vendredi 17 avril 2015

1110 - La lie de Charlie

Je suis anti Charlie, je déteste Charlie, j’ai le charlisme en horreur, je dénonce et conspue ces foules brandissant les pancartes “JE SUIS CHARLIE”, j’ai honte de cette France aux pieds de Charlie, cette France dégradée se vautrant dans la merde de la gauche athée, régicide, homosexuelle, féministe, avorteuse.

Non je n’aime pas la promotion de l’homosexualité, non je n’aime pas l’avortement, non je n’aime pas le féminisme, non je n’aime pas ce droit à l’injure du Prophète, non je n’aime pas le culte de l’égalité laïque !

Je m’élève contre cette déshumanisation des citoyens consistant à les placer tous de force dans ce même moule étatique qui les viole et les aliène. L’égalité républicaine est la négation brutale, bête et contre nature des richesses et spécificités des personnes.

Je suis pour le retour de cette forme d’injustice heureuse consistant dans le vieux concept des privilèges de la naissance qui, en replaçant les individus à des hauteurs différentes rétablirait du même coup les vrais rapports humains pleins de chaleur, de charité, de bonté.

Ce ne serait plus le simple, sot, étriqué laïque s’adressant à un autre simple, sot, étriqué laïque, c’est à dire un clone en contact avec un clone tout aussi pâle, mais la Lune rencontrant le Soleil, le fortuné laissant tomber quelques-unes de ses étincelles sur les haillons de l’indigent, le noble entrechoquant son verbe contre celui du gueux, le carrosse croisant la charrette, la montagne se confrontant avec la plaine, le jour et la nuit dansant ensemble, bref la beauté des différences, la joie des contrastes, la force, l’authenticité des rencontres humaines, et non la tristesse des pions tous égaux arborant des airs sinistres dans le métro.

Le caprice, la liberté, la poésie, on n’a pas trouvé mieux pour rendre les âmes légères.

Le rétablissement des inégalités, des avantages de la naissance, des irrégularités du sang, voilà une pensée vraiment révolutionnaire qu’est bien incapable de concevoir le charlisme !

Parce que les hommes ne sont pas des robots mais des astres à divers degrés d’éclats, de dimensions, de chaleur, parce qu’en réalité, indépendamment des lois républicaines sottement égalitaires, chaque étoile brille plus ou moins par rapport aux autres, les droits et devoirs de chacune d’elles ne sont pas les mêmes.

Selon leur évolution, leur élévation, leur conscience, les unes éblouissent, les autres éclairent, certaines guident. Ou sont à la traîne.

A la dictature de l’égalité républicaine je préfère les douces iniquités de la grâce, les délicieuses injustices des disparités, le beau chant arbitraire de la lyre. Je ne défends pas la rigoureuse équité mais la tendre gratuité, non la matérialiste objectivité de Marianne mais la miraculeuse arabesque de la fantaisie royale.

Charlie est un monstre de vulgarité populaire qui place le blasphème au sommet de son panthéon déicide, tandis que j’incarne, moi Raphaël Zacharie de IZARRA, les neiges éternelles de l’Esprit.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/385ca7914df9e20c0f261e046a6e3e69/

https://rutube.ru/video/451bfda4718636223a072250d9ae0062/

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samedi 11 avril 2015

1109 - Je hais la Révolution française !

1789 me fait horreur.

Désormais je ne supporte plus les festivités paillardes et obscènes des 14 juillet de cette France jadis croyante, royaliste, noble et malheureusement devenue gueuse, profane, régicide.

Oui, ils ont osé tuer le roi ! Et le roi est mort sous l’ignoble couperet de ses sujets égarés par les idées révolutionnaires chantées comme un progrès. Une calamité en réalité. En faisant rouler la tête du bon Louis dans le panier, ils ont voulu faire agenouiller Dieu en personne devant le billot !

A travers ses manuels scolaires mensongers, la propagande républicaine m’avait fait croire -à moi comme à tous les enfants nés sous le règne de Marianne-, que nos bons rois étaient des tyrans, des iniques, des ennemis du peuple, de la liberté et du bonheur.

En vérité les porteurs de couronnes, depuis les tours médiévales jusqu’aux magnificences de Versailles, étaient les bienfaiteurs et protecteurs du peuple français reconnaissant.

Mais les Lumières, c’est à dire les ténèbres athéistes, matérialistes, béotiennes, ont inoculé leur folie sacrilège dans les esprits... Et les assassins du système royal sont passés à l’acte ! Et tous les naïfs endoctrinés, comme les pervers conscients, trouvent cela bien, bon, juste, normal. Le monde entier prend la France révolutionnaire de 1789 en exemple, comme si le fait de trancher la tête du roi -et rompre du même coup nos liens avec les hauteurs célestes- constituait le summum des avancées civilisationnelles... C’est dire si l’embrigadement républicain sur les esprits faibles a bien fonctionné !

Moi aussi, longtemps, j’ai cru à l’hérésie de la froide république avec son culte égalitariste, à l’aliénation laïque réduisant l’homme à un caillou sans Dieu, sans âme, sans éclat, sans chaleur.

Hier, manipulé par l’école étatique, on me demandait de me réjouir de la fin des rois français, à présent je pleure d’avoir été si bête de croire en cette eau plate, désacralisée qu’est la république, je pleure en m’imaginant l’affable Louis XVI affronter l’infâme “veuve à la dent dure” aux sentences si tranchantes...

Depuis deux siècles la république a fait ses preuves : ses fruits ont l’éclat trompeur des idées vénéneuses qui, comme les amanites, donnent à la soupe du citoyen de belles couleurs... Et plein d’amertume.

Bleu, blanc, rouge, c’est l’amanite républicaine.

L’immonde champignon républicain germé en terre royale.

mercredi 1 avril 2015

1108 - Un soleil sous le toit

Voici l’astre des gouttières.

Plus personnellement, la clarté de mes nuits sans lune, l’éclat moustachu de mon foyer, la joie de mes jours de bipède éclairé.

C’est un félin mince comme un filet d’eau, un chat plus beau qu’un corbeau, un rêve doux comme un rayon de miel, la personnification quadrupède du meilleur de l’Homme.

Si parfaitement adorable que c’en est une âme. Un ange de bonté animale. Une bête d’intelligence. Un fauve de tendresse.

Si adorablement incarné que c’en est une éthéréenne conception...  Un chasseur de nuages doté d’ailes. Un chercheur de songes bien inspiré. Un infatigable coureur de chimères vives et de feuilles mortes... Avec sa parure dorée et la lumière jaillissant de son front, ce mistigri a des allures d’hôte céleste.

Il a en tout cas, c’est bien certain, les attributs rares et magiques de ces flammes qui enchantent le monde : entre l’espièglerie de l’enfant et les profondeurs du vieux philosophe.

Ce pur morceau de sucre mêlé de soleil, en fondant contre mon coeur a donné ce merveilleux caramel.

mardi 31 mars 2015

1107 - Jehanne de France

Noyée dans ses voix, hantée par ses visions, une incertitude plane quant à la clarté de son hymen. Du fond immémorial de notre terre catholique, on glorifie non pas la turpitude de nos grands chefs mais leur sainteté.

C’est là le legs de notre chaste mythologie, la légèreté de nos plus lourdes statues.

Et la gravité de l’esprit de France.

Son pucelage lui colle aux fesses comme la guillotine colle à la tête d’un certain Louis. L’une flotte dans les nuances et brumes de la légende, l’autre, au cas plus tranché, est tombé dans le panier de l’Histoire. 

Qu’importe ! Les deux sont du même ciel : celui des beaux sangs et âmes choisies victimes de l’infamie. 

Assassinés par la gueusaille impie.

Elle était peut-être pucelle notre Jehanne, certainement française. Ce fut là son essentielle vertu. On la décrit volontiers martiale alors qu’une mariale douceur enflammait son coeur fait pour la paix, non pour l’épée.

Et jusqu’à ce que ces bandits de républicains ôtent la couronne à notre bon Louis le XVIième, sectionnant sa tête allant avec, elle personnifia la noble lignée royale française.

Etouffée par la Révolution mais point inhumée.

Jehanne est l’ange de la France chrétienne, la Vénus de notre patrie amoureuse des vignes et de leur champagne, la vierge compagne de nos folles campagnes et de nos villes sages... Dans son aura de pureté, mi mièvre, mi acide, à jamais elle incarne le bonbon anglais de nos mythes, caramélisé par un sacré cochon !

Jehanne de France, en ces temps troublés où le pays est corrompu par les moeurs éhontées des inversés, à la gauche de Dieu et non à sa droite, nous espérons le fracassant retour de vos valeurs sûres, justes, belles, éternelles.

samedi 28 mars 2015

1106 - Protection de l'enfance

“Progressistes” de gauche, ne salissez plus nos enfants ! 

Cessez de vouloir initier ces âmes pré-pubères, blanches encore, aux sordides réalités de l’homosexualité ! 

N’introduisez plus ce poison idéologique dès l'école primaire au nom de vos délires d’inversion des valeurs, de vos obsessions déicides, de votre folie égalitariste à vouloir réduire le sacré au néant ! 

Occupez-vous de leur chanter la beauté de nos saisons, de leur raconter l’Histoire de nos rois, de leur enseigner les richesses de notre langue et le difficile maniement de la plume au lieu de leur scander à longueur d’année la façon d’utiliser un préservatif ! 

Leur parler de sodomie et de fellation entre garçons, de commerces saphiques, de jeux d’adultes, de moeurs impudiques, leur dévoiler les gestes de la débauche, les éduquer aux pratiques intimes les plus honteuses et leur faire accepter ces déviances comme des normes et même des vertus républicaines, des joyaux de leur vie future, voilà l’infamie de ce siècle !

Embrigader cette génération (que vous avez également rendue quasi analphabète) avec vos perversités est un crime de longue portée, une abomination à l’échelle d’une civilisation, et vous devrez en payer l’âpre prix, vous les esprits corrompus, décadents, dégradés qui avez enraciné l’ivraie homosexuelle dans les coeurs vierges. En déréglant la conscience de nos jeunes vous avez ébranlé le Ciel et la Terre : la moisson sera pire que simplement stérile, elle sera puante.

Corrupteurs de la sainte innocence je vous accuse, vous juge et vous condamne !

Non l’apprentissage homosexuel de notre jeunesse ne doit pas devenir un programme scolaire. Non plus hétérosexuel d'ailleurs.

La sexualité est affaire strictement confidentielle. Elle doit demeurer secrète, mystérieuse, taboue. Elle est faite pour être découverte dans la peur et l’ivresse, l’effroi et l’enchantement, entre frisson et émerveillement, glace et feu, crépuscule et clarté lunaire, messe basse et cri dans la nuit : c’est ce qui en fait sa spécificité, sa force, son éclat et sa magie. 

Nul n’a le droit de violer ce sanctuaire en le rationalisant.

L’expérience amoureuse est une flamme pure, les précepteurs de gauche veulent en faire une planification académique pleine d’obscénités.

Moi je revendique pour la gent puérile le droit à l’ignorance de toutes ces choses qui ne la concerne nullement. A l’inverse de ce qui se fait, je prône la préservation de sa candeur dans la fraicheur et l’honnêteté d’une éducation saine, rigoureuse, traditionnelle. 

La juvénile population ne doit pas être projetée dans cet univers d’activités charnelles qui n’est pas le sien. Au contraire, le maintien de l’âge tendre dans sa pureté originelle devrait aller de soi pour tout être sensé et responsable. L’apologie des glauques égarements est bien la dernière chose que l’on devrait être en droit d’attendre de la part de l’Education Nationale à l’égard de ces ingénus dont elle a la charge ! 

Depuis toujours et selon les aspirations naturelles de tout parent équilibré, vertu et pudeur -et non vice et inconduite- préparent l’enfance à la vie.

C’est dans cet autel de décence qu’ont été moulés nos respectables grands-parents et ceux qui veulent le briser avec horreur et mépris sous prétexte qu’il heurte leur sensibilité de pervers, tel un soleil régénérateur je leur crache ma lumière rédemptrice en pleine face en espérant que ma brûlure amènera ces misérables dégénérés à résipiscence. Et s’ils persistent dans leur abject outrage des lois suprêmes, je leur destinerai le fruit ironique de leur hérésie : de la merde à l’état brut.

vendredi 20 mars 2015

1105 - La fille au regard globuleux

Lorsque j’ai croisé pour la première fois vos yeux de mouche verte, mon coeur dur comme le roc s’est mis à fondre.

Remarquez que j’aurais pu également vous comparer à une grenouille ou à un lézard, fort banalement... Mais à bien y réfléchir, je préfère encore arracher vos ailes de pondeuse d’asticots. Et finalement les flasques invertébrés évoquent plus finement vos os saillants et manières anguleuses !

Ils étaient beaux comme deux mollusques figés donc, ces yeux qui me fixaient d’un air ahuri. Ils bavaient des larmes d’hypocrites et je les trouvais encore plus délicieusement répugnants, baignant ainsi dans cette fausse douleur qui vous donnait un air de tragédienne visqueuse.

Le reste de votre personne était tout aussi escargotiquement exquis.

Mademoiselle, en posant le regard sur vos grâces mortelles j’ai eu la fièvre, moi qui avant cela n’étais qu’un silex de froideur. 

En succombant à votre charme gluant, je suis devenu meilleur : hier je tranchais, aujourd’hui je chante.

Il me brûle de baiser vos lèvres, de pouvoir considérer de très près vos globes oculaires roulant telles deux lunes acides au fond de leurs mauves orbites. Et que dire de vos appas ? Ils me terrifient, me hantent et attisent ma scientifique curiosité d’anatomiste amateur. 

En vous il y a un mélange de fraiche limace filante et de vieille banane écrasée. Une subtile alchimie dégageant un parfum brutal et beau à faire perdre bien des têtes...

Bref, je demande votre pied mademoiselle car même lui, il sent bon le fromage de notre France.

mercredi 11 mars 2015

1104 - Prétendue pauvreté : dictature de la faiblesse

Le vrai problème avec ceux qu’on prétend “pauvres” en France, autrement dit avec cette minorité de tricheurs, de geignards, de fausses victimes de notre système, c’est précisément qu’il s’agit d’une minorité.  Qui plus est une minorité voyante, malodorante même, explosive en termes médiatiques.

C’est à dire une petite partie de la population française devant laquelle l’extrême majorité des gens bien éduqués, proprement vêtus et sachant se nourrir de manière saine et équilibrée devrait se sentir obligée de faire allégeance selon les défenseurs de la pensée victimaire. Cette prise en otage idéologique des “gens bien” par cette frange de “gens pas bien”, c’est cela la véritable injustice, le réel scandale de la prétendue pauvreté !

Comme si les masses écrasantes de citoyens rangés, lancés à pleine vitesse dans la vie, toutes voiles déployées, le cap vers de brillantes destinations, en pleine ascension personnelle devaient impérieusement, au nom de cette idée dévoyée de la justice, se détourner de leurs centres d’intérêts, freiner leur course, altérer leur vol pour mettre leur nez dans les haillons moraux des traîne-savates...

Certains “humanistes” voudraient instaurer la dictature des perdants en France. Faire ployer tout un peuple fier, fort et responsable devant les pressions navrantes de ces pitoyables revendicateurs...

C’est exactement le contraire qui devrait se produire.

Ce sont ces “exclus sociaux” qui devraient rendre grâces aux gens bien insérés, socialement élevés, avantageusement fortunés pour les bienfaits dont eux, les soi-disant “malheureux”, bénéficient.

Grâce aux efforts de ceux qu’ils désignent comme leurs ennemis, grâce à leur générosité érigée en principe étatique, universel, même en bas de l’échelle sociale ils sont encore en haut de l’échelle humaine. Mais ne veulent pas le reconnaître. Ces ingrats repus refusent de se satisfaire de leur niveau de vie très acceptable : ils réclament le luxe.

Pour se considérer comme un “crève-la-faim” en France en 2015, il faut vraiment le faire exprès ou alors être le plus grand des imposteurs (et donc être très vicieux) : il est matériellement, socialement, alimentairement impossible de souffrir de la faim dans notre pays de cocagne.

Je ne veux pas vivre dans un pays de limaces qui au nom du règne de la pensée aseptisée si chère à certains idéalistes du dimanche ramperaient devant quelques tendeurs de sébiles. Je ne veux pas faire partie d’un peuple éclairé ayant accédé à un haut niveau de vie qui se mettrait à défendre soudainement les valeurs d’une poignée de SDF asociaux souhaitant devenir le centre du monde, prôner leur sens de la justice à eux... C’est à dire appauvrir les honnêtes gens à leur profit.

Les SDF et autres éléments de la société du même acabit parfaitement secondaires ne sont pas le nombril de l’Univers et ne doivent surtout pas le devenir ! La faiblesse, la pleurnicherie, la crasse physique et morale ne doivent pas être érigées en modèle mais être considérées comme de véritables déchets. On ne doit pas chérir la peste mais la combattre, la mépriser, l’éradiquer.

Eloigner ces gémisseurs professionnels de nos centres d’intérêt (et accessoirement de nos centres-villes) ce n’est pas de l’iniquité, c’est une simple question de bon sens.

jeudi 5 mars 2015

1103 - Trou à rats

Cet édifice de béton lépreux au coeur de Daka au Bengladesh respire la léthargie des destins plombés, suinte les rêves de rats crevés, distille l’ennui d’un pain quotidien mêlé de sciure.

Il resplendit d’ignominie.

Ces taudis oxydés par des lustres cafardeux me fascinent. De leur hideur desséchée émane un charme cauchemardesque. Leur grisaille est d’un autre siècle, d’un autre monde, d’une autre humanité.

Ce château d’immondices est issu des songes lointains d’un rêveur plongé dans une nuit immémoriale.

Quelles sortes de macchabées, de zombies, de cadavres momifiés, de fantômes en haillons peuvent bien croupir entre ces murs morts inhumés sous leurs propres toiles d’araignées ?

Nul n’imagine que des locataires puissent payer un loyer pour vivre, dormir, manger, chier, copuler dans cette ruine crapuleuse...

Ce tombeau de sinistrose tranchante où pourtant des humains vont et viennent, se reposent, se parfument, regardent la télévision, jouent, pensent, aiment, pleurent, rient et meurent, ce mausolée dédié à la poussière des temps révolus, véritable paradis des rats, est une oeuvre d‘art de désolation et de déprime.

Peut-on faire pire en peinture ? Concevoir une réalité plus sombre avec un pinceau ? Rendre aussi vivante, sur une toile, cette dépouille architecturale ?

Le naturel de cette épave surpasse l’imaginaire. Ces fenêtres bouchées par la crasse, ces fils entremêlés, cette plomberie déglinguée, ces brèches donnant sur le néant sont plus évocateurs que ce qu'inventerait n’importe quelle main d’artiste.

Cet immeuble en agonie est un monstre de beauté maudite.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=U1Ru-lOssuE&feature=youtu.be

https://rutube.ru/video/577af0a2e836eac72500eb4e1feedb5c/

https://rutube.ru/video/ac7e8ef7665c18afe1ebf6d00f47e346/

http://www.dailymotion.com/video/x3hv05p

http://www.dailymotion.com/video/x54gq74



mercredi 4 mars 2015

1102 - Pour le droit absolu et inaliénable à l'avortement !

De quel droit des esprits archaïques et malveillants se dressent-ils contre le progrès social que constitue le libre accès à l’avortement pour toute victime de grossesse ?

La féministe enceinte décide souverainement de la mise hors-circuit de ce qui parasite ses entrailles. Son corps n’appartient  pas à l’Humanité, il est la propriété de la Révolution, de la Contestation, de la République, plus précisément des lobbys pro-avortement.

L’embryon n’est pas l’enfant du Ciel, il est le détritus de la Terre. La résistante aux lois de la nature a le devoir de dire NON !

Par ses combats héroïques elle a enfin gagné la liberté de s’opposer à la tyrannie génésique. C’est à dire le privilège d’insulter son fruit à peine germé, la faveur de le déraciner tout vif de l’antre maternel, l’avantage de le réduire au silence avant même qu’il ne l’ouvre ! C’est par cette autorité coercitive exercée contre les enfants à naître -si âprement acquise- que l‘on mesure l’immense dignité et la libératrice avancée des adultes. En vainquant les forces de son sexe, la fille des Lumières est devenue l’artisane de son destin.

Le foetus est un importun, un gêneur, un furoncle, une pathologie que la femme toute puissante de notre monde affranchi des aliénations ancestrales doit éjecter manu-militari de son autel intime.

Le ventre plat de la suffragette libérée est un sanctuaire, la gestation une injure à sa féminité.

C’est pourquoi je dis que l’avortement devrait être non pas un simple droit mais un véritable système incitatif appliqué dès les premiers signes d’infection. Sa pratique, une vocation, un dogme, une religion pour tout médecin soucieux de salubrité publique. Et même, soyons en avance sur notre temps, une obligation esthétique pour la mère moderne désireuse de faire la chasse aux kilos superflus.

Le sort d’Adam est de s’identifier à sa conjointe et l’avenir d’Eve est d’atteindre la stérilité.

Quant à Dieu, c’est un facho intégriste qui doit mourir sous le scalpel de la raison, au même titre que son égal inutile l’avorton !


VOIR LES TROIS VIDEOS :

https://youtu.be/tXkoWfcvj7E

https://rutube.ru/video/b0ad07cf44894e29358801d6bffa6d94/

http://www.dailymotion.com/video/x4lylqy

http://www.dailymotion.com/video/x2ioahx_pour-le-droit-absolu-et-inalienable-a-l-avortement-raphael-zacharie-de-izarra_school

https://rutube.ru/video/e867ee1195c03baea3bcb52751a87f3c/

lundi 23 février 2015

1101 - Aimez la vie !

Tandis que tout autour de moi n’est qu’opulence, beauté, légèreté, douceur de vivre, justice sociale (et même privilèges et chances inouïes en règles générales pour qui a vu le jour en France), je n’entends que plaintes, doléances, jérémiades en tous genres.

Alors qu’un paradis est réellement sur cette Terre, du moins en France, je vis entouré d’une humanité mécontente, insatisfaite, aigrie...

Plus on leur donne à mes contemporains ces bagnoles, ces frigos, ces télévisions, ces canapés, bref toutes ces babioles qu’ils réclament sans cesse en se persuadant qu’ils trouveront dans cette accumulation matérielle leur bonheur, moins ils sont heureux.

Afin que ces ingrats qui maudissent leur sort de repus commencent enfin à apprécier leur existence d’éternels blasés, il faudrait les priver de cette graisse matérialiste qui les étouffe.

Ces pachas qui s’ignorent ne méritent pas leur luxe car ils ne savent pas le goûter. Au lieu de rendre grâces au Ciel pour ces trésors dont ils jouissent depuis toujours, ils le maudissent parce qu’ils aimeraient avoir plus de chaînes de télévisions, une seconde voiture, des vacances plus magnifiques, des chaussures plus chères, une maison plus vaste, un bateau, etc.

Et dans leurs regrets de ne pas posséder encore plus, ils insultent le monde dont les richesses gratuites, universelles, accessibles ne les touchent point.

Le destin leur a offert santé, revenus, facilités, liberté, biens élémentaires mais surtout superflus, aides et avantages en tous genres, et pourtant ils pleurent. Ils se prétendent pauvres, victimes, malheureux, malchanceux, tristes... Ils n’aiment pas leur existence, ils estiment que leur vie est un fardeau, ils trouvent dix reproches à faire à chaque journée qui passe. Ils ont tant de choix de nourritures que le repas du midi devient un problème et le souper un casse-tête, l’indécision face à toute cette abondance les rendant encore moins reconnaissants... Leur salaire, leurs rentes ou leurs allocations ne sont jamais assez élevés, les services publics toujours défaillants selon eux, les restaurants pas assez bons, la météo rarement en accord avec leurs attentes...

Bref, ces enfants de roi sont pourris.

Et lorsque je leur annonce mon bonheur sain de simplement pouvoir rêver sous les étoiles, me promener dans les bois, contempler la Lune (tout en les invitant à suivre mon exemple), ils prennent mes joies virgiliennes pour une injure à leurs aspirations de consommateurs.

Ils se moquent de mon dépouillement qu’ils assimilent à de la misère... A leurs yeux se contenter des choses essentielles et mépriser le secondaire, c’est être un minable. Eux ne désirent que jouir des choses qui se monnayent. Ils ne comprennent pas que je puisse aimer la vie sans artifice car la vie, selon leurs critères, est un puits sans fond à combler de bagatelles, c’est à dire une éternelle insatisfaction.

Ils piétinent ce joyau qui brûle en eux parce qu’ils se sont enchaînés à des vanités. Leur dignité, ils la mettent dans l’apparence de leur voiture, dans le choix de leurs vêtements, dans leur pouvoir d’achat. Et dans leurs sempiternelles récriminations.

En effet, ils se figurent être des esprits estimables, libres et rebelles parce qu’ils se révoltent contre leur condition, font entendre leurs “souffrances”, luttent pour l’amélioration de leur situation... Sur le plan social, matériel, humain, ils sont au sommet mais se croient au fond du gouffre.

Et ils se lamentent du chômage, de la pauvreté, des inégalités sociales, de l’essence de plus en plus chère dont, sans rire, ils se disent les proies...

S’ils ne sont pas heureux, c’est qu’ils ne méritent pas de l’être.

Si, pleins d’ingratitude à l’égard de tout, ils se désolent d’être nés sous cet azur rempli de manne et de lumière, moi je m’envole à leur place. S’ils ne savourent pas ce qu’ils ont et se désolent de ce qu’ils n’ont pas, moi je me délecte du contenu de leurs poubelles. S’ils se voient en martyrs de la vie, moi je les éclaire en leur montrant qu’ils ont tort de cracher sur leur fortune.

Au lieu de leur souhaiter encore et toujours plus de confort, d’argent, de distractions toutes plus imbéciles et abrutissantes les unes que les autres, je leur dis : aimez la vie !

VOIR LES TROIS VIDEOS :

https://rutube.ru/video/b81a8450b3a04c372ba3c27ea7c56018/

https://rutube.ru/video/28ff08062d2791ae08ede2e3202f56ce/

http://www.dailymotion.com/video/x3pzopq

http://www.dailymotion.com/video/x2hzc29_aimez-la-vie-raphael-zacharie-de-izarra_school

vendredi 20 février 2015

1100 - Eloge funèbre pour Monsieur Diard

Vous voilà donc mort monsieur Diard, vous qui sembliez solide comme un marbre, durable comme un siècle...

Je vous ai toujours connu vieillard. En réalité vous paraissiez immortel dans vos cheveux blancs. Vous aviez la ride profonde et le regard silencieux des grands sages. Votre visage était un terreau, vos mains des massues. Et votre parole, rare mais féconde, résonnait comme d’immémoriales sentences paysannes. 

Vous étiez de la race révolue des hiboux d’antan. Le berger de la bête et de la flore, l’ami de la graine et du fagot, l’amant du Soleil et de la Lune. Un oiseau agreste d’envergure onirique. Un seigneur agraire, le dernier des Mohicans sarthois, un poète des labours, le troubadour des pissenlits.

Chaste et vertueux.

Vous sentiez le foin, la pluie, les saisons...

Pour la société vous n’étiez rien qu’un vieux bouseux sans intérêt, un péquenaud dépassé par son époque, un rescapé de la féodalité perdu dans la modernité, un gueux du passé oublié par le reste du monde.

Pour moi et tous les esprits subtils et supérieurs, vous étiez un prince.

Crotté et magnifique. 

Votre univers, votre réalité, votre passé et votre avenir, votre idéal et votre éternité, c’étaient vos champs.

Et rien d’autre.

L’âtre auprès duquel vous réchauffiez votre vie humble et fruste, c’était pour moi un paradis intime qui brûlait délicieusement dans le soir. Un authentique refuge poétique. L’incarnation simple et brute de mes rêves virgiliens les plus purs.

Et lorsque vous avanciez sous la bourrasque d’un pas lent et résolu, inébranlable, le front nu, le regard altier, fourche en pogne,  je voyais en vous une statue en marche. Ou un épouvantail plein de paille et de mystère...

Votre évasion, votre fantasme, votre ambition, votre chimère, votre folie c’était la terre, toujours la terre et rien d‘autre que la terre.

Vous l’aimiez comme un père aime son fils, vous qui n’aviez pas de descendant, pas d’épouse, point de foyer. Votre enfant, le seul que vous avez aimé passionnément, ce fut le sillon.

Vous conceviez la mort comme une prairie sans fin où pousseraient des gerbes d’or que vous faucheriez à l’infini sous un astre étincelant... Je me souviens que vous souriiez à l’évocation de cette rêverie agricole, vous souriiez doucement, les yeux pleins de bonheur, les lèvres murmurant d’indistinctes bénédictions à l’adresse de ce Dieu des paysans qui rayonnait en vous comme l’unique soleil d’une existence vouée au travail champêtre...

J’ignore si en mourant vous êtes arrivé dans ces inépuisables étendues de blés qui vous sont si chères, peut-être avez-vous trouvé encore mieux que ce à quoi vous vous attendiez, mais j’aime à me figurer votre silhouette éternelle parmi les épis dorés, fauchant les récoltes de l’Eden dans un été perpétuel...

Adieu monsieur Diard, je vous aimais beaucoup. Adieu et bon vol dans votre ciel d’azur et d’herbes sauvages, de chaume et d’épeautre, de corbeaux et de chats-huants.

mercredi 18 février 2015

1099 - Preuve de l'existence de Dieu par le miel

La Création est non seulement grandiose mais encore pleine de délicatesse. Elle est mystérieuse, complexe et théâtrale dans ses grandes lignes comme dans ses moindres détails.

Infiniment élevé, cet azur chargé de nuages énigmatiques est pourtant à portée de notre vue, à hauteur de nos pas : le Ciel est un génie qui porte le linge blanc de la simplicité.

Dans ses principes suprêmes, le symbole vaut l’atome et la beauté fait partie des briques élémentaires de la matière. Conçu à l’image divine, l’Univers est plein de sens, de miroirs, de jeux, d’énigmes et de réponses en formes de questions.

La forme révèle le fond, le songe est l’éther du réel, la lumière la pierre de l’impalpable.

Et le roc, la terre, les astres, l’onde et la flamme sont des reflets de l’invisible.

Bref, Dieu a semé des fleurs sur les cailloux et répandu des diamants dans le sable.

Il a truffé la merde de poésie et mis le feu à la neige. Il a inclus des merveilles dans la pourriture qui renaît et insufflé de l’espoir à la cendre issue de l’illumination.

Mais il a aussi orné les sommets de joyaux et jeté des roses dans les étoiles.

Même ce qui est laid est beau : le ver, l’araignée, la fange ou le parasite sont des miracles eux aussi.

Il a donné leur éclat propre aux éléments qui se combinent entre eux tels des feux d’artifices sans cesse renouvelés.

Ainsi les abeilles sont pour moi la preuve de l’existence de Dieu.

Insérées dans la dentelle du Cosmos, elles font partie de ses plus fins et plus admirables rouages.

De leur vol industrieux et fécond, intégré dans le cycle de la vie, sort du miel. Etrange coulée de Soleil surgie de leurs ailes...

De fleurs en fleurs, elles offrent cet or à la Terre à travers une chaîne d’événements aussi aériens qu’absolus...

Dans ce fruit de la nature, je vois le plus grand des prodiges ! Faut-il être divin pour imaginer un processus aussi ingénieux qu’empreint de grâce, de sainteté, de majesté ! Ce nectar est la réunion parfaite de l’utilité et de l’Art.

Toute la poésie, la littérature, l’inventivité, la musique et l’élégance du monde créé sont dans cette onde sucrée.

VOIR LA VIDEO :

lundi 16 février 2015

1098 - L'hétérosexualité est un vice, l'homosexualité une vertu

La promotion de l'hétérosexualité devrait être interdite au profil de la seule promotion de l'homosexualité...

Il faut glorifier encore et toujours les pratiques sexuelles entre hommes, répandre dans toutes les couches sociales la douce subversion des moeurs sodomites !

Aujourd’hui l’Education Nationale sensibilise nos enfants aux passions de l’inversion sexuelle dès la maternelle, et c’est une excellente chose. “Papa porte une jupe”, quoi de plus normal dans un monde progressiste ?

La culture gay doit définitivement s’enraciner dans les petits cerveaux de nos chères têtes d’androgynes.

Inculquer aux héritiers de nos idéaux super égalitaires et dégenrés qu’ils ne sont ni des petits garçons ni des petites filles, leur marteler pédagogiquement, dans un esprit tout républicain, que leur sexe physique ne détermine pas leur genre et qu’ils peuvent même, s’il le veulent, porter à la fois les attributs de Mars et de Vénus, telle est la priorité des priorités...

Les futurs mariés homosexuels de notre pays doivent bien comprendre, avant même d’atteindre l’âge de raison, de puberté, que leur sexe est interchangeable, que le déterminisme des genres est une imposture de la Nature, une pure oppression déiste arriérée dont il faut s’affranchir de toute urgence : il n’y a pas de dieu, si ce n’est le dieu de l’homosexualité et les lois du Cosmos sont faites pour être violées par les lois des hommes.
L’école maternelle, puis l’école primaire, sont là pour initier nos poupons à ces réalités suprêmes. C’est même une urgence civilisationnelle. Il faut impérativement HOMOSEXUALISER la société française !

Quant à l’apprentissage de l’orthographe, c’est une chose parfaitement secondaire.

Voire ignominieuse.

En effet, il ne faut surtout pas établir de discrimination entre les élèves. D’ailleurs l’orthographe doit elle aussi être nivelée (c’est dans les projets des philanthropes de notre gouvernement) afin que chacun puisse avoir le droit d’écrire selon sa fantaisie et non selon des règles traditionnelles aussi rétrogrades que discriminantes ! Le vrai progrès c’est de faire correspondre l’orthographe aux nouvelles exigences intellectuelles de nos adolescents dont l’esprit a été reformaté par leurs écrans, et non de tenter de faire entrer un carré dans un rond !

Contrarier la nature des êtres est une violence inadmissible.

Bref, toute volonté de refouler les tendances natives des gens doit désormais être considérée comme un crime !

jeudi 5 février 2015

1097 - La France izarrienne

Je rêve d’une France de lys, d’une France de sceptre, d’une France bleue.

Une France royale.

Catholique, aristocratique, élitiste, toute en arabesques, dentelles et perruques poudrées.

Une France chantée, maniérée, éduquée, une France roulant en carrosse lustré, une France tirée par de grands chevaux aux fers dorés, une France écrite en belles lettres, une France étendue dans la soie de Versailles, vautrée dans le culte de la particule, parfumée d’azur, éclairée par un grand Soleil hautain qui se lève à quatorze heures...

Je rêve, la rage aux tripes, la bave au coeur, du fiel dans les yeux, d’une France peuplée de Louis où le 14 juillet serait oublié au profil d’un quatorze régnant non en chiffres mais en lettres : XIV.

Une France ou le mot RÉPUBLIQUE serait synonyme de rire, de chimère, d’hérésie, de honte et de misère...

Une couronne, un trône, un palais, de la sainte consanguinité, du parler ancien et d’honnêtes et reconnaissants laboureurs cultivant les terres de leurs seigneurs, voilà la France figée, classique, sacrée, éternelle qui manque à mon âme idéaliste, rétrograde, éprise d’images d’Épinal et de poésie plus que de sens des réalités !

Le peuple, l’aristocratie, le clergé et rien d’autre.

Rien d’autre que le roi.

Le roi. Le Roy dirais-je même, avec le R roulé et le Y obsolète.

Le ROY avec l’accent poussiéreux, en vieux françois qui fleure le bon vieux temps des fiefs, des troubadours et des serfs courbant le dos devant les petits marquis dédaigneux mais cependant bienveillants...

Telle est ma France izarrienne, ma France chérie, ma France magnifiée, ma France intime, ma France authentique.

mercredi 4 février 2015

1096 - Lettre d'adieu à mon voisin Pierre

Tu pars donc, mon voisin du dessous...

Tu pars et moi je reste. Je reste comme restent les pierres.

Toi Pierre tu vas rouler ta bosse ailleurs, loin, là-bas, je ne sais où, à l'autre bout de la Terre. Ou bien sur une autre Lune. En haut d'un escalier différent. Dans le creux d'un songe plus profond. En bas d'une colline plus verte, là où coulera la source de tes jours nouveaux. Une onde à travers laquelle, crois-tu, tes reflets seront clairs, ta vie lumineuse.

Oui et non. Je ne sais pas. Peut-être. Tout changera certes. Mais tout restera figé, tout sera comme avant, tout fera croire à un rêve pétrifié, à un train faisant du sur-place. Comme une roue qui se meut et qui pourtant dans sa course autour d’elle-même revient exactement au même endroit, sempiternellement. Tout part, tout passe, tout tourne et tout revient. Seules les illusions changent.

Bref tu seras loin d’ici et ton fantôme demeurera à jamais sous mes pieds.

Parce que moi, vois-tu, je prends racine sous mes ailes. Je suis un grand oiseau, de plus en plus vaste. Tu en ris oui mais tu le sais. Et plus je m’alourdis, plus mes ailes grandissent. Cet escalier que tu quittes, c’est mon piédestal. Pour m’élever toujours plus haut, je ne dois plus en redescendre. Je te regarde donc t’envoler avant l’heure, Pierre. Tu pars et je t’accompagne de ma plume. Elle est légère, timide, mélancolique un peu.

Je penserai à toi, à ton nouveau toit, à ton ciel d’avenir là-bas et à tes nuits passées dans ton nid ici, invisible. Et de temps en temps j’irai voir l’écume de tes vols poétiques laissée dans l’azur de la Toile. Par curiosité, intérêt, par envie peut-être...

Un hôte te remplacera, au 2 Bis. Et ce hibou peuplera mes insomnies d’interrogations nouvelles. Ce chat-huant sera -qui sait ?- une ardente créature hautement sexuée qui me fera baver comme un vieux crapaud pustuleux d’un désir follement impur. Ou une sorte de Farrah Fawcett qui fera vibrer ma fibre esthétique à en avoir la diarrhée. A moins que ne niche sous mon sol un pur laideron... Que je devrai néanmoins faire souffrir d’un espoir d’amour cruel et beau, par sens du devoir lyrique.

Alors que tu es sur le point de t’évanouir dans le monde, me voilà prêt pour une neuve aventure izarrienne avec celui ou celle qui te succédera.

Pierre, mon denier mot pour toi ne sera pas une surprise. Tu t’attends à cette chose ultime que je vais t’adresser car elle m’est chère, tu ne l’ignores pas.

Ce n’est pas banalement de l’amitié que je t’envoie (nous n’avions d’ailleurs aucun rapport d’amitié à part d’insipides “bonjours”), ce n’est pas non plus une pomme, pas un serpent, pas une étoile, pas plus mes initiales ou même un encrier en forme d’entonnoir, non ce n’est rien de toutes ces bêtises, ce n’est rien qui vienne de moi non plus, c’est bien mieux, infiniment mieux car ça vient d’ailleurs, nul ne sait d’où exactement...

Mais c’est un diamant.

C’est impersonnel, éternel, froid et suprême : ce trésor que je te destine, c’est la Poésie.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/x2gffw7_lettre-d-adieu-a-mon-voisin-pierre-raphael-zacharie-de-izarra-1

https://www.youtube.com/watch?v=_Ly1Xoi60Tk

vendredi 23 janvier 2015

1095 - France : effondrement d'une civilisation ou d'une génération ?

Nous constatons tous la chute historique du niveau scolaire de la jeunesse française depuis plus d’une quinzaine d’années.

Se confronter à la lecture de phrases produites par des lycéens, et même par des bacheliers, devient une tâche de plus en plus pénible. Il n’est plus rare, en 2015, de devoir déchiffrer leur écriture désastreuse pour tenter de comprendre leur pensée maladroite, confuse, pleine de lacunes. Et parfois sans queue ni tête, tant leur indigence est abyssale. Cette génération souffre d’une misère atypique, inimaginable depuis l’instauration de l’école obligatoire : la déculturation.

Le gros des troupes juvéniles se compose aujourd’hui de semi-analphabètes.

L’orthographe consternante -devenue norme officieuse- de cette dernière sève du pays est particulièrement révélatrice d’un échec pédagogique à l’échelle nationale, pour ne pas dire civilisationnelle.

A qui la faute ? Comment la France en est-elle arrivée là ? Certains verront une corrélation entre cette catastrophe orthographique et la multiplication des écrans... Je n’en sais rien, mais le fait est là : l’Education Nationale est devenue une usine à cancres.

Face à ce bilan navrant, tout esprit normalement structuré se demande, incrédule, déconcerté, comment l’école peut accorder ses palmes à des élèves ne maîtrisant que difficilement -ou absolument pas- les bases élémentaires de l’écrit, de l’oral, de la réflexion, et les faire ainsi monter en grade du CP jusqu’au BAC, désarmés, ignorants, lourdement handicapés avec leur orthographe du niveau de sous-CE1...

C’est bien connu, la réalité est souvent pire que l’imaginaire : qui aurait osé imaginer il y a quarante, trente ans que le lycéen lambda français serait incapable de rédiger trois lignes sans commettre quatre, cinq, six fautes en moyenne ? Non pas des erreurs anodines mais des incongruités énormes, des carences structurelles, des âneries aux racines profondes !

Nous en sommes là et ce n’est pas un rêve mais la réalité. Comme pour le mariage entre homosexuels : risible chimère il y a a quarante ans, banalité pour ce siècle !

Je pense que nous n‘avons pas encore touché le fond. Le pire est à venir, et je me réjouis déjà de cette descente de notre société dans les abîmes de la bêtise et de l’avilissement qui, fatalement, au dernier moment, d’un coup de pied désespéré et salvateur contre ses propres ordures, nous fera tous remonter vertigineusement.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/cd07114efd358fa5444a1256c3ec6350/

https://rutube.ru/video/6412f3ee686008ac616b439e616979af/

http://www.dailymotion.com/video/x4f8p18

http://www.dailymotion.com/video/x2fed2d_effondrement-d-une-civilisation-ou-d-une-generation-raphael-zacharie-de-izarra_school

vendredi 9 janvier 2015

1094 - Les intégristes de la laïcité

Les adeptes de l’athéisme laïque pourfendeurs des religions, censeurs acharnés des signes manifestes d’appartenance religieuse ont leur système dogmatique à eux mais n’en ont point conscience.

Ces progressistes christianophobes qu’irrite la vue d’un crucifix dans les lieux publics se permettent, eux, d’arborer sans complexe leurs chapelets et cierges ostentatoires lors de manifestations de masses sur la voie publique : drapeaux rouges, badges aux couleurs du “FRONT DE GAUCHE”, écharpes oranges et depuis tout récemment, étendards noirs aux lettres criardes “JE SUIS CHARLIE”... 

Leur Dieu s’appelle "la pensée unique". Leur évangile est le mariage pour tous, l'avortement, le féminisme...

Ils jurent s’être libérés de la mentalité “arriérée” des catholiques et pourtant ils ont leurs chapelles, leurs rites, leurs vins et leurs hosties.

Ils ont remplacé la traditionnelle piété des églises par leur flamme idéologique à eux. 

Ils allument des bougies à leurs fenêtres sur invitation de leurs grands-prêtres jouissant d'immenses privilèges médiatiques, brandissent leurs icônes saintes aux effigies des dessinateurs de CHARLIE HEBDO, communient avec les agences de presse aux idées unilatérales savamment orientées en direction de leur bref cervelet, sanctifient le sang menstruel de leurs femmes émancipées, boivent avec avidité les humeurs fétides de leurs innombrables déviances...

Ils ont leur système de quête surtout : un million d’exemplaires de CHARLIE HEBDO, en tirage spécial, s’écoulent en quelques heures dans leur vaste secte dédiée à la divinité ovine... 

Quiconque se montre hermétique, réticent à leur “grande ouverture d’esprit” est à leur yeux un “facho”, un dangereux réactionnaire, un rescapé du Moyen-Âge. 

Avec leurs certitudes d’athées et leurs vues passionnément matérialistes, ce sont des fanatiques doctrinaires, même s’ils ne le savent pas. 

Leur bible se nomme, pour la résumer, GAUCHISME.

VOIR LA VIDEO :

1093 - Pourquoi je suis censuré ?

Si comme le prétendent mes détracteurs je ne cesse de dire des âneries, des insanités, des mensonges au sujet de la société et que c’est bien à cause de cela que je suis partout censuré, je leur réponds que si tel était réellement le cas, jamais je n’aurais été muselé de la sorte. En effet, qui dit des idioties se discrédite de lui-même. Nul ne s’est jamais senti obligé de censurer le fou, l’ignare, le délirant, l’ivrogne, le clown : ce que chante l’âne tombe fatalement à l’eau et on en rit.

Non, c’est bel et bien parce que je dis la VÉRITÉ que j’ai été banni du débat public.

Vérité qui sonne de façon discordante par rapport aux bêlements unilatéraux et quasi obligatoires d’un peuple aux cerveaux violés par le matraquage gauchiste, pris en otage par la pensée médiatique dominante. C’est cette disharmonie que me reprochent mes accusateurs.

On ne censure que la vérité.

Ce n’est pas le faux qui fait trembler mais le vrai. Si ma pensée était vraiment absurde, inepte, insignifiante, on ne m’empêcherait pas de l’exprimer, elle passerait tout simplement inaperçue, nul n’y prêterait attention.

Mes adversaires de la pensée unique ne combattent que ce qui est dangereux pour eux, pas ce qui est inoffensif.

Toutes ces précautions prises à mon endroit en hauts lieux, ces barrières dressées contre ma parole, ces barbelés autour de ma plume sont autant de preuves que brille sur mon front une couronne et non que je porte un nez rouge.

Aucun contradicteur ne rit de mes prétendues sornettes, au contraire tous s’en indignent.

La vérité est une flamme qui brûle l’ivraie. Une flèche qui perce la mollesse. Une lame qui tranche sans fard. Un fer qui redresse les bois tordus. Une lumière qui élimine l’artifice. Une épée séparant le jour de la nuit. Une tempête dispersant les fumées.

Bref, la vérité est une arme qui ne blesse que les tricheurs.

Soral dans une plus grande mesure que moi incarne cet évangile que les corrompus veulent diaboliser.

Si Soral est si totalement censuré, c’est bien parce que les rayons de cet astre magistral représentent le plus grand péril pour ces théoriciens de l’ombre gauchiste qui aliènent les esprits faibles dans leur secte laïque.

Si Soral est lui aussi si dangereux pour notre société, si indécent, si subversif, si révoltant et si insupportable à voir, à entendre, si difficile à chasser de nos esprits, c’est parce que sa seule alliée, c’est la vérité.

Toute nue.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/x2f7fo5_pourquoi-je-suis-censure-raphael-zacharie-de-izarra_webcam

Liste des textes

2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet