer les débats. Ce visage du mépris et de l'irrespect que montrent certains homosexuels fanatisés sans éducation face à mon attitude courageuse et intègre est désolante. Ceux-là n'ont aucun esprit chevaleresque, ne respectent pas leurs interlocuteurs, sont indignes de débattre. Ils montrent de leur communauté une image déplorable. 

La vraie liberté c'est de respecter autrui, non de l'injurier. 

L'injure est stérile et dégradante pour son auteur et rend vain tout débat. On peut ne pas partager des valeurs, des opinions et se montrer respectueux, chevaleresque. L'injure ne mène qu'à la clôture du débat et signe le peu d'intelligence de leurs auteurs. Selon moi les homosexuels sont anormaux de la même manière, pour prendre un exemple éloquent, que les nains sont anormaux. Les nains et les homosexuels sont des gens anormaux donc, la norme étant la taille conforme aux lois naturelles, c’est à dire dictée par les bonnes proportions physiques en ce qui concerne le nanisme, et la bonne orientation des attirances charnelles en ce qui concerne l'homosexualité. On peut parfaitement vivre une vie heureuse et épanouie en étant anormal. Ce serait du racisme de prétendre le contraire. 

Et ce n'est pas parce que les nains et les homosexuels sont anormaux qu'il faut les juger, exercer contre eux des discriminations ou les haïr. Pourtant certains prétendent que je prône la haine, la discrimination, voire la raillerie contre ces gens sous prétexte que j'emploi le terme ANORMAL pour qualifier ce que eux nomment DIFFERENCE, ce qui est purement et simplement de la diffamation à mon endroit. Un veau à deux têtes, qu'on l'appelle DIFFERENT ou ANORMAL reste un veau à deux têtes. Je ne vois pas où est l'injure, la discrimination, l'irrespect dans le fait d'appeler ANORMAL un veau né avec une tête supplémentaire. 

Ma pensée et mon discours que certains tentent de criminaliser et de ridiculiser sont la pensée et le discours sains et traditionnels, millénaires de millions, de milliards de personnes honnêtes et respectables, discours et pensées qui ont fait leurs preuves dans toutes les sociétés. Autant dire que ces détracteurs aveuglés par la défense de la cause homosexuelle considèrent avec une incroyable désinvolture l'Humanité toute entière qui vit sous ces mêmes valeurs, ma foi toutes ordinaires, basiques, universelles que moi Raphaël Zacharie de IZARRA je défends. La société marche décidément sur la tête. 

Par delà les divergences d'opinions ou de sensibilité sexuelle, que règne la bonne intelligence entre gens sensés et de bonne volonté, que vous soyez homosexuels ou hétérosexuels.

VOIR LA VIDEO SUR RUTUBE :

jeudi 21 février 2013

980 - La dictature homosexuelle

L’indécence et la décadence de l’homosexualité masculine sont dans le fait d’en parler devant les caméras et de l’exprimer avec vulgarité, indécence, outrance sur la voie publique à travers les chars des GAY PRIDE.

Avec ce parti-pris tacite de présenter la chose comme une nouvelle norme défendue dans un état d’esprit décomplexé. Et l’insidieux désir de sa massification. Le tout dans une atmosphère non seulement dédramatisée, désacralisée, mais encore avec une forme d’apologie festive, voire agressive avec de la part de certains de ses partisans une odieuse stigmatisation des “arriérés” (autrement dit les âmes sensibles et autrement éduquées) choqués par cet étalage de mauvais goût et de provocation sexuelle.

Je n’ai très sincèrement rien contre les homosexuels ni même contre leurs étranges ébats ou pratiques singulières (les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent avec leur corps et je respecte scrupuleusement ce droit de chacun) tant que cela reste secret, décemment caché.
Mais dès qu’il y a cette forme de promotion, d’aveu public dans un but publicitaire, d’affirmation (et non de questionnement, voire, pourquoi pas, de contrition pour ceux que leur penchant afflige pour des raisons religieuses ou familiales, contrition qui n’est en soi pas une tare), ou dans le désir de normaliser ces singularités, il y a perversité.

Ce n’est pas l’homosexualité en elle-même qui me choque (elle ne me choque pas du tout), c’est le fait que certains de ses adeptes y placent leur fierté et même leur plus profonde humanité au point de voir de l’homophobie là où il n’y a que normes hétérosexuelles, sains, naturels réflexes de gens sans arrière pensée et rien de plus.

L’indécence suprême, c’est de porter plainte contre le SUBWAY d’Angers pour soi-disant “discrimination envers les couples homosexuels”. Là j’ai vu le vrai visage de l’homosexualité hystérique et victimaire : inique, injuste, intolérant, laid, bête et méchant.

Sans la moindre pudeur certains homosexuels et bisexuels se dandinent sur les pathétiques chars de la GAY PRIDE, comme si le fait de leurs chorégraphies obscènes était admis par tous au nom de la tolérance pour ce qui est “différent” (terme hypocrite permettant d’exclure l’emploie de mots tellement plus justes mais moins valorisants tels que VICE, PERVERSITE, DEVIANCE, INDECENCE, IMPUDEUR ou DEBAUCHE).

On peut être homosexuel, bisexuel. Est-il besoin pour autant d’être sans dignité ?

Non, je ne tolère pas cette forme de promotion de décadence homosexuelle (soyons clairs : la décadence n’est pour moi non pas dans l’homosexualité en elle-même -nul n’étant responsable de ses orientations sensuelles- mais dans ses expressions sociales impudentes et abus légalistes.)

Dans le mot DIFFÉRENT il n’y a plus cette connotation de réprobation morale qu’il y a, par exemple, dans le mot PERVERSITÉ. Or je refuse de faire le jeu de l’esprit “progressiste” qui veut évacuer cette dimension morale en employant des termes neutres, édulcorés voire franchement gratifiants.

Ainsi au lieu de dire HOMOSEXUEL terme devenant de plus en plus péjoratif, on utilise le mot GAY tellement plus chic...

En réaction à cette hypocrisie moi je dis SODOMITE ou PÉDÉRASTE.

Les mots sont très importants, ils véhiculent l’inconscient, le ressenti. Ils en disent beaucoup plus qu’il n’y paraît au premier abord. D’où l’importance de décrypter l’emploi de ces termes qui contribuent à façonner les esprits dans un sens ou un autre. C’est pourquoi je me suis toujours refusé à dire GAY.

Me laisser contaminer par ces modes verbales me rendrait complice de certaines déchéances de notre société.

Ce qui est également choquant c’est de ne plus être choqué par ces chars de décadence, comme une perte d’innocence. Il y a quelques années je n’aurai pas été choqué du moins je me serais prétendu non choqué, me serais efforcé de ne pas l’être, et cela au nom d’une prétendue ouverture d’esprit.

J'avais cette “ouverture d’esprit” qui en réalité se résumait à une non réflexion. C’était l’ouverture d’esprit du mouton conditionné par les lobbys homosexuels et féministes. C’est cette “ouverture d’esprit” qu’adoptent la plupart des “progressistes” se disant “tolérants”.

C’est au nom de mon indépendance d’esprit et de sensibilité que je refuse de me conformer à cet état d’esprit que l’on nomme TOLERANCE mais qui en fait n’est que l’adhésion à des idées décadentes. C’est ainsi que l’on manipule des gens de bonne foi, que l’on change artificiellement les mentalités, que l’on corrompt les esprits, viole les conscience sous des prétextes faussement humanistes.

Hier les défilés de GAY PRIDE ne me choquaient pas. J’étais lobotomisé par le système.

Cette affaire du Suwbay d’Angers m’a réveillé et aujourd’hui je suis enfin libre de pouvoir dire “JE SUIS HOMOPHOBE”.

Avec bien entendu les nuances clairement expliquées dans mon article précédent "JE SUIS DEVENU HOMOPHOBE" : 


VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/6fa97469f6f957bbd11d6e2845b58b51/

http://www.dailymotion.com/video/xxoniq_la-dictature-homosexuelle-raphael-zacharie-de-izarra_news#.UScqdaWfHns

samedi 16 février 2013

979 - Comment je suis devenu homophobe

  • VIOLENCES MORALES EXERCÉES PAR LES LOBBYS HOMOSEXUELS SUR LES GENS SAINS D’ESPRIT
(SUR L’HOMOSEXUALITÉ MASCULINE)

A force de revendiquer leur différence avec une fierté déplacée et de se définir presque essentiellement par rapport à leurs pratiques amoureuses déviantes (je dis bien déviantes, ce n’est pas une injure de qualifier de déviance les moeurs intimes des sodomites) les zélés défenseurs de la cause homosexuelle ont fini par me rendre homophobe.

Je ne souffre plus les manifestations choquantes de leur dignité mal placée, leur intolérance vis-à-vis des schémas traditionnels de la relation conjugale -ce qu’on appelle la norme- (voire leur racisme anti hétérosexuels), leur agressivité doctrinaire et leur vulgarité publique. 

Ces obsédés de l’égalité (égalité de second ordre d’ailleurs) devraient faire preuve de pudeur, de décence, de discrétion, bref vivre en bonne intelligence dans notre société (éventuellement faire des concessions, ce qui est la moindre des choses dans toute vie sociale) au lieu de chercher querelle aux administrations, institutions, commerces ou personnes qui (non par vice, homophobie, esprit de rébellion ou provocation mais par simples conformation intellectuelle, réflexe culturel, voire esprit de bon sens) ne joueraient pas leur jeu.

La dérive de ces pédérastes-là en font, à mes yeux, de parfaits dégénérés.

De “Gay Prides” pornographico-clownesques en abus légalistes jusqu’à la victimisation de leur cul, cette population de décadents m’est devenue franchement antipathique.

Je n’inclus évidemment pas dans le lot les inversés bien éduqués, raffinés, congrus vivant leurs singularités affectives et sensuelles en toute amabilité au sein de notre société, laquelle est, quoi qu’on dise, foncièrement tolérante, ouverte, humaniste. Parce que les plus discrets d’entre eux sont les plus instruits, les plus civilisés, les plus évolués, j’apprécie particulièrement la compagnie cordiale, la sociabilité de bon aloi et la retenue pudique en tous points de ces hommes qui ne font pas de leur penchants baroques une affaire d’état.

Hélas ! Les inquisiteurs du culte homosexuel rendent notre monde de plus en plus pervers, injuste et oppressant !

Qui ne se conforme pas à leur dictature légalement instituée est nécessairement un arriéré, un réactionnaire, un méchant intégriste...

Numériquement minoritaires, ils ont fait de leur anormalité sexuelle une cause première d’exigences sociales, une prétention politique, une vanité individuelle, une valeur humaine, une arrogance vestimentaire. Et même un prétexte mercantile ! Comme si le fait d’être nés bougres leur donnait des droits supplémentaires, légitimerait de faire condamner leurs frères humains dont le crime consiste à naître hétérosexuels. Pourtant c’est exactement ce qui se passe en France : des innocents se voient trainés dans les tribunaux par des gardiens du dogme sodomite pour des peccadilles.

Avoir une mentalité d’hétérosexuel est en voie d’être considéré comme une discrimination aux yeux et à l’égard des disciples d’Adonis.

Cette catégorie d’invertis semant systématiquement le trouble public, je manifeste à leur intention mes sentiments homophobiques les plus vifs.

Il est à signaler que ma vidéo se rapportant à cet article a été odieusement censurée sur DAILYMOTION et YOUTUBE.

VOIR LA VIDEO SUR RUTUBE :

lundi 14 janvier 2013

978 - Mali : démobilisation générale

Des Maliens belliqueux, plus précisément des religieux musulmans fanatiques et dégénérés, menacent la France actuellement.

Le meilleur moyen de ne pas être ennuyé par ces fous furieux totalement demeurés, englués dans leurs superstitions et certitudes locales, est de ne pas nous mêler de leurs problèmes.

Pourquoi la France met-elle donc son nez dans le cul de ces pays puants, indigents, parfois même pas beaux, bref sans nul intérêt, alors qu’elle pourrait tout aussi bien se tenir peinarde loin de ces miasmes à faire des choses plus agréables et fructueuses ?

Laissons donc ces idiots de Maliens si fiers de leur archaïsme et de leur patrie de va-nu-pieds s’enliser dans leur mélasse politico-religieuse d’un autre âge. C’est leur dada, pas le nôtre.

Abandonnons définitivement les pays sous développés à leur sort de pays sous-développés en voie de sous-développement, regardons-les se massacrer entre eux au lieu de vouloir systématiquement intervenir. Il ne sert à rien de vouloir dresser un chien féroce à devenir un toutou de salon s’il ne comprend pas de lui même que c’est dans son propre intérêt. C’est le clébard lui-même qui opte pour la piqûre létale en refusant de donner gentiment la papatte à son maître.

Ce qui est le cas du Mali : en refusant de rentrer les crocs et de lever la patte, les Maliens s’administrent d’eux-mêmes leur malheur. C’est leur choix, respectons-le.

La maturité politique, spirituelle, économique, sociale, etc., de tous ces pays en recherche de stabilité viendra en son heure sans qu’il ait besoin de nous exposer.

Elle viendra naturellement, progressivement, à force de coups reçus de leur propre initiative comme le poulet s’assommant de lui-même, inlassablement, contre la vitre qu’il ne voit décidément pas. A la fin, réveillé par la douleur devenant de plus en plus forte, le gallinacé finit par comprendre qu’il faut changer de chemin pour avancer.

Si les gens de ces pays défavorisés où survivre est déjà pénible souhaitent en plus retourner à l’état de demi-sauvages, voire de fauves, cultiver la bêtise et l’ignorance, vivre dans la peur, la souffrance et le malheur, pourquoi les en empêcher ? Ainsi ces adversaires de la liberté et de la Civilisation expérimenteront de leur plein gré leur propre enfer.

Les laisser se brûler les doigts est beaucoup plus pédagogique que de forcer ces ânes à boire à notre coupe de démocratie.

Lutter contre les injustices, les guerres, les horreurs, les atrocités, les viols, les lapidations, la barbarie religieuse ?

Au contraire, laissons faire.

La meilleure façon de contrer la chiasse morale de ces contrées malades, c’est de laisser ceux qui les peuplent se chier les uns sur les autres. Les populations pauvres de l’Afrique adorent se faire la guerre entre elles. C’est leurs traditions chéries, quasiment dans leurs gènes. D’ailleurs là-bas plus les hommes sont dans le besoin alimentaire, meurent de choléra, de SIDA, ou pire, d’une simple grippe, plus ils aiment se quereller pour des histoires de lois coraniques, de couleur de drapeau ou de choix vestimentaire. Ca n’a aucun rapport avec leurs vrais problèmes de fond mais ils aiment ça quand même. Jouer à des jeux aussi dangereux que futiles le ventre vide, la tête pleine de rêves irréalisables.

Les Nègres en Afrique, ils sont comme ça.

Lorsque l’odeur régnant dans ces pays de misère et de souffrance sera trop insupportable à leurs habitants, ils changeront de cap. C’est dans l’ordre des choses. Quand le vent est à la merde, il finit toujours par tourner. C’est par la succession des échecs que vient la réussite. Tant que ces pays de déserts de sable et de sécheresses des coeurs n’auront pas atteints le fond de la bêtise sous leur soleil de mort, il ne leur viendra jamais l’idée de remonter vers les lumières de l’intelligence, l’eau de la douceur et la caresse du progrès.

Cessons de nous occuper des affaires des attardés qui pataugent encore dans leur caca, tel est le secret de l’ordre et de l’harmonie universelle !

Pascal ne disait-il pas que tous les maux du monde venaient du fait que les hommes ne savent pas rester tranquillement dans leur chambre ? Voltaire n’a-t-il pas fait l’éloge du jardinage ?

Désintéressons-nous du destin de ces sauvages belliqueux et arriérés, c’est en isolant un feu qu’on en empêche sa propagation.

Je jour où les pays enviés et évolués comme la France arrêteront d’intervenir et de s’intéresser au sort des trainards de la civilisation, ces derniers s’extrairont d’eux-mêmes de leur bête enlisement religieux, idéologique ou économique.

Intervenir c’est provoquer leur résistance. Donc les renforcer dans leurs hérésies.

Aussi, détournons-nous vertueusement de l’ivraie qu’ils sèment sur leur propre sol.

Cultivons nos clairs potagers, demeurons dans nos chambres sereines, jouissons de tout coeur de notre confort, de notre liberté, de notre paix, de notre richesse, donnons-leur simplement l’exemple de notre bonheur, voilà des actes politiques réellement révolutionnaires !

PRECISION :

Je suis du parti de ne rien faire ou plutôt, de laisser faire.

Attitude sage, hautement pédagogique, profondément philosophique et même séditieusement politique.

L'avantage du laisser-faire, c'est que cela nous épargne, nous gens évolués, de nous salir les mains dans des conflits sans intérêt.

Nous avons la chance de vivre dans un pays tempéré, civilisé, faisons comme les grecs anciens : philosophons proprement au lieu d'aller nous embourber dans la merde des métèques.


Quand l'éducation ne suffit pas, la pédagogie suprême consiste à laisser les ânes patauger dans leur fumier.

Et puis pourquoi aller contre la volonté des méchants, des immatures, des dégénérés qui souhaitent s'étriper ? Que l'on prenne parti ou non, cela ne changera rien à leurs mouvements belliqueux profondément ancré dans leur cervelet quasi préhistorique : il faut qu'ils se rentrent dedans coûte que coûte, pour ensuite mieux éprouver en eux-mêmes, profondément, le désir de paix.

Tant qu'à se massacrer entre eux, que cela se fasse dans un esprit positif. Ne nous désolons pas du spectacle de leur bêtise, au contraire réjouissons-nous de ne pas leur ressembler, réjouissons-nous d'être les témoins passifs de leur cheminement vers l'évolution.

L'étripage collectif est un stade dans l'évolution de ces peuples arriérés.

Quoi de plus pédagogique que l'enfant qui se brûle la main sur une plaque chaude quand les conseils de prudence ne suffisent pas ? Lorsque ces peuples se seront bien brûlés les doigts, après quelques guerres bien sanguinaires, ils commenceront à désirer nous imiter, nous les gens évolués. 

Car nous préférons galamment parler littérature, art et gastronomie en des lieux feutrés plutôt que d'aller nous bagarrer au fond du désert au nom de lois coraniques dépassées.

Ne nous mêlons pas des oignons des peuples barbares. Laissons-les faire l'expérience de leur inhumanité. Leur désir d'humanité naîtra de notre "indifférence", qui en réalité est un acte de grand humanisme.

mardi 8 janvier 2013

977 - La religion : joujou d'un mortel ennui

Je ne suis nullement athée, au contraire. C’est parce que je crois définitivement en un Dieu beaucoup plus lumineux qu’on le prétend que je raille les religions si étriquées.

La religion est l'ennemie des vrais mystiques.

Quoi de plus emmerdant que la religion ?

Chrétiens, ,juifs, musulmans, polythéistes, adeptes de clubs cultuels de toutes sortes, tous schizophrènes !

Rien que des serviteurs d’une même cause : la chiantitude universelle.

Comme si le pape ne déféquait jamais sous son pontificat, les juifs orthodoxes n’avaient aucun désir sexuel sous leur barbe-masque ou chez les fidèles de Mahomet il n’y avait nul sodomite...

Tous constipés, castrés, figés dans leurs certitudes glacées, rigidifiés dans leurs postures rigoureuses.

Avec en prime leurs sales têtes d’enterrement à faire peur aux oiseaux...

Même nos moines français, je les trouve très chiants.

J’aimerais mieux que l’on place des clowns au Vatican, des vrais, au lieu de ces sinistres eunuques blancs comme la mort, aussi tristes.que des cercueils sur pattes avec leurs gueules de vieux chnoques déglingués.

Barbus, vêtus de robes, le front chargé de signes sacrés, la tête rehaussée de quelque ridicule couvre-chef et parlant des langues anciennes pleines de fumées recyclées, les grands prêtres des causes célestes ne sont que des grands gamins. Des galopins qui jouent aux adultes : faire caca dans la tête des crédules plutôt que dans leurs couches.

Avec leur gravité pileuse, leur austérité sépulcrale et leurs milliers de colifichets, ces ombres solennelles chutent considérablement dans l’estime des professionnels du cirque qui eux, héroïquement, tentent de contrer leurs méfaits.

Remplaçons ces criminels incompétents par d’authentiques rigolos et le monde se portera mieux ! Ca rigolerait quand même plus sous les étoiles !

Les religieux ne sont que des créateurs de doctes singeries polluant les esprits. Ils n’arrêtent pas d’emmerder les gens en les convainquant d’adopter depuis des générations des rituels de crétins immatures du niveau mental d’enfants de quatre ans !

Pour que je les prenne vraiment au sérieux, il faudrait qu’ils ne le soient plus.

VIVE RAPHAËL ZACHARIE DE IZARRA, VÉRITABLE ESPRIT LIBRE SEUL APTE Á DÉCULOTTER PUBLIQUEMENT CES CHAROGNARDS DE L'ÂME QUE SONT LES RELIGIEUX ÉTRIQUÉS ! 

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/fc559e9f266417f00f0f242ac233cbad/

Liste des textes

2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet