mercredi 24 décembre 2014

1092 - Les andouilles de Noël

Avec leurs préoccupations tournant autour des “cadeaux de Noël” les masses bêlantes sont totalement abruties et infantilisées.

Le pire dans cette déplorable affaire c’est que ces veaux humains dont l’intelligence a été mise en veille se prennent réellement au sérieux dans leurs  âneries de gosses attardés.

Ils se comportent comme des âmes puériles au premier degré.

Je considère ces millions de gens passagèrement décérébrés par l’hystérie bêtifiante des cadeaux de Noël (et du réveillon qui va avec) prétendument “adultes responsables” comme des attardés mentaux.

Les imbécillités qu’ils s’offrent ce soir de grandes bacchanales consuméristes rivalisent de niaiserie. Et il y en a pour toutes les bourses : de la babiole en toc à la montre sertie de diamants, l’ineptie consacrée a toute une gamme de prix mais quelle importance puisqu’on ne compte plus  en cette occasion-là...

Du prolétaire au notable, chacun selon ses moyens contribue au grand décervelage national. Et même du croyant à l’athée, de l’ignare à l’érudit, du traditionaliste à l’avant-gardiste, tous participent à la navrante régression mentale autour du sapin, que ce dernier soit naturel ou en plastique, en carton ou dématérialisé. Le processus d’infantilisation généralisée, d’involution neuronale est le même.

Quant aux enfants, purs reflets de leurs géniteurs dégradés, ils sont les égales victimes de ce système aliénant, parce que résolument commercial, qui les prend en otages jusqu’à la prochaine génération afin de mieux perpétuer son oeuvre de déshumanisation intellectuelle. Blasés à longueur d’années par toutes sortes de trésors réels ou de véritables insanités sophistiquées mais dont ils n’apprécient même plus l’or ou le clinquant, les cadeaux de Noël pour eux ne seront qu’un surplus, qu’une surenchère de futilités polluantes qui s’ajouteront aux autres déchets culturels de cette mer encombrée d'ordures dans laquelle ils baignent depuis leur naissance.

Au lieu de succomber à leur paresse intérieure, au lieu de se comporter en bétail bouffeurs de cadeaux, je souhaite du fond de mon coeur à tous ces ânes qui m’entendront un Noël brillant, un Noël rédempteur, un Noël salvateur pour leur rétablissement cérébral, un Noël fait de sobriété, de modestie matérielle et de débauche de pure intelligence. Un Noël de salutaire solitude également, propice à la réflexion.

Bref, c’est un vrai Noël de désabrutissement et d’élévation de leur être que je souhaite à ces habituelles andouilles.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/x2d9mkc_les-andouilles-de-noel-raphael-zacharie-de-izarra_school

https://www.youtube.com/watch?v=opDJ1no1fJk&feature=youtu.be

vendredi 19 décembre 2014

1091 - Racisme et politique

Il n’est absolument pas incompatible d’avoir une attitude pleine de charité, de compassion, d’idéalisme sur le plan personnel et d'adopter dans la sphère publique un comportement allant à l’encontre de ses intérêts particuliers, de défendre des pensées et actions contredisant radicalement ses actes quotidiens. On peut sans se renier le moins du monde tenir un discours public dit “ségrégationniste”, c’est à dire fortement orienté vers les “préférences nationales’' ou les “sentiments patriotiques” comme on dit de manière policée, et agir sur le plan intérieur selon des critères apolitiques en totale opposition avec ses engagements civiques.

L’inverse est également valable : il n’est pas inconciliable de promouvoir des vues progressistes par pure conviction idéologique et de s’en préserver dans sa vie intime.

Dans le premier cas le nationaliste aura le souci du bien commun avant tout. Mu par l’amour de sa patrie, il aura la volonté de fermer les frontières de son pays à l’immigration, ce qui ne l’empêchera pas, par ailleurs, de recueillir chez lui des clandestins échoués sur son territoire, par altruisme, charité chrétienne ou humanisme tout court. Précisément, il s'engagera dans un parti politique qui, en cas de victoire, coupera à la base tout besoin de se conduire notoirement en apparente contradiction avec ses démarches privées. Il y a certes César à servir dans le temporel, ce qui n’interdit en rien, d’un autre côté, l’exercice de sa liberté de conscience, le devoir chrétien, l’amour fraternel...

Dans le deuxième cas le démocrate, raciste primaire, macho brutal, homophobe bête et méchant (viscéralement mais en toute mauvaise conscience) et cependant convaincu (non pas passion mais par exercice de sa raison) de la justesse des idées altruistes qu’il souhaite faire triompher (mariage homosexuel, avortement, priorité de la laïcité, régularisation des immigrés clandestins, ouverture des frontières à la misère du monde, valorisation de l’homosexualité, féminisme) peut, confidentiellement, être rebuté par ces valeurs qu’il prône à l’égard des autres. Là encore, ce ne sont pas ses propres intérêts qui l’occupent mais mais ceux de la majorité. On peut très bien marcher à contre-courant de ses goûts, de ses penchants égoïstes par esprit de vérité (après, que l’on se trompe sur cette vérité, c’est une tout autre question et ce n’est pas mon propos ici.). Ainsi un fumeur peut, sans pour autant se désavouer, se délecter d’un bon cigare tout en montrant du doigt les fabricants de tabac qui l’empoisonnent et accepter que l’on vote des lois anti-tabagisme. Eprouver du plaisir pour une cause ne signifie pas nécessairement approuver cette cause idéologiquement, culturellement, socialement, etc. Bien des gens confondent faiblesse, habitudes, subjectivité avec vérité.

Opinions doctrinales et moeurs morales sont deux choses bien séparées. Les deux ne se rejoignent pas toujours mais ne sont pas fatalement antinomiques.

Ainsi je pense que l’ouverture systématique et généreuse de nos frontières à la détresse planétaire est une sainteté pour le philanthrope, une calamité pour le politicien. Une noble intention mais un désastre pour notre économie. Une chrétienne et louable entreprise dans la théorie mais une catastrophe sociale...

Ce n’est pas parce que, quant à mes choix cocardiers, je suis farouchement opposé à l’aberrant principe de régularisation automatique des clandestins que, dans ma vie de tous les jours, je n’aurai pas cette volonté désintéressée de venir en aide à ces oiseaux de passage tristement déplumés... Je parle de la volonté de les secourir de manière individuelle mais surtout pas à travers un système organisé, une institution officielle, une infrastructure étatique, ruineux selon la vue drapeautique.

C’est ce qui fait toute la distinction entre prises de position citoyenne et conscience universelle.

Ainsi on peut opérer politiquement en complet affrontement avec l’expression de sa bonté d’âme et à l’inverse, un être habituellement haineux chez lui peut exprimer dans la rue toute l’utopie du monde. Tout n’étant question que de libre-arbitre, de réflexion, de raison, de comportements éduqués.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/x2cxtih_racisme-et-politique-raphael-zacharie-de-izarra_school

https://rutube.ru/video/08e09d40b093badf7715269e22635b1b/

mercredi 17 décembre 2014

1090 - Farrah Fawcett : interview en dix questions

1 - Raphaël Zacharie de IZARRA il semble que Farrah Fawcett vous obsède quelque peu, seriez-vous amoureux de la belle américaine inhumée il y a plus de cinq ans ?

- Prétendre avoir le “coeur affolé”, ce serait dénaturer la brûlure d’une flamme purement esthétique... En réalité je suis épris de son éclat révolu. D’autant plus ébloui par l’image de cette Eve ayant incarné le ciel, qu’elle est sous terre depuis plus d’un lustre, après la dégradation de sa vénusté sur le tard. Amoureux, est-ce bien le mot ? Mieux ou pire dirais-je, que bêtement entiché... Fasciné par ce rêve qui fut vivant, c’est certain. Je ne peux nier ce qui hante si vivement mon âme de sybarite.

2 - Vous n’avez pas répondu à ma question. Je vous la repose donc : Raphaël Zacharie de IZARRA, êtes-vous amoureux de feue Farrah Fawcett oui ou non ?

- S’il est vrai que je suis indifférent à la souffrance des classes moyennes, imperméable à la détresse de leurs chiens, impassible face aux larmes de leurs enfants, étranger à leurs espérances de bovins, bref égoïste et dédaigneux quant au sort de la gueusaille en général, en revanche je suis particulièrement sensible à la magnificence des astres. Ceci répond-il à votre question ?

3 - Oui et non. Mais passons... Vous êtes un être détestable Raphaël Zacharie de IZARRA. Comment conciliez-vous misanthropie, doublée de misogynie, et culte de la créature d’exception ? Votre machisme extrême n’est-il pas une contradiction voire un frein à toute tentative d’expression lyrique de votre âme décidément faite de glace et de feu pour ne pas dire de miel et d’épines, de fiel et de fleurs ? Associer des extrêmes aussi opposés, n’est-ce pas un impossible mariage entre abyssale régression et fulgurante ascension, entre archaïque enlisement et céleste essor ? Extravagante alchimie, non ?

- C’est bien parce que je méprise la majorité des femmes que je n’en divinise qu’une seule.

4 - Paradoxalement, et c’est bien étrange, celles que vous traitez avec si peu d‘estime et tant de dureté ne vous dénigrent pas toutes...

- En effet et c’est peut-être je crois précisément parce qu’avec virilité, hauteur et autorité, donc avec authenticité, je les remets à leur place originelle qu’elles m’en sont à ce point reconnaissantes. Avoir le courage et l’honnêteté de parler au sexe faible comme on doit lui parler, avec respect mais justesse (sans cet indigne esprit de servitude imposé par le féminisme) est infailliblement récompensé par un retour de l’ordre naturel des choses. Les suffragettes ont beau les déclarer hors-la-loi, les vérités fondamentales sont définitivement enracinées dans nos âmes. Cet aspect intime de nos êtres est viscéral, instinctif, tribal, ancestral, biblique même. Aucun mensonge idéologique ne pourra changer nos gènes. Les enfants d’Aphrodite, on le sait, ont la tête dans les fumées du siècle mais surtout, et ça on l’oublie, les pieds sur terre. Et l’utérus solidement chevillé à leurs certitudes de pondeuses. Ces vénusiennes ont le sens terrien ! Au fond d’elles-mêmes elles aiment entendre le vrai son des vagues de la mer, s’étendre sur le sable, sentir l’écume qui les touche. Les seuls mots qui les enflamment sont ceux de la vérité.

5 - Revenons à Farrah Fawcett. Votre fièvre névrotique à son endroit n’est-elle pas révélatrice de votre esprit égaré ? Folie douce ou hystérie furieuse ?

- Détrompez-vous, il ne s’agit pas de braise mais d’azur. Il ne faut pas confondre le plomb avec l’or : l’étincelle profane produit de la cendre, mon cierge produit de la lumière.

6 - Raphaël Zacharie de IZARRA vous êtes un personnage insaisissable, énigmatique, déconcertant, bizarre diront certains, et vous comment vous percevez-vous vous-même ?

- Je me perçois comme un bel esprit, un être exceptionnel, une plume d’envergure, le prince dominant d’un royaume tout intérieur aux dimensions prodigieuses dont vous n’imaginez pas la beauté. Je me considère ainsi voyez-vous, mais guère plus.

7 - Vous avez le sens de l’humilité très développé dites-moi Raphaël Zacharie de IZARRA...

- C’est par authentique modestie et amour immodéré du vrai que je me dévoile tel que je suis : sans exagérer mes eaux troubles certes, mais sans amoindrir ma gloire non plus. Faire le contraire, ce serait cela la véritable fatuité. Je ne cache ni mes tares ni mes sommets.

8 - Est-ce également par souci d’exactitude, sens  de la justice, justesse de vue, que vous élisez Farrah Fawcett reine de votre panthéon izarrien et dévaluez toutes les autres incarnations féminines, nécessairement “défavorisées” à vos yeux, au rang de gueuses ?

- Précisément. La vraie justice c’est la grâce. L’égalité est une chimère. Ce qui fait le prix du zénith, c’est son reflet provocateur dans la fange. S’il n’y avait pas de criantes inégalités de naissance entre les êtres, notre monde serait un enfer peuplé de clones insipides. Sans laideur, point de sublimité ! Sans injustice atavique, pas de miracles natifs... La misère est une iniquité, la splendeur aussi. L’une et l’autre tombent sur les individus gratuitement; arbitrairement, sans nulle distinction.

9 - En somme vous êtes, Raphaël Zacharie de IZARRA, un fou d’idéale harmonie, d’élitiste élévation, d’extatique ivresse et à travers cette délirante contemplation du visage de Farrah Fawcett, vous semblez vivre - ou vouloir vivre- dans un songe permanent...

- Je me nourris du Beau. A travers cette obsession de Farrah Fawcett, il y a des raisons secondaires nuancées mais aussi une franche soif de vision béatifique !

10 - Et qu’avez-vous prévu pour la suite ? Demeurerez-vous éternellement dans vos rêveries ou bien en sortirez-vous enfin ? Allez-vous vous réveiller un jour pour aller turbiner à l’usine comme tout le monde ? Au lieu de rêvasser inutilement du haut de votre tour imprenable, coupée de la réalité, vous déciderez-vous d’aller couvrir vos doigts d’oisif avec du bon gros cambouis de travailleur manuel ?

- Je ne crois pas, non. Je suis très heureux dans mes cimes cérébrales vous savez, pourquoi donc devrais-je en redescendre ? Pour singer les masses laborieuses ? Ha ça, jamais de la vie ! Quelle horreur ! Mon ciel izarrien me tient lieu de sol. J’y suis depuis si longtemps, depuis une éternité à vrai dire, que j’y ai pris racine.

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samedi 13 décembre 2014

1089 - L'astre est apparu puis s'est éteint

Farrah Fawcett tu étais belle, rayonnante, magnétique, tu es morte, ton sourire est devenu une grimace figée, un crâne au sommet d’un squelette étendu sous la tombe. Tu fus magnifique, tu n'es plus qu'ossements.

Tu étais un astre, une féminine splendeur, une angélique conception, tes restes sont sous la terre, désagrégés, anéantis après avoir connu la pourriture.

Tes lèvres étaient l’azur, l’onde, le marbre, elles ne sont plus que poussière, dévorées par le ver de la mort.

Ton corps est inhumé. Ce qui fut merveille est enterré, détruit, et jamais plus ne reviendra sur Terre. Ta jeunesse fut radieuse, tes yeux étaient comme deux soleils, ou deux lunes, ils sont deux trous noirs et vides sous la stèle. Deux orbites sans vie qui fixent une éternité immobile.

Dans ce théâtre de la matière les apparences sont cruelles et moi j'ai été fasciné par le fétu de paille emporté dans le mouvement cosmique, par l'empreinte des grands principes sur les choses humbles : l'éveil de la fleur, la fuite des nuages, la fugitivité des vagues, la chute du papillon.

Tu es morte, ta jeunesse a péri, ton éclat a été détruit, tes charmes ont disparu pour toujours, ensevelis sous le tombeau. La Camarde t’a emportée et j’ignore où tu es... Avec les autres trépassés de la Terre. Avec eux oui, mais je ne sais où...

Tu incarnais le miracle : tu étais la rose, tu étais le diamant, tu étais le ciel.

Loin de notre monde, là-bas, tout près des étoiles, de ces autres étoiles dans un firmament différent du nôtre, je te souhaite la lumière, la beauté retrouvée, l’éternité.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=0wr1s08UUs8&feature=youtu.be

http://www.dailymotion.com/video/x2ch0g7_l-astre-est-apparu-et-s-est-eteint-raphael-zacharie-de-izarra_school

mardi 9 décembre 2014

1088 - Je hais la république !

Parce qu’elle nous est née d’un régicide, parce que c’est une gueuse -donc une crapule- ayant osé occire le roi -donc Dieu-, parce qu’elle a voulu désacraliser Louis en lui tranchant le col, j’ai la république française en horreur.

Caution de la populace, raison de la gueusaille, horizon bref de notre patrie déracinée du Ciel, le système égalitaire est totalitaire.

Sous prétexte d’indistinction Marianne nivèle les richesses humaines, rabaisse le citoyen au rang de clone à l’âme incertaine, alors qu’il était oiseau unique et immortel dans le révolu royaume...

Le sujet du roi était enfant de Dieu, l’enfant de la république est le sujet de sa dérision.

Le monarque aimait son peuple de près et de tout coeur, le drapeau tricolore lui destine des honneurs de glace.

La Couronne était chaude, généreuse, sans calcul et pleine de baisers à l’égard de ses protégés, la république est un fronton sec de silex qui compte ses coups et ses sous.

J’ai cent autres arguments pour haïr la Révolution et mille encore pour espérer le retour d’une dynastie sur le trône de France.

Permettez que je ne les dévoile pas tous de peur de fâcher cette dictature douce qui nous oppresse de ses libertés des vices et nous force à vivre avec ses lois mais sans le roi.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

http://www.dailymotion.com/video/x2c90yd_je-hais-la-republique-raphael-zacharie-de-izarra

https://rutube.ru/video/f7cc008192538ea4a296686d02d29b68/

http://www.dailymotion.com/video/x2fmyn5_je-hais-la-republique-par-raphael-zacharie-de-izarra_school

1087 - J'avais dix ans...

J’avais dix ans... Avec le ciel d’été dans les yeux, je respirais le soleil à plein coeur et riais, étourdi de vie, de vent, de rêves et de papillons.

J’avais dix ans et comme toutes les âmes puériles, dans les nuages je voyais des êtres fabuleux, dans les étoiles des points mystérieux, dans le jardin d’espiègles lutins, chez les adultes des sujets d’interrogations.

J‘avais dix ans mais j’étais le seul je crois à chercher des mondes infinis dans la lumière.

Août faisait tout briller sous mon regard. Le mois éblouissant allumait au fond de moi des feux secrets : les visages devenaient transparents, les voix véhiculaient un autre verbe, les gestes les plus anodins clamaient de grandes vérités, j’étais inondé d’amour et derrière ces masques de chair je devinais une radieuse immortalité.

J’avais dix ans et dans ma jeune existence le quotidien prenait de célestes envergures. Il avait suffit que l’astre estival enflamme mes vacances d’écolier, se reflète sur l’onde, inonde les toits, frappe les fronts autour de moi pour que je prenne conscience de l’immensité de la Création.

Dès mes jeux d’enfant, je m’éveillais à l’évangile de l’Univers.

J’avais dix ans et j’étais émerveillé.

mardi 2 décembre 2014

1086 - Vive l'amour entre les hommes !

L’amour entre deux hommes, personnellement je suis pour.

Les défenseurs du mariage entre homosexuels ont raison : l’amour n’a pas de sexe.

Je suis entièrement d’accord avec eux sur ce point. Les hommes sont faits pour s’aimer entre eux et ils doivent en effet s’aimer entre eux. C’est indéniable.

L’amour entre deux hommes, deux femmes, est possible, souhaitable, et tout comme eux je veux en faire la promotion.

Sauf qu’il est question ici non pas de vulgaire union conjugale, encore moins d’enculage, mais d’amour au sens large du terme : l’agapè.

Certains dégénérés homosexuels confondent le fait de s’enfiler avec l’AMOUR.

Chez eux le même terme est employé pour désigner à la fois la dépravation morale et la plus noble des aspirations de l’âme vertueuse. Pour moi l’amour entre deux hommes n’a rien de choquant. Il n’a rien à voir avec la perversion des moeurs, tout au contraire, l’amour entre deux hommes c’est l’altruisme, c’est à dire l’amour universel.

Il faut que les mentalités de ce siècle soient bien corrompues pour que les gens confondent à ce point des notions aussi dissemblables... Associer aussi intimement l’homosexualité à l’amour, mélanger le profane et le sacré, prendre la mesure des choses essentielles avec une bite, bref ne pas distinguer la merde de l’or prouve que l’époque est en pleine confusion !

Moi, tout comme les défenseurs du mariage entre homosexuels, je dis "vive l’amour entre les hommes !"

Oui mais autant dans l'esprit critique que christique du terme.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=bHlil952xaA&feature=youtu.be

mardi 18 novembre 2014

1085 - Vieil aristocrate

Je suis la dernière branche d’un chêne brisé aux racines aussi lointaines que les premiers rois de France. J’incarne les spectres d‘un passé enflammé, siècles révolus pleins de tonnerre, de prières douces et de vins rares.

Dans mes artères de vieille souche racornie flue un ciel liquide. L’azur aigre, vif et élitiste des gens de haute naissance. C’est l’humeur vinifiée de la noblesse. La sève royale des âmes de grande race.

Ce sang bleu qui blanchit mes nuits sans chauffage, gèle mon coeur exigeant, glace mes souvenirs d’enfance, brûle mes pensées sombres, bleu et presque noir telles les terres mortes de mes ancêtres morts, ce sang bleu disais-je est ma vraie richesse de vieil aristocrate au bord du tombeau, à deux doigts de rendre ses os à la poussière.

Je n’ai plus un sou mais qu’importe ! Je suis avaricieux à m’en rendre malade et lorsque j’étais fortuné, il y a bien longtemps, j’étais déjà osseux comme un ladre à force d’emprisonner mon argent jour après jour, pièce après pièce. M’abstenir de consumer mes biens est une jouissance extrême pour un comptable de mon rang. J’aime économiser mon souffle, épargner mon bien-être, retenir ma vie, calculer les détails, ne pas dépenser trop d’amour. Avec mes haillons d’un autre âge, ma dentelle mitée, la cendre sur mes doigts arides et mes bottes héritées de mes aïeux, je ressemble à un corbeau au bec sec et cassé.

En réalité je me sens un vieux rat de campagne occupé à gratter les recoins de caves, en quête d’ombres et de graines amères à dégûster solitairement en rêvant du réveil d’astres éteints depuis mille ans.

Une âme charitable accepte, à titre gracieux, de me servir afin de soulager mes vertèbres douloureuses et causer pour égayer ma solitude de hibou taciturne. Elle astique mes effets et prépare mes repas. C’est un bien joli tendron que je traite ainsi que mes anciennes domestiques : avec condescendance. Ses élans de charité ne m’empêchent point de lui adresser mes plus cinglants reproches. Lorsque je l’estime nécessaire et impérieux.

Ainsi, un soir la godiche renversa la soupe à terre : pour ce crime je dus la châtier. Elle reçut le cuir sur les reins. Fouettée de mes propres mains.

Je déployai une vigueur remarquable dans cette tâche rédemptrice. Ma foudre sur la gueuse s’abattit avec tant de force qu’elle paya sa maladresse au prix du sang.

Le lendemain ma servante me fut revenue plus docile, plus contrite, moins maladroite.

Et mieux éduquée.

Depuis cet incident je châtie régulièrement ma bonniche, lorsque ses manquements le justifient. En la fouettant de la sorte, je mets du baume sur mes propres blessures. J’allume la souffrance sur cette plébéienne fautive pour éteindre un peu ma douleur car c’est une grande misère pour un seigneur-né que d’être privé de ses droits, déchu de ses privilèges. J’aurais pu régner en maître absolu sur le fief que me destinait l’Histoire si celle-ci n’avait pas été décapitée en plein élan, assassinée par 1789... Avec revanche et sans la moindre pitié je cravache non seulement une coupable qui le mérite, mais également, flagelle le sort, punis le destin, fustige ce siècle.

Du fond de ma vieillesse je peux ainsi apaiser, fugacement, les échecs, contrariétés et amertumes de mon existence de hobereau retiré du monde.

Corriger les travers des sans-particule, voilà une flamme qui depuis toujours me dévore ! Je mets tant de feu dans ce dessein, ma résolution innée à redresser les torts des uns et des autres est si sainte, si féroce, si juste... A la seule idée de bastonner la gueusaille, une verdeur soudaine fait refleurir ma face d’ordinaire si blafarde.

J’ai l’impression de rajeunir de trois cents ans à chaque fois que j’écorche le dos de ma bonne, me berçant de l’illusion d’être plongé dans mon époque, enfin...

En dehors de ces distractions innocentes du vieil âge je passe mes journées à tendre des pièges à mes amis les rats. Eviscérés par les crocs d’acier, je leur trouve des grâces subites. Et même parfois des charmes plus gastronomiques, par temps maigres.

J’attends que pour ma délivrance d’exilé du temps s’ouvre la tombe. Avec morgue, fuir ce monde où nul ne s’incline devant mon nom à rallonge et ma perruque enfarinée. Entrer dans le caveau les dents serrées mais la tête haute, plonger dans les profondeurs de la nuit afin d’y trouver, par-delà l’outrage de la charogne, le voile de la matière, à une distance infinie de l’injure républicaine, des mensonges et artifices d’une époque scélérate, l’éclat d’un soleil nouveau, les merveilles d’une couronne rétablie, la vérité d’un royaume éternel dans lequel jamais plus on ne tranchera la tête d’un roi.

Je suis un vieil aristocrate en bout de chemin, un hère à l’ère terminée, un égaré à l’air terminal et mon cadavre de ragondin guindé emportera avec lui ses plus chers chardons.

Les épines aiguës de mon coeur perceront ma stèle.

Je vous maudis tous et Dieu me pardonne !

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/1Sj1scSAHck

lundi 17 novembre 2014

1084 - Fin de race

J’ai été élevé sous les ors d’un château oublié de la vieille province française et dans la dentelle démodée d’un quotidien de mollesse et d’insouciance.
 
Nourri des illusions éclatantes d’un passé idéalisé, je me suis vautré dans l'adoration folle et vaniteuse, égocentrique et indécente de ma particule. On m’a inculqué l’admiration de mes glorieux aïeux et laissé dans l’ignorance de mon incompétence, de ma faiblesse, de mon néant.
 
Je suis une potiche lettrée à la voix de fausset, un marbre d’intérieur sans expérience du dehors, un acharné donneur de leçons de morale dénué de virilité. Persuadé d’avoir toujours raison sur toutes choses, surtout celles dont je ne connais rien, une monstrueuse prétention suinte de ma mince personne. Je rayonne de fausseté, pue la cancrerie. La spéculation stérile est mon évangile. Je me crois dans la vérité, du haut de mes talons orthopédiques.
 
Mon salon est surchauffé et ma pensée poussiéreuse. C’est depuis mon fauteuil couvert de soie que je juge et condamne, fais et défais le monde extérieur, perçu de loin. Une réalité rêvée à travers le prisme de ma pure cérébralité.
 
Je suis un bec fin, j’aime tout ce qui est raffiné et écoeurant, je suis également un parleur, un théoricien, un frivole, un irresponsable, un insensible évoquant les drames de mes domestiques avec moquerie, incapable de compassion. Mais suis très attentionné à l'égard de ma collection de mouches ciselées dans le métal précieux.
 
A travers ma peau blanche et lisse, transparaissent mes veines. Comme des couleuvres endormies. A faire peur. Morbides, inquiétantes, funestes : on devine ma santé fragile.
 
Je suis un sang bleu, un vrai, un dégénéré, une fin de dynastie, un consanguin authentique bourré de tics.
 
J’ai l’estomac délicat, le front pâle, la joue creuse. Mes lèvres sont rouges et mes doigts moites. Je suis une petite nature. Mon corps est grêle, mon mental flasque. Vite découragé par l’effort, la facilité me donne des ailes. Dernier des positifs, champion du négatif : je suis un anémié à la dent féroce.
 
Souffreteux et tyrannique.
 
Je me plains pour des futilités, gémis une soirée entière pour une piqûre de moustique, pleure parce qu’une goutte de crème anglaise a souillé le papier sur lequel j’exerce mon art littéraire à la plume d’oie mais suis agacé par l’importance que l’on accorde aux tragédies de ceux que je ne côtoie pas dans mon univers feutré et étriqué. Je ne supporte pas que l’on monopolise les regards sur d’autres que moi. La souffrance des gens, pour moi c’est du virtuel. Je ne conçois la douleur que lorsqu’elle me concerne intimement. Celle d’autrui ne me touche en rien, trop occupé que je suis à contempler la finesse de mon épiderme transparent, signature innée et définitive de ce que je pense être ma “hauteur azurée”.
 
J’ignore que je suis détestable mais suis heureux dans mon mirage de préjugés et de perverse innocence.
 
Evidemment, j’ai une immense estime de moi-même. Je suis certain d'être vénéré par ceux que, de bonne foi, je méprise de toutes mes forces. Et pour ne pas me décevoir on me laisse le croire.
 
Né avec une cuiller en or dans la bouche, je mourrai dans des nuages d’encens frelaté et de mensonges doux qui feront léger mon souffle ultime de catarrheux guindé.

Celui que je destinerai à mon assortiment de nævus forgés dans une matière plus rare que le taffetas, seul amour véritable de mon existence de larve hautaine.

Je suis une fin de race.

vendredi 14 novembre 2014

1083 - Je suis contre la laïcité

La laïcité, invention pseudo démocratique, en réalité prison idéologique où tournent en rond des esprits carrés hyper légalistes jusqu’à la “sécheresse républicaine”, n’est ni plus ni moins qu’une religion d’état quasi impérialiste qui ne dit pas son nom.

Insidieusement érigée en tant que contre-pouvoir à la vraie religion catholique.

Sous ses dehors de tolérance, d’ouverture, d’universalité, de multiplicité, de diversité, la laïcité ne respecte pas la conscience individuelle des croyants, des religieux, des mystiques.

Et surtout pas des chrétiens, pour être clair et net.

Au nom du respect impérieux de ses valeurs à elle, sacralisées au plus haut point depuis les pieds de ses statues arrogantes jusqu’aux frontons autoritaires de ses mairies, elle impose en fait l’athéisme officiel.

Sa furieuse dévotion à la cause tricolore, à la pensée profane, aux affaires séculières -parodie du sage et intemporel culte chrétien- est enracinée dans une pensée foncièrement régicide, authentiquement vengeresse et résolument blasphématoire. En tranchant la tête du roi, le pont avec le Ciel a été coupé. A la place de cet arc-en-ciel royal ont été instaurés les égouts publics de la république : après le règne des hauteurs, les conceptions en verticalité, l’orientation vers les sommets, l’avènement du tout horizontal !

Avec la laïcité a été rompu le lien entre Terre et Providence, remplacé par des rapports neutres de pion à pion, de fonctionnaire à fonctionnaire, d’indifférent à indifférent, c’est à dire l’asservissement à la raison des imbéciles pour qui naïvement les étoiles sont, dans leur conception sans relief de l’espace public, à égale distance de leur brève vue. La laïcité avec sa haine de la transcendance et son obsession du morne égalitarisme qui en découle, sa sotte entreprise de nivèlement des êtres selon ses critères au rabais, mesquins, véritable négation des spécificités et richesses humaines, est fondamentalement déicide. Dieu est le pire ennemi de la laïcité, cette fabrique de clones aseptisés quelle baptise “citoyens”, en fait des esclaves du credo anti spirituel.

Je déteste l’hérésie laïque avec ses mensonges humanitaires et ses artifices matérialistes, grotesque farce démocratique devant laquelle se prosternent les prostitués aux leurres du siècle, ces esclaves de l’égalité, de l’impiété érigée en système et autres vérités flottantes d’une république aux repères dilués dans une monstrueuse, inhumaine, contre-nature, bête et méchante uniformité.

Je rappelle que le principe de laïcité interdit purement et simplement le port ostensible dans les lieux publics de signes d'appartenance religieuse. C'est ce qu'on appelle une dictature douce de l'athéisme.


VOIR LES TROIS VIDEOS :


https://rutube.ru/video/a20b13f56e75e5660a9aedf55dddb992/

https://rutube.ru/video/4ecebabfde91b2a265d3e1fb427261d2/


https://rutube.ru/video/c4b0ac43216c23c0940437fbdf0683a9/

lundi 3 novembre 2014

1082 - Propos homophobes

Moi j’aime l’hétérosexualité.

Pour moi une vie maritale saine et épanouie, c’est une affaire qui se passe entre monsieur et madame. Je ne vois pas d’autre possibilité de fusion des genres moralement admissible, socialement sensée, biologiquement fructueuse et acceptable pour la raison.

Le modèle familial traditionnel (évidemment hétérosexuel) a mon exclusive préférence. Un homme et une femme : rien de mieux pour fonder un foyer ! Le mariage entre Adam et Eve, c’est l’idéal ! La panacée. La voie royale pour l’union des sexes opposés. Le modèle conjugal parfait.

Indémodable.

La conjugalité c’est, par définition, par nature, par essence et par excellence la rencontre complémentaire entre deux êtres attirés l’un vers l’autre par leurs différences sexuées.

Une alchimie féconde prévue par les siècles, reçue par l’entendement, conçue par le Cosmos. Humainement, génétiquement et spirituellement harmonieuse.

Immuable.

Le masculin et le féminin sont faits pour s’accoupler, copuler, se fondre l’un dans l’autre. Ils sont même porteurs d’organes bien spécifiques spécialement prévus à cet effet. Ce n’est pas moi qui le décrète de manière arbitraire ou idéologiquement orientée, non. Moi je n’y suis pour rien dans cette grande et mystérieuse affaire. Je ne fais que constater. Je ne suis en aucune façon à l’origine de cette vérité biologique. Je ne suis pas responsable de la loi objective, rationnelle, moléculaire consistant dans le principe d’attraction entre le Soleil et la Lune, entre le feu et l’écume, entre la lumière et l’onde, entre la force et la beauté.

Mars a été originellement façonné pour s’ébattre dans les champs fleuris de l’amour avec Vénus. La Création leur a d’ailleurs donné la Terre entière pour alcôve afin de la peupler.

La danse nuptiale n’est jamais grotesque, entre le mâle et la femelle.

Pour toutes ces raisons, idéalement je n’envisage pas la formation d’un couple autrement qu’à travers le choc charnel, étincelant et générateur -anatomiquement ajusté- du glaive et de l’hymen.

vendredi 31 octobre 2014

1081 - Avortement : vue tranchée

Je suis naturellement contre l’avortement.

Et je n’argumente plus.

Je fais face aux pro-avortements d’un seul bloc, sans nuance, avec la simple éloquence de mon silence, la seule force de l’évidence. Et ce, de la même manière que la vertu écrase le vice, que le bien méprise le mal, que la lumière anéantit les ténèbres : au-delà des paroles. Elles sont inutiles. Le soleil s’impose souverainement : il est la preuve, en lui-même, qu’il brille.

Justifier mon opposition à l’avortement serait de trop. L’enfant qui naît se justifie-t-il d’exister ? Bien sûr que non, sa présence en ce monde étant le plus solide des arguments. La vérité s’impose d’elle-même aux gens sains d’esprit, sensés, honnêtes. Ne pas reconnaître un atome dans sa réalité, aussi mince soit-elle, ou un astre dans son éclat, c’est nier l’Univers entier.

Je suis contre l’avortement, c’est inné. Ma position est frontale, elle ne souffre pas l’ombre d’une pensée contradictoire. Tenter d’argumenter dans le sens du respect de la vie reviendrait à essayer de convaincre des détracteurs de l’abomination que constituent l’assassinat, le viol, le cannibalisme, la pédophilie, l’esclavage, la torture... Le simple fait de discuter de telles banalités relève de la schizophrénie et ce n’est que perte de temps et d’énergie verbale.

Si en face de moi des êtres ne sont pas convaincus de la barbarie que représente l’avortement, il n’y a plus à chercher des mots : leur corruption est totale. Parce qu’ils sont devenus ennemis de la vérité, ils sont hermétiques à sa parole.

Lorsqu’une maison brûle, les pompiers vont-ils disserter sur l’art de vaincre les flammes en cherchant à ajouter des effets stylistiques afin de mieux convertir les plus perplexes à la cause ? Pour moi les pro-avortements sont des illuminés de la pensée laïque. Quand une maison flambe ils cherchent à sauver ses babioles, non ses hôtes. Pour eux il est préférable de ne pas vivre du tout plutôt que d’avancer avec une béquille. Avoir simplement mal aux dents serait, si on va dans leur sens, une raison valable pour refuser de naître.

Ces esprits pervertis cherchent à éteindre les étoiles au nom de leur liberté de fourmi, pour justifier la stérilisation de la Terre invoquent la préservation de leur potager, afin d’exalter l’égoïsme individuel violent l’ordre universel, sous prétexte de tolérance et de compassion envers les criminels veulent faire le procès de l’honnêteté et mettre la Justice aux fers, parce qu’ils préfèrent le vice à la droiture mettent Dieu hors-la-loi, enfin au nom de leur amour immodéré pour la pacotille républicaine sacrifient des trésors royaux sans prix... Faut-il encore les considérer comme des êtres raisonnables ?

Je suis contre l‘avortement. Mais pas avec des pincettes, non.

Avec la subtilité d’une massue.

mardi 28 octobre 2014

1080 - Je vote à gauche

Je vote à gauche.

Le monde est apparu par hasard et la vie n’a aucun sens. En conséquence Dieu n’existe pas et les étoiles ne servent à rien sinon à donner de faux espoirs aux naïfs. Le seul culte que je reconnaisse est celui de l’égalité universelle : l’homme vaut une chenille, le mâle est une femelle refoulée et le grain de sable a autant de valeur qu’un éléphant.

Je vote à gauche.

Pour moi l’embryon humain est un vulgaire amas de cellules “bidochières” que l’on peut injurier, que l’on est en droit de mépriser, que l’on doit faire périr au nom des humeurs souveraines de nos femmes libérées. J’ajoute que l‘homosexualité est la chose la plus naturelle qui soit dans ce monde vide de sens, vide d’âme, vide de références transcendantes.

Je vote à gauche.

La vie n’a rien de miraculeux. Un accident du néant. Une simple anecdote qui se réduit à une réaction chimique et dont les arriérées, les obscurantistes, les fanatiques religieux font grand cas. En revanche les acquis sociaux du prolétariat sont sacrés, le montant de mon salaire est chose infiniment précieuse, les cotisations pour ma retraite d’athée n’ont pas de prix. Ma vison de la vie est pragmatique, horizontale, matérialiste. Je crois en la république, j’ai foi en la laïcité, je place toute ma confiance dans le résultat des urnes.

Je vote à gauche.

Dans ma vie, ce qui importe le plus c’est de satisfaire mes désirs animaux et culturels dans le plus pur esprit de citoyenneté républicaine tout en oeuvrant pour la diffusion planétaire de mes valeurs : donner libre cours à mon homosexualité décomplexée, revendiquée, politisée et oeuvrer pour la déstructuration libératrice des esprits figés par les discriminantes traditions hétérosexuelles, familiales, patriarcales.

Je vote à gauche.

Avant de divorcer de ma femme, je l’ai faite avorter deux fois. J’ai changé de sexe et me suis remarié avec un homme. Ensemble, nous comptons adopter un enfant issu d’une mère porteuse. Mon ex-femme a bien entendu assisté non sans émotion à mon remariage avec l’homme de ma vie.

Je participe à des GAY-PRIDE chaque année dans une ferveur quasi-religieuse où je communie avec respect et dévotion avec le sexe universel, égalitaire, transgenré et interchangeable. Il faut dire qu’avec mon vagin artificiel et mon traitement hormonal faisant de moi une femme, une féministe, une poulette liftée disponible sans les inconvénients de la ponte, bref une belle quinquagénaire opérée et épilée totalement affranchie des lois de la nature fasciste et opprimante, je comble mon mari bisexuel non opéré mais portant en toutes circonstances perruque blonde, jupe ultra-courte, talons-aiguilles vertigineux et bas résilles.

Mon mari est une drag-queen. Lui aussi vote à gauche.

Je ne vois pas en quoi, fondamentalement, je suis différent des autres puisque nous sommes tous égaux.

Je vote à gauche et, je vous l’assure, tout va vraiment très droit dans ma vie.

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vendredi 17 octobre 2014

1079 - Le terroriste, c'est l'autre !

Précédant la guerre à balles réelles, il y en a une autre pour laquelle on prête moins d’attention : la guerre des mots.

A mensonges réels.

Le terroriste c’est toujours l’adversaire, “vérité” vieille comme le monde...

Terroriste, cela signifie qui inspire, prépare, instaure la terreur.

Par nature, toutes les armées légales sont faites pour terroriser. Conçues précisément pour la terreur. C’est leur raison d’être. Toutes, dans les faits, terrorisent les autres armées en conflit ainsi que leurs populations.

L’armée française, comme toutes les organisations militaires souveraines, ne fait pas exception : elle est une entreprise  terroriste légale.

Une armée qui ne terrorise pas n’est pas une armée.

Bref, si on qualifie de “terroriste” telle ou telle organisation militaire ou para-militaire sous prétexte qu’elle est notre adversaire idéologique, alors il faut également adjoindre cet adjectif à notre armée. Nous sommes les terroristes de nos ennemis.

En ce qui concerne les Talibans, je ne vois pas en quoi leur combat ne serait pas honorable.

Selon nos critères -fatalement arbitraires- on les taxe de “terroristes”. Eux se voient comme des héros défendant une cause juste.

Et je les comprends. Je me mets dans leur peau, je conçois très bien que l’on puisse croire sincèrement, profondément aux valeurs de son propre camp.

Je ne vois pas au nom de quoi je devrais juger les talibans et rétrograder leurs sacrifices, leur combat, leur idéologie au rang de “terrorisme”. Eux nous perçoivent comme des envahisseurs, des décadents, des oppresseurs irréligieux, des barbares occidentaux, des fanatiques de la démocratie, des empereurs de la laïcité absolue, etc.

Mes détracteurs me répondront que je devrais les considérer comme des “terroristes” au nom du fait qu’ils ne sont pas de notre camp...

Pure subjectivité !

Par conséquent je ne prends pas partie dans les affaires martiales de ce monde, en toute objectivité, en pleine conscience, en parfaite honnêteté.

Pour moi les terroristes c’est toutes les armées, légales ou non reconnues. Puisque toutes terrorisent. Si nous refusons de l’admettre, alors reconnaissons que chaque organisation combattante défend la vérité de ses membres.

Toutes les armées, légales ou non reconnues, roulent pour leur propre chapelle. En quoi serait-il inique que les Talibans oeuvrent pour leur camp ? Soit on les qualifie de terroristes et en ce cas nous nous incluons également à travers ce terme, soit nous les considérons eux aussi comme les défenseurs de leurs valeurs et les reconnaissons comme des égaux idéologiques avec tous les égards que cela induit.

Les valeurs des Talibans sont nécessairement honorables de leur point de vue, au même titre que nous sommes persuadés que les nôtres sont honorables.

Sous dépendance de culture, de position politique, de religion ou d’athéisme, de sensibilité personnelle, d’Histoire, de pressions conscientes ou inconscientes, de formatage d’esprit, impossible de juger !

Dans l’absolu, qui pourra prétendre savoir quel camp a tort, quel camp a raison ?

Certes, en retrait, je ne me rallie à aucune couleur mais quand même, dans le doute et par principe de précaution, moi je dis “VIVENT LES ... !”

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mercredi 8 octobre 2014

1078 - Justice d'esthète

Le laideron devait chèrement payer l’offense de sa naissance faite au cercle des élues que je côtoyais. L’apparition de cette pitoyable chose sur la Terre des gens bien nés évoluant, comme moi, dans la douceur de la soie et les avantages de l’esprit, était la négation-même de la beauté, l’ennemie de la grâce, l’antithèse de l’élégance.

Paysanne de son état, boiteuse, courbée, mal nourrie et pourtant obèse, misérable avec ses haillons, sa saleté, sans éducation ni moindre finesse, la cible de mes flèches de sybarite allait également devenir le bouc-émissaire des plus cruelles doléances de la haute société que j’incarnais dans sa plus brillante expression...

J’ordonnai à mes valets d’aller extraire la gueuse de son lamentable sillon, d’emmener de force -à coups de volées de bois vert pour tout dire- ce sombre oiseau sur l’autel de son sacrifice : le parvis de mon château, garni pour l’occasion des plus séduisantes représentantes de la gent éduquée : beautés insolentes à peau de pêche et au galbe racé.

Pour la distraction de tous et le juste, sévère châtiment de cette haïssable infirme, autant dire une criminelle, je souhaitais l’humilier pour le restant de ses jours. Cette sinistre femelle n’ayant hérité du sort qu’épines et défaveurs, elle ne méritait nulle indulgence de la part de ses distingués oppresseurs.

Son péché était grand, qui consistait, en s’exposant à leur vue, à provoquer chez les femmes bien mises à la taille congrue et à la toilette raffinée, grimaces de dégoût et quolibets d’agacements et à produire chez leurs amants les mêmes effets, doublés de féroces désirs de la gifler !

Par sa présence importune, en imposant sa hideur aux regards de ces fortunées dont les traits flatteurs rendaient encore plus ignoble son visage d'indigente, elle gagnait spontanément leur mépris.

Je décidais que le monstre devait être couvert de crachats après avoir été rudoyé par les côtés les plus représentatifs de sa déchéance : sa patte folle, son dos débile, ses flancs d’ogresse, sa face porcine recevraient en priorité les expiations les plus cinglantes de la part de l’aristocrate assemblée.

Sans la moindre pitié et sous les plus odieux sarcasmes.

Ce qui fut fait.

Et bien fait : de toutes ces créatures en dentelles, les plus belles furent les plus appliquées à lui administrer la leçon. C’est qu’elles avaient le souci d’affirmer, sans mollesse et parfois avec fureur, leur droit de régner et sévir sur tout ce qui ne sied pas à leurs critères esthétiques.  Ce qui est compréhensible et parfaitement honorable de la part de ces détentrices du goût.

Les hommes quant à eux s’amusèrent surtout à faire chauffer le cuir délicat de leur gant sur les joues de la pouilleuse et faire claquer les semelles de leur bottes contre son adipeux et énorme séant.

Enfin avant de la rendre à sa fange on lui rasa si bien les cheveux qu’au lieu de la qualifier encore de “pouilleuse” au terme de ce premier apprentissage de la vie auprès du beau monde, on pourrait l’appeler “coche lisse”.

Par ce sobriquet on désignait désormais cette hôte des taudis en évoquant, dans d’irrépressibles éclats de rires, son unique passage en ma noble citadelle.

mardi 7 octobre 2014

1077 - Français... Mais sans en faire un fromage !

Je suis français, héritier de la Gaule légendaire, enfant des siècles mythiques, fruit de deux mille années d’Histoire sombre et éclatante, attaché à mes valeurs, épris de la culture lumineuse et des traditions baroques de mon pays.

Français oui, mais pas au point d’y perdre mon humanité !

D’un point de vue horizontal je suis farouchement enraciné dans cette terre où nos aïeux firent pousser leurs céréales originelles autant que leurs grains de folie.

Mais dès que je sors de ce jeu puéril dont je ne suis en réalité nullement dupe et que sans plus de fausses passions et sociales complaisances j’élève mon regard, alors je me moque magistralement de ces petitesses dont vous faites des montagnes. 

Une fois seul avec moi-même, face à ma claire conscience d’éveillé suprême, loin des chants grossiers des défenseurs de miasmes temporels et autres pataugeurs hystériques s’enlisant dans les sables de leur siècle, j’oublie le fumier de ces cochons humains et vole vers les sommets de la pensée, attentif aux magnificences de la Création, ne voyant plus que l’essentiel, libre, grand, glorieux, pur et serein dans mon ciel de vérité.

Alors qu’ils s’alarment sur des sujets insignifiants et que, oubliant qu’ils mourront bientôt, se préoccupent de l’avenir de leurs illusions, s’inquiètent du métissage culturel et racial du pays, prévoient des vanités économiques, choisissent leur parti politique, versent leurs larmes pour des drapeaux, saignent pour des bobos idéologiques, serrent les dents pour des âneries prises au sérieux, bref alors qu’ils sont emportés dans le tourbillon de leur ridicule érigé en système institutionnel, patriotique et même civilisationnel, moi je monte, monte et monte encore.

Et me retrouve dans des hauteurs vertigineuses, aux antipodes de leur humanité porcine, à une distance incalculable des fumées de leur monde.

Oui je suis français tout comme eux, tout comme vous. Je suis moi aussi fils de ces gaulois d’Epinal, je chante avec vous les vieux quais de Paris, évoque dans un même choeur vibrant femmes et terres immémoriales chères à nos poètes, véritables hanteuses de notre mémoire collective, je salue également la Marianne pétrifiée de nos mairies. Je bois encore en votre compagnie les petits blancs des bistrots et les grands vins de la Loire.

Mais pour moi la grandeur de la France s’arrête aux deux mètres de de Gaulle et, juste après, à l’extrémité du dernier étage de la Tour Eiffel.

Au-dessus, c’est le vaste espace des esprits supérieurs auquel, avant toute autre chose, impérieusement, définitivement, divinement, et que cela vous plaise ou non, j’appartiens.

Ma vraie patrie n’est pas ce petit coin de terre -que j’aime et défends cependant parce que j’en suis issu- d’éternels abrutis racistes, belliqueux (comme ces coqs qu’ils foutent sur le toit de leurs églises), râleurs et stupidement consuméristes mais l’Univers entier, galaxie après galaxie, atome après atome.

Français oui, avec fierté, mais surtout libre de m’en moquer.

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https://rutube.ru/video/214963a0093e6948403894d24c514cdf/

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http://www.dailymotion.com/video/x27fqs2_francais-mais-sans-en-faire-un-fromage-raphael-zacharie-de-izarra_webcam

1076 - Les flaques de mars

Belle était la défunte, noir était le ciel.

Troublé, songeant à l’inhumée, je cherchais à fuir ces heures. Mon pas résonnait tristement dans les flaques de pluie.

Etrange effet de l’accablement : progressivement le crépuscule de mars, doux comme le cadavre, enchantait mon âme en deuil.

Elle gisait au fond de son tombeau depuis la veille et moi je marchais, les pensées légères en ce soir où tout pourtant n’était que larmes. Dans la nuit humide je me remémorais ses cheveux, ses traits, ses yeux.

A force de jouer avec les nappes d’onde au sol, mes semelles se gonflaient d’eau. Et un inexplicable délice montait en moi, comme si une rose s’enroulait autour de mon coeur pour l’embrasser de ses épines.

Sa dépouille devait être bien blanche et toute glacée dans sa sépulture, pensais-je, tandis que, désinvolte, mon pied faisait de molles éclaboussures. La gravité avait quitté mon front, mes chaussures trempées occupaient de plus en plus mon esprit.

Nous étions en cette période intermédiaire de l’année que je redoutais tant à cause de sa morbidité.

Et que j’attendais avec feu, exactement pour la même raison...

La saison des giboulées est une de mes sources d’ivresse austère : c’est une fête morose des éléments qui me caresse, une grisaille pleine d’éclats qui me blesse. Le temps béni et maudit du spleen, entre nuages vifs et azur sombre. Banales agitations météorologiques provoquant chez moi de véritables ébranlements, d’intenses brumes, de profonds mouvements intérieurs...

Bref, le mois de mars est un beau chant sinistre pour esthètes mélancoliques.

De plus en plus absorbé par les minuscules mares éphémères sur mon passage, un monde mouillé, argenté et chantant pénétrait ma conscience et se superposait à l’autre monde, derrière moi. (L’eau sous mes pieds ne se substituait pas à la tombe, elle ne l’effaçait pas ni ne la brouillait, non, je dis bien qu’elle s’y ajoutait.)

A travers les vaguelettes produites par mon talon, je faisais le lien -peu évident, certes complexe mais cependant bien tangible- entre le flic flac de la vie aqueuse et le silence des corps rendus à la poussière.

Son pur, clair et familier des gouttes s’éparpillant sur le trottoir, issues de la même réalité qu’une morte étendue sous la terre, muette, invisible. La palpitation qui rencontre la pétrification comme le bleu côtoie la tourmente et la lumière croise la glace lorsque sur nos têtes s’abat la grêle et que dans nos villes apparaissent les milliers de flaques où se reflètent chacun de nos visages, en pleurs ou pleins de rires.

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Liste des textes

2262 - Homme de feu
2261 - Rencontre du troisième type
2260 - Voyage
2259 - Déprime
2258 - Fiers de leur race
2257 - La fille lointaine
2256 - Le Noir méchant
2255 - L’attente
2254 - J’ai entendu une musique de l’an 3000
2253 - Le modèle
2252 - Blonde ordinaire
2251 - Mâle archaïque mais authentique
2250 - La femme et la flamme
2249 - Voyages au bout de la terre
2248 - Ma chambre
2247 - Le vieil homme entre ses murs
2246 - Le mouton
2245 - Vous les mous, les mouches, les mouchards
2244 - Mon humanisme fracassant
2243 - Ma cabane sur la Lune
2242 - Les marques rouges du ciel
2241 - Je reviens !
2240 - Une fille de toque
2239 - La légèreté de la Lune
2238 - Janvier
2237 - Elena Yerevan
2236 - Oiseaux de rêve ?
2235 - J’irai vivre à la campagne
2234 - Fiers de leurs péchés
2233 - Deux faces
2232 - Le soleil de la jeunesse
2231 - Dans les bois
2230 - Nuit de vents
2229 - Mon fauteuil de lune
2228 - Le sourire d’une marguerite
2227 - Je ne suis pas antiraciste
2226 - Qui est-elle ?
2225 - L’arc-en-ciel
2224 - Je suis parti dormir sur la Lune
2223 - La sotte intelligence
2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1683 - Deux pures poires
1682 - La copie
1681 - Vous le connaissez
1680 - Le prix de la beauté
1679 - Vie d’élite
1678 - Ciels nuageux
1677 - Les fourmis
1676 - Deux étoiles
1675 - “Réac”
1674 - Solitude
1673 - La Lune et moi
1672 - Choc des esprits
1671 - De la fosse à la lumière
1670 - Une affaire
1669 - Les fleurs
1668 - Tristesse
1667 - France droite
1666 - Une inconnue
1665 - La féministe
1664 - Monsieur Toulemonde
1663 - “Corsica”
1662 - Tour du monde
1661 - Le dirlo
1660 - Porcs du masque
1659 - La coche et le lion
1658 - Les deux mondes
1657 - Les coeurs d’or
1656 - Je suis un méchant
1655 - Les manuels
1654 - Une turque sidérale
1653 - Une brise
1652 - Le loup
1651 - Le hibou
1650 - Les beaux becs
1649 - Une trisomique diplômée
1648 - Madame lalouche
1647 - Dans le froid
1646 - Une ombre
1645 - Préface des "Fleurs du Mal"
1644 - Mes réponses à un athée radical
1643 - L'esprit qui panse
1642 - Demi-dieu
1641 - Au sujet de la pédophilie chez les musulmans
1640 - Vieille célibataire
1639 - Le cancre
1638 - Les grands noms
1637 - Un milliard d'années
1636 - Disparitions en forêt
1635 - Sous-doué et insensible
1634 - Euro de merde !
1633 - Page noire
1632 - Vieille école
1631 - Progrès
1630 - Né pour voler
1629 - Naître pour fleurir
1628 - Réception de pingre
1627 - La banquise, ça fond aussi
1626 - Amoureux
1625 - Qui sont les vrais racistes ?
1624 - Le prix de l'amour
1623 - L'antiraciste
1622 - Le Juif
1621 - Le raciste
1620 - L'ange
1619 - Le gauchisme, c'est l'obscurantisme
1618 - Rien à vendre
1617 - Chanson d'amour
1616 - France d'hier
1615 - Les caricaturistes de Mahomet
1614 - Vol simple
1613 - La couleur de l'amour
1612 - Monsieur Ducon
1611 - Terre plate
1610 - La russe mystérieuse
1609 - Lettre à RYSSEN
1608 - Danse nuptiale
1607 - Une étoile
1606 - Têtes d'Antifas
1605 - Reconfinement
1604 - Histoire d'un néant
1603 - Masquez-vous définitivement !
1602 - Rêve de Russie
1601 - Mozart, l'art mou
1600 - Pain maudit
1599 - Or de prix
1598 - Epris d'une pierre
1597 - L'esprit gauchiste
1596 - La femme venue de la Lune
1595 - Drôle de dieu
1594 - Tomate révolue
1593 - La gauche
1592 - Les tableaux érotiques d'Aldéhy
1591 - Fille de France
1590 - L'amour, ça gèle les doigts de pieds !
1589 - Ivre de givre
1588 - Eau froide
1587 - Burcu Güneş
1586 - Anti-romantique
1585 - Mon livre édité par Conversano
1584 - Facho
1583 - Le sommet de la droite
1582 - Les hauteurs du temps
1581 - Carré magique
1580 - Pensée malade
1579 - Un regard en arrière
1578 - Interview exceptionnelle
1577 - Jean-Claude LADRAT
1576 - Ville fantôme
1575 - Mon analyse sur le virus
1574 - Rom à face de rat
1573 - Emoi au marché
1572 - Une étoile dans le potager
1571 - Voyage autour de mars
1570 - Les ailes du marché
1569 - La marchande de fruits et légumes
1568 - Rat crevé
1567 - Le terreau du ciel
1566 - Chaque peuple dans son pays !
1565 - Réponse aux appels de lutte contre l'homophobie
1564 - Réponse à un "hypersensible"
1563 - L'immortalité du sable
1562 - Je suis intolérant !
1561 - Une odeur
1560 - Décès de Michou
1559 - Une présence céleste
1558 - Face de Lune
1557 - Une lumière dans la ville
1556 - Une question de lumière
1555 - "Les Fleurs du Mal"
1554 - Les gauchistes sont des larves
1553 - Mirabelle
1552 - L'infini
1551 - Une journée bien remplie
1550 - Vénus aux trois fromages
1549 - Rêve glacé
1548 - Neige sans fin
1547 - Vue perçante
1546 - Acuité esthétique
1545 - Mots de face
1544 - Plume d'esprit
1543 - Vue du Nord
1542 - Froid et solitude
1541 - Le sens du ciel
1540 - Plume d'autruche
1539 - France sombre
1538 - De gauche à droite
1537 - Paradis blanc
1536 - Eternité d'un printemps
1535 - Les deux faces du monde
1534 - Le gauchisme ou la pensée à l'envers
1533 - Plongeon céleste
1532 - L'oiseau volatil
1531 - Les vagues de Vénus
1530 - Poireaux du ciel
1529 - France, encore un effort pour la diversité !
1528 - Sel de terre
1527 - France propre
1526 - Artichauts
1525 - Les vieux romantiques
1524 - Ma plus grande frayeur
1523 - Une route vers l'infini
1522 - Un enfant pas comme les autres
1521 - Banane absolue
1520 - Une flamme blanche
1519 - Interview
1518 - Ailleurs
1517 - Le mime Marceau
1516 - Lune noire
1515 - Lettre au maire de Saint-Malo
1514 - Nos pauvres criminels
1513 - Migrants de France
1512 - Fièvre d'esthète
1511 - L'air de terre
1510 - Turquie
1509 - L'importun
1508 - Repas pas fin
1507 - Femme, tu n'avorteras pas !
1506 - Mes vrais amis
1505 - Berger des lourdauds
1504 - Eau-de-vie
1503 - Pluie féconde
1502 - Justice pour les faibles !
1501 - Une russe normale
1500 - Paix sur la Lune
1499 - Eloge funèbre pour mon oncle Henri
1498 - Pot de nouilles
1497 - Je volais
1496 - Salade cosmique
1495 - Vertige architectural
1494 - Je veux la gloire !
1493 - L'envoyée
1492 - Particule essentielle
1491 - Du sable à l'horizon
1490 - Multiculturalisme
1489 - Du sol au Soleil
1488 - Ben Laden
1487 - Je pissais dans la mer
1486 - J'étais dans le ciel
1485 - France
1484 - Boris Le Lay
1483 - Tel que je suis
1482 - Mai
1481 - Marie-France
1480 - Insultes à l'adresse de Chantal Goya
1479 - Pour l'amour de l'Art
1478 - Affaire du faux-Rimbaud : documents complets
1477 - Ingrid Bétancourt, un succès médiatico-commercial
1476 - Un article du "Monde" sur moi !
1475 - L'affaire Gautier-Sauvagnac en trois textes
1474 - Editeur de pigeons
1473 - Réponse aux mineurs de fond
1472 - Odieuse exploitation de la misère sexuelle affective
1471 - Infirmité-spectacle ou leçon de vie ?
1470 - Décès de Farrah Fawcett : de la beauté à la pourriture ?
1469 - Bulletin météo des abrutis
1468 - Pour concurrencer MEETIC
1467 - Frédéric Mitterrand n'est pas un hors-la-loi !
1466 - Tony Musulin, héros des minables !
1465 - Mickael Jackson victime des apparences
1464 - Interview par une journaliste du "Point"
1463 - Suis-je l'auteur de la photo de Rimbaud ?
1462 - Qui est Jean-Pierre Herlant ?
1461 - Indispensables imbéciles
1460 - Bétancourt, la plage, les vacances
1459 - Envoyé à un voyant
1458 - Roms : humanisme pervers
1457 - Houellebecq, roi des "concierges en révolution"
1456 - Expulsion de Roms, réactions à tort
1455 - Baisers publics de sodomites
1454 - Amusante étude universitaire sur IZARRA
1453 - Retraites : jeunesse sénile !
1452 - Prénoms à haute résonance izarrallergène
1451 - Noël : fulgurante élévation du niveau de connerie
1450 - A un membre de FACEBOOK me demandant d'intervenir...
1449 - Tour d'horizon sur le vent médiatique
1448 - Drame au Japon : catastrophe de riches
1447 - Frilosité des catholiques intégristes
1446 - Singeries hollywoodiennes
1445 - Patrick Poivre d'Arvor, auteur sans talent
1444 - La grande habileté des escrocs
1443 - IZARRA vu par ses contemporains
1442 - DSK réhabilité ?
1441 - YAHOO : niveau de connerie très élevé
1440 - Les JMJ
1439 - Le silence d'Anne Sinclair
1438 - Le mystère des primaires
1437 - Hollande-Aubry : théâtre politique
1436 - Le Mans : reposons la question de la littérature
1435 - Tintin : les dents de la mer-ique
1434 - Tintin et Spielberg
1433 - Contre le discours émotionnel des adeptes de Raoni
1432 IZARRA sur WHOHUB
1431 - La bêtise des psychogues
1430 - Durban : sommet du ridicule
1429 - Condamnation de Chirac : honteux !
1428 - Pourquoi je n'irai plus jamais voter
1427 - Mars ou crève !
1426 - Le bonheur perdure en Corée du Nord !
1425 - La prétendue crise : odieux chantage au suicide
1424 - Le beau discours de Sarkozy
1423 - Le froid des Duponts
1422 - Présidentielles : insignifiances politiciennes
1421 - Je ne suis pas “Charlie”
1420 - Pour le buzz pathétiquement rampant !
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet